♦Mon nom est MAYA
♦Ma race est : X pinsher royal bourbon
♦Ma couleur : crème
♦Je suis née en juillet 2016
♦Mon caractère : sociable, douce et affectueuse
♦Mon histoire :Ma maman a été abandonnée et était non stérilisée. Nous sommes venus au monde moi et mes frères et soeurs sous la voiture de notre bienfaitrice qui nous a mis à l’abri
♦Ma taille : petite à l’âge adulte (env 10 kg)
->Frais adoption: 200€(vol compris) avec obligation de castration
♦Mon nom est miko
♦Ma race est : X pinsher royal bourbon
♦Ma couleur : blanc tacheté
♦Je suis née en juillet 2016
♦Mon caractère : sociable, doux et affectueux
♦Mon histoire :Ma maman a été abandonnée et était non stérilisée. Nous sommes venus au monde moi et mes frères et soeurs sous la voiture de notre bienfaitrice qui nous a mis à l’abri
♦Ma taille : petite à l’âge adulte (env 10 kg)
->Frais adoption: 200€(vol compris) avec obligation de castration
♦Mon nom est michka
♦Ma race est : X berger
♦Ma couleur : noire et feu
♦Je suis né mi juin 2016
♦Mon caractère : sociable, doux et affectueux. ok chats, congénères et enfants
♦Mon histoire :j’ai été sauvé de la rue par Monica
♦Ma taille : moyenne à l’âge adulte (15 -20 kg )
♦ actuellement en famille d’accueil en roumanie chez Monica
->frais d’adoption: 220 euros (avec obligation de castration)
♦Mon nom est: DEBRA
♦Ma race est: X pékinois
♦Ma couleur: rousse
♦Je suis née en 2014
♦Mon caractère est: sociable, douce et affectueuse
♦Mon histoire: j’ai été trouvée errante dans la rue
♦Je suis de taille petite (6 kg et 35 cm de hauteur)
♦Je me trouve actuellement en famille d’accueil en Roumanie chez Monica
La branche guyanaise du Collectif pour les DOM TOM sur Midi Guyane, pour sensibiliser à la cause animale et à la nécessité de la stérilisation (à 13 mn 30). La situation Outre-mer est très critique, les animaux errants sont euthanasiés en grand nombre, les lois ne sont pas respectées…
The Kooples renonce à la fourrure sous la pression de l’ONG PETA
La marque française de prêt-à-porter The Kooples, visée par une campagne de l’association de défense des animaux PETA, a annoncé jeudi 22 septembre qu’elle renonçait à utiliser de la fourrure dans ses collections à venir.
« Nous avons décidé d’arrêter la fourrure à partir de la collection été 2017. L’hiver 2016 sera donc notre dernière collection avec l’utilisation de la fourrure animale », a indiqué dans un e-mail à l’AFP Nicolas Dreyfus, directeur général de The Kooples.
« Nous sommes extrêmement préoccupés par la souffrance des animaux », indique aussi le responsable de The Kooples, cité dans un communiqué de PETA, qui l’a rencontré. « Nous avions déjà pris (en février) la décision d’arrêter l’utilisation de l’angora dans toutes nos collections, grâce au savoir de PETA, qui nous a aidés à comprendre le traitement cruel infligé aux animaux », ajoute-t-il.
Des vidéos diffusées par l’association montrent des animaux d’élevage blessés, confinés dans des cages exigües. La marque branchée avait auparavant eu droit à une pétition et des manifestations devant ses magasins.
Le chanteur britannique Pete Doherty, qui avait collaboré avec l’enseigne, avait lancé en mars un appel à ses dirigeants. « Plus rien ne me choque tellement, mais les révélations en vidéo de PETA tournées en caméra cachée dans des élevages à fourrure, m’ont bouleversé », leur écrivait le rocker.
« En renonçant à la fourrure, The Kooples a pris une décision juste. Les consommateurs d’aujourd’hui ne veulent pas d’une industrie qui confine les animaux, les frappe violemment et leur arrache la peau », dit Isabelle Goetz, de PETA France.
