Tartine et Chocolat s’engage à ne plus utiliser de fourrure

C’est une excellente nouvelle pour les lapins, les renards et les raton-laveurs utilisés pour leur fourrure : la marque Tartine et Chocolat s’est engagée auprès de PETA « à ne plus produire de fourrure dans [ses] collections futures » !

 

Moins de 24h après avoir été interpellée sur les réseaux par PETA et des milliers de sympathisants, une porte-parole de l’enseigne française – présente dans 12 pays dans le monde – a déclaré auprès de l’association : « Tous les manteaux, bonnets… n’auront que de la fourrure synthétique. [Je] vous confirme que cette décision est définitive et touchera également toutes les productions futures. »

Cette décision de délaisser la fourrure en faveur des alternatives éthiques et de qualité qui existent de nos jours prouve que s’engager pour le bien-être animal est aujourd’hui un jeu d’enfant.

La fourrure ne devrait jamais quitter les animaux qui la portent

La majorité des animaux tués pour leur fourrure passent toute leur vie confinés dans des cages grillagées exiguës et sales, et nombre d’entre eux deviennent lentement fous à cause du stress de l’enfermement intensif. Ils sont négligés, endurent la faim et la soif, et ont souvent des plaies ouvertes non traitées.

Des enquêtes diffusées par PETA ont révélé que des renards étaient tués dans une chambre à gaz de fortune et que des lapins étaient suspendus et dépecés alors qu’ils étaient encore conscients. Les animaux piégés dans leur habitat naturel, comme les ratons laveurs, peuvent souffrir pendant des jours avant d’être matraqués à mort, électrocutés, gazés, noyés ou tués d’une autre manière violente.

Par ailleurs, le port de fourrure peut se révéler dangereux pour la santé, en particulier pour les enfants. Une étude du Bremer Umweltinstitut a révélé que la fourrure animale contient en quantités importantes des substances toxiques potentiellement cancérigène, telles que le formaldéhyde, qui provoque des réactions allergiques, ainsi que les éthoxylates, qui peuvent nuire à la production d’hormones et aux organes reproducteurs.

Laissez la cruauté au placard

S’il n’y a qu’une seule chose dont vous pouvez être sûr lorsque vous achetez de la fourrure, c’est que des êtres sensibles ont été tués violemment pour leur peau, souvent après une vie de souffrances et de privations.

PETA se réjouit que Tartine et Chocolat ait pris la décision éthique de renoncer enfin à la fourrure animale et rejoigne ainsi la plupart des grands créateurs, marques et enseignes du monde entier – tels que Canada Goose, Balmain, et Chanel – qui se sont engagés à ne plus utiliser cette matière tâchée de sang.

Près de 90 % de la population française se déclare aujourd’hui contre le commerce de la fourrure – aidez-nous à faire comprendre au groupe LVMH la nécessité d’en finir avec cette cruauté :

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Des violences à Pétra empêchent les animaux malades et blessés de recevoir des soins

Actualité (9 mars 2023) : après avoir été bloquée par une quasi-émeute et par des coups de feu entre les villageois bédouins et le gouvernement, la clinique vétérinaire soutenue par PETA a rouvert à Pétra, en Jordanie ! La violence qui a éclaté plus tôt dans la semaine est maintenant sous contrôle (du moins pour le moment), le personnel a donc recommencé à soigner les animaux. Les villageois disent qu’ils n’ont toujours pas reçu les financements promis par le gouvernement, par exemple pour les véhicules électriques fournis par le ministère du tourisme. Par conséquent, les propriétaires de chevaux utilisent leurs animaux épuisés pour compenser cette perte de revenus en les forçant à tirer des calèches pleines de touristes sur le site archéologique. Inquiets au sujet du nombre d’ânes, de mules et de dromadaires exploités à Pétra, les vétérinaires soignent des membres douloureux, des coliques, des infections et d’autres maux.

Pour soutenir la clinique et son travail, faites un don au Fonds international pour la compassion.

Actualité (7 mars 2023) : Des coups de feu ont été tirés entre des villageois et la police à Uum Sayhoun, en Jordanie. Cette situation instable empêche le personnel de la clinique vétérinaire soutenue par PETA de rejoindre les ânes blessés et les autres animaux épuisés contraint de travailler sur le site inscrit au patrimoine mondial de Pétra, et qui comptent sur ces soins gratuits. Le gouvernement a promis d’indemniser mensuellement les villageois après avoir plafonné le nombre d’animaux contraints de travailler dans le tourisme, mais les paiements n’auraient apparemment pas été effectués, les propriétaires ont donc commencé à manifester, et la violence a rapidement escaladé.

La clinique vétérinaire soutenue par PETA utilise son unité mobile quotidiennement pour prodiguer des soins gratuits aux animaux qui travaillent, et constitue leur seule chance d’être aidés. Le personnel soigne les animaux qui souffrent ou présentent des plaies infectées et d’autre problèmes qui surviennent car leurs propriétaires négligent leur santé, les frappent, ne leur donnent pas assez d’eau et de nourriture, et les forcent à monter et descendre les 900 marches de pierre effritée menant au monastère. Les employés attendent l’opportunité de retourner à Pétra et d’aider les animaux des villages alentours.

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Enquête dans des élevages de chiots indonésiens : chiens handicapés, crasse et cruauté

Ce que les enquêteurs de PETA Asie ont découvert dans cinq élevages de chiots en Indonésie devrait suffire à convaincre n’importe qui de ne plus jamais soutenir cette industrie basée sur la maltraitance et le profit qu’est le commerce des « animaux de compagnie ». Regardez les images, et notez que tout ce que vous vous apprêtez à voir est totalement légal.

Des chiens en cage qui souffrent de détresse psychologique

Les enquêteurs ont visité des élevages de chiots qui envoient des chiens dans de nombreuses régions d’Indonésie, y compris dans des animaleries de la capitale, Jakarta.

Dans les cinq établissements visités par les enquêteurs, les chiens étaient enfermés dans des cages délabrées, sales, et terriblement petites. Ils ne pouvaient généralement se tenir et se coucher qu’à même le sol de terre battue, sur du bois qui s’effrite, sur du béton ou sur du grillage douloureux qui peut couper leurs coussinets fragiles. Les parois des cages étaient généralement constituées de barreaux ou de fils de fer, et beaucoup de chiens n’avaient rien au-dessus de leur tête pour les protéger des éléments. Certaines cages grillagées étaient empilées les unes sur les autres, d’autres étaient recouvertes de bâches, réduisant l’univers des animaux à un mètre carré sombre, isolé et solitaire.

Les enquêteurs ont filmé trois chiens entassés dans une cage de la largeur d’une commode. Les animaux escaladaient les parois et jappaient en vain. Un autre chien faisait les cent pas dans sa cellule de métal et de béton, un signe de détresse psychologique. De nombreux chiens pleuraient et gémissaient.

« Les chiens dans cet établissement font constamment les cent pas, aboient et sautent en l’air et contre les murs. Il s’agit de comportements anormaux et stéréotypés causés par la frustration, l’anxiété et la privation sur les plans physiques et psychologiques. » – Dr. Ingrid Taylor, Docteure de médecine vétérinaire

Les enclos des chiens, jusqu’à leurs gamelles, étaient souvent recouverts d’excréments. Dans les établissements où les éleveurs nettoyaient les cages, ils ne prenaient pas la peine de faire sortir les chiens avant et les laissaient se tenir et se coucher dans des flaques. Selon le Dr. Ingrid Taylor, une experte vétérinaire qui a visionné les images, « Cet environnement insalubre cause non seulement de la souffrance et des risques sanitaires pour les chiens, mais également un risque en termes de santé publique, de nombreuses formes de bactéries et de parasites qui se propagent entre les chiens pouvant aussi affecter les humains. »

Des chiens sans eau ni nourriture, qui marchent avec difficulté, effrayés et maltraités

Les animaux avaient un accès nul ou limité à l’eau et à la nourriture. Certains buvaient l’eau directement du sol lorsque leurs cages étaient nettoyées. Les pattes arrière d’au moins un husky semblaient invalides, rendant chaque pas difficile.

Dans l’un des établissements, un rottweiler a reculé et s’est recroquevillé lorsqu’un éleveur a levé la main ; il s’agit là d’un indicateur probable de maltraitance préalable. L’éleveur a ensuite traîné le chien hors de sa cage et à travers la propriété en le tirant par les pattes avant.

 

Immobilisés et poussés à se reproduire

Dans un établissement, l’enquêteur a observé deux éleveurs en train d’immobiliser un carlin femelle, puis placer un male au-dessus d’elle et les maintenir ainsi jusqu’à ce qu’ils s’accouplent. Ces chiens, d’une race à respiration difficile notoire, donneront probablement naissance à de nombreuses portées de chiots sélectionnés pour avoir des visages déformés et aplatis et des voies respiratoires qui rendent jouer, courir, marcher et même respirer difficile.

N’achetez pas – adoptez dans des refuges

Peu importe le pays, acheter un chien ou un chat « de race » en ligne, chez un éleveur ou dans une animalerie ne finance pas seulement la cruauté, mais prive aussi un animal qui attend dans un refuge de sa chance de trouver un foyer. S’il vous plaît, adoptez vos animaux de compagnie, ne les achetez pas.

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Dix ans après l’interdiction des tests pour les cosmétiques, les animaux sont toujours tourmentés dans des laboratoires

Ce 11 mars était supposé constituer une célébration de la libération animale des tests de cosmétiques cruels. Mais malgré l’interdiction de ces tests et les promesses des responsables, les lapins, les souris et d’autres animaux continuent à être contraints d’avaler des ingrédients cosmétiques.

Il y a dix ans, le 11 mars 2013, l’UE a interdit la commercialisation d’ingrédients et produits cosmétiques testés sur les animaux. Les entreprises souhaitant en vendre ne pouvaient donc plus utiliser de nouvelles données issues de l’expérimentation animale pour prouver qu’ils étaient sûrs.

Prometteur, n’est-ce pas ? Alors pourquoi est-ce que des milliers de lapins, de rats, de souris et d’autres animaux font toujours office de tubes à essais ?

Les lapins sont contraints d’ingérer des ingrédients de crème solaire

Plus de 400 produits chimiques sont répertoriés pour un usage exclusivement dans les cosmétiques dans l’UE, et une partie sont concernés par les demandes de nouveaux tests sur les animaux de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA).

Ces tests impliquent de forcer des dizaines de milliers de rats, de lapins ou de poissons à ingérer du shampoing ou de la crème solaire pendant des mois. Dans certains cas, des animaux gestants sont forcés d’avaler ces produits chimiques avant d’être tués et disséqués avec leurs petits à naître. Dans d’autres cas, les scientifiques permettent la naissance pour soumettre les petits au même destin cruel que leur mère.

Ces tests compromettent complètement l’objectif de cette interdiction : l’apparition de cosmétiques sûrs qui ne requièrent pas de tests sur les animaux sur le marché.

Aucun animal ne devrait souffrir ou être tué dans de cruels tests de cosmétiques

Il y a une pléthore de méthodes sans souffrance animale qui permettent d’évaluer si les cosmétiques et leurs ingrédients sont dangereux. Par exemple des outils à la pointe de la technologie comme la modélisation tridimensionnelle de tissues, des simulations avancées et les données issues de tests d’exposition pertinents à l’espèce. Toutes ces méthodes qui ont bien leur place au 21ème siècle sont communément utilisées pour évaluer des cosmétiques sans tests archaïques qui font souffrir les animaux.

Les spécialistes peuvent désormais prédire comment un ingrédient ou une combinaison d’ingrédients affectera le corps humain, ou son impact sur l’environnement, des résultats que les tests sur les rats, les lapins et les poissons ne peuvent égaler.

La base de données de PETA États-Unis d’entreprises qui ne font pas de tests sur les animaux comporte plus de 6 100 marques, y compris Dove, Herbal Essences, Aveda, e.l.f. et Urban Decay. Ces entreprises se sont engagées à ne jamais effectuer, commander, financer ou permettre l’expérimentation animale, quelle que soit la phase de développement de leurs ingrédients et du produit final. Ils doivent avoir des accords avec leurs fournisseurs afin de garantir que les ingrédients qu’ils achètent ne sont pas testés sur les animaux.

rabbit standing up with his front paws on the bars of the cage

L’Europe a voté pour un futur cruelty-free

Plus de 1,2 million de citoyens européens ont signé l’initiative citoyenne européenne (ICE), Save Cruelty Free Cosmetics, demandant à la Commission européenne de garantir l’absence d’expérimentation animale pour les cosmétiques et de s’engager pour une Europe sans tests sur les animaux. Nous arrivons maintenant à la prochaine étape de l’ICE : la rencontre avec des membres de la Commission. Nous avons donc besoin de votre aide : montrez votre soutien envers les méthodes de test des cosmétiques sans animaux.

Passez à l’action pour les animaux dans les laboratoires

Chaque achat de cosmétique ou de produit d’entretien est un vote avec votre porte-monnaie, que ce soit pour un futur sans cruauté envers les animaux ou pour les condamner à la souffrance et à la mort dans les laboratoires.

En ce moment même, des millions d’animaux ont besoin de votre soutien. Engagez-vous à n’acheter que des produits cruelty-free et soutenez la campagne de PETA pour en finir avec tous les tests de cosmétiques sur les animaux :

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Le duvet sera-t-il interdit chez H&M après la résolution d’actionnaire de PETA États-Unis ?

Après qu’une récente enquête de PETA Asie sur Vina Prauden – une société vietnamienne qui fournissait auparavant H&M – a révélé que des canards étaient égorgés alors qu’ils étaient encore conscients et que certains oiseaux bougeaient encore pendant au moins une minute après s’être fait trancher la gorge, PETA États-Unis a soumis aujourd’hui une résolution d’actionnaire au groupe H&M. Celle-ci appelle le conseil d’administration à préparer un rapport sur les méthodes d’abattage utilisées pour que l’entreprise se procure du duvet.

Le RDS – un label trompeur

La résolution souligne que H&M s’appuie sur la norme manifestement inefficace de l’organisation Textile Exchange, le label Responsible Down Standard (RDS) pour prétendre respecter le bien-être animal. Mais récemment, l’enseigne a commencé à retirer le label RDS de ses offres en ligne, indiquant qu’elle semble se rendre compte que le RDS est un label trompeur.

H&M ne fournit aucune information sur les élevages et abattoirs qui la fournissent en duvet pour ses articles, réfutant complètement ses propres déclarations selon lesquelles elle donne la priorité à la traçabilité et à la transparence dans ses chaînes d’approvisionnement.

Pourquoi la production de duvet est-elle cruelle ?

Chaque article en duvet représente la douleur et la souffrance d’oiseaux terrifiés, et les certifications et labels trompeurs ne font rien d’autre que jeter de la poudre aux yeux des consommateurs pendant que les animaux continuent de souffrir.

Dans un abattoir qui approvisionnait Vina Prauden, les enquêteurs de PETA Asie ont documenté un travailleur attrapant violemment des canards et leur forçant les pattes dans des entraves avant de les traîner dans un bain d’eau électrifié destiné à les paralyser – mais les canards étaient égorgés alors qu’ils étaient encore conscients. La propriétaire de l’abattoir a déclaré aux enquêteurs que ses employés ne vérifiaient jamais les signes de conscience avant de les tuer en les poignardant au cou.

Les précédentes enquêtes de PETA ont révélé à plusieurs reprises que des travailleurs plumaient douloureusement des oies et des canards à vif, les laissant avec des blessures sanglantes et béantes, y compris dans des élevages liés à des entreprises prétendument « responsables ».

Dans un élevage certifié RDS en Russie, PETA Asie a documenté que des oies terrifiées hurlaient alors que des travailleurs maintenaient leur cou étendu sur une souche de bois, puis le tranchait violemment à plusieurs reprises avec une hache émoussée – jusqu’à sept fois – avant qu’elles ne soient entièrement décapitées.

Les oiseaux ont besoin de vous – agissez !

H&M déclare qu’aucun animal ne devrait être blessé pour ses vêtements, l’enseigne doit donc saisir l’occasion d’enquêter sur sa chaîne d’approvisionnement pour s’en assurer. Veuillez envoyer un message à H&M aujourd’hui pour l’exhorter à abandonner le duvet et à passer à des matières qui ne proviennent pas de l’eploitation animale.

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Journée internationale des droits des femmes : pourquoi vous ne pouvez pas être féministe et continuer à manger du fromage

La Journée internationale des droits des femmes est une journée de rassemblement afin de célébrer les victoires obtenues dans le domaine des droits des femmes, mais aussi l’occasion de faire entendre des revendications pour plus d’égalité entre celles-ci et les hommes. Pendant trop longtemps, le statut des femmes a été celui d’un bien, d’un objet avec une valeur marchande – comme cela est toujours le cas aujourd’hui pour les animaux. De fait, des millions de femelles souffrent encore dans des industries qui les exploitent : elles sont inséminées de force et se font arracher leurs petits pour la production de lait et de laitages, ou sont piégées et violemment tuées pour la fourrure. Quelle que soit leur espèce, toutes ces femelles souffrent et sont exploitées avant d’être abattues.

Le féminisme doit rejeter toute forme d’exploitation

Le féminisme – tout comme la lutte pour les droits des animaux – consiste à combattre la manière dont certains êtres sont exploités au profit d’êtres supposément « supérieurs » arbitrairement désignés.

Dans l’industrie laitière, les vaches sont inséminées de force et leurs veaux leur sont généralement arrachés le jour suivant la naissance. Cette séparation traumatisante cause une détresse extrême à la fois chez le petit et sa mère, et l’on peut entendre cette dernière appeler son veau pendant des jours.

Les cochons sont connus pour protéger la vie de leurs amis, y compris celles de leurs amis humains, mais la plupart passent leur vie dans d’énormes élevages industriels. Pendant la gestation et la mise à bas, les truies sont emprisonnées dans des cages si étroites qu’elles ne peuvent même pas se retourner. Elles sont inséminées encore et encore, jusqu’à ce que leur corps cède, puis sont envoyées à l’abattoir.

Les poules sont curieuses et intelligentes. Dans leur milieu naturel elles vivent dans des groupes sociaux aux hiérarchies complexes ce qui permet de distinguer leurs différents caractères. Cependant, l’appétit des humains pour les œufs de poules a pour conséquence l’enfermement de millions de ces oiseaux qui passeront leur vie entière dans des cages exiguës où ils ne pourront jamais déployer leurs ailes, respirer l’air frais ou sentir les rayons du soleil sur leur dos. On force ces poules à pondre des œufs tous les jours jusqu’à ce que, épuisées, elles soient envoyées à l’abattoir.

Le fait de consommer des animaux et leurs sécrétions (œufs, lait…) est en contradiction avec une véritable démarche féministe. En effet, comment lutter pour les droits des femmes à disposer de leurs corps, tout en ignorant et même soutenant l’exploitation des organes reproducteurs de vaches, de truies ou de poules ?

Évitez aux mères de souffrir : achetez végan

La production de viande, de lait et d’œufs est basée sur l’exploitation du système reproducteur féminin – et c’est aussi le cas de la laine en raison de la capacité des brebis femelles à « produire » d’autres animaux qui seront à leur tour exploités. Elles subissent des actes qui seraient qualifiés de meurtre, de torture, de viol et d’esclavage si on les faisait subir à des femmes.

Pour la laine, les brebis sont inséminées de force à plusieurs reprises et leurs petits sont soit tués très jeunes, soit exploités comme leurs parents. Les moutons, qui agitent la queue comme des chiots quand ils sont heureux, sont juste l’un des nombreux animaux exploités pour leur laine, leur toison, leur fourrure ou leur peau pour faire des vêtements. Une enquête de PETA a révélé que des femelles alpagas gestantes étaient plaquées contre des tables et attachées par les pattes par un dispositif qui évoque un instrument de torture médiéval pour que leur toison puisse leur être retirée.

Vous pouvez aider à libérer les femelles alpagas et alligators, les lapines, les renardes et d’autres en achetant exclusivement des vêtements végans. Demandez à Anthropologie d’abandonner les produits à base d’alpaga immédiatement et d’opter pour des alternatives sans cruauté animale :

Laissez leur liberté aux femelles en optant pour un divertissement sans animaux

Dans la nature, les grands dauphins aiment avoir des relations sociales dynamiques et choisissent leurs propres compagnons. Mais dans les prisons aquatiques de Marineland, de Planète Sauvage ou de SeaWorld, ils sont utilisés comme des machines de reproduction pour créer des générations d’animaux qui passeront leur vie emprisonnés dans des bassins en ciment. Les femelles sont souvent tirées violemment de l’eau, et parfois droguées, pour que le personnel puisse enfoncer des tubes pleins de sperme dans leur utérus.

Mith | CC BY-SA 3.0

Un dauphin à Planète sauvage, 2013

L’élevage de dauphins pour une vie d’exploitation doit