Reportage réalisé par Réunion 1ère sur l’errance animale à la Réunion. On découvre le destin tragique d’un très grand nombre d’animaux, ceux capturés par les fourrières sont euthanasiés pour la plupart, environ 15000 par an, les plus chanceux seront récupérés par les refuges.
50 000 animaux errants à La Réunion selon l’association des maires. Un chiffre relativement stable depuis une quinzaine d’années.
Ce mercredi matin à l’étang-Salé, services de l’État, associations, entreprises privées et quelques élus ont répondu à l’appel lancé par l’AMDR sur la problématique de l’errance animale dans le département.
Les différents intervenants ont débattu des solutions existantes et « insuffisantes » de stérilisation et d’euthanasie des chiens errants. 5 millions d’euros seraient ainsi dépensés par an pour euthanasiés des animaux et ramasser les cadavres qui jonchent les routes de l’île.
Des chiens dit « communautaires » pour la plupart. Pour un représentant d’une association, ces animaux évoluant dans un quartier n’appartenant à personne en particulier mais tout de même nourris par les habitants, soulèvent non seulement la question de la responsabilité de chacun mais également les rapports entre hommes et animaux.
Sale image pour la destination
Karolina Pavadé, animatrice mandatée par l’AMDR a dressé un premier bilan à l’issue des débats. « Le manque de coordination entre les différents acteurs est le point essentiel. Nous proposerons donc la création d’un comité de pilotage avec les différents acteurs ».
Action en milieu scolaire, intervention de médiateurs sociaux dans les quartiers, formation professionnelle auprès des équipes sur le terrain, autant de propositions qui devront également être soumises aux collectivités.
« L’enjeu est de faire comprendre aux élus qu’ils doivent prendre à bras-le-corps ce problème, leur montrer qu’il a un impact sur l’image de La Réunion et donc sur le tourisme ».
Les problèmes sanitaires potentiels, les cas sans cesse relatés de maltraitance envers les animaux ou encore les attaques de troupeaux font également partie de cette problématique de l’errance animale à La Réunion, traitée quasi exclusivement par des euthanasies de masse par nos intercommunalités (Cirest, Cinor, Tco, Civis, Casud).
Végane : Personne qui exclut de son alimentation tout produit d’origine animale (végétalien) et adopte un mode de vie respectueux des animaux (habillement, cosmetiques, loisirs…). Adj. Le mouvement végane, véganisme (Définition Le Petit Robert 2015).
Le terme véganisme exprime alternativement la pratique de l’éthique et la pratique d’exclusion quotidienne des produits issus de l’exploitation des animaux. Il existe également la variante « vegan straight edge » qui exclut également les drogues et l’alcool.
Le terme français « véganisme » vient de l’anglais « veganism » qui est lui même un dérivé du mot « vegan » désignant le mode de vie végétalien. En français il est convenu d’adapter les termes « vegan » et « vegans » en « végane » et « véganes« . Définition officielle de la Vegan Society : «Le véganisme est le mode de vie qui cherche à exclure, autant que faire se peut, toute forme d’exploitation des animaux, que ce soit pour se nourrir, s’habiller, ou pour tout autre but. »
On estime aujourd’hui à plus de 525 millions de personnes ne mangeant ni chair animale ni oeuf sur Terre : 40% de végétariens et végétaliens en Inde sur la totalité de la population, de 2 à 5% aux Etats-Unis, en France ou en Chine, 6 à 10% au Brésil ou en Allemagne. En France on estime à 2 millions de personnes ayant fait le choix de ne pas consommer les animaux dans leur quotidien (population de végétariens, végétaliens et véganes confondus) – Source « Etre végétarien » par Alexandra de Lassus – Les guides du Chêne 2014).
Le véganisme, l’épreuve du prochain millénaire
Le véganisme est pratiqué dans nombreuses religions pour sa philosophie depuis les fondements de l’humanité et comme mode alimentaire pour sa nature hygièniste (en accord avec la santé humaine). Aujourd’hui le véganisme semble être la solution à bien des problèmes modernes : des problématiques éthiques, écologiques et sanitaires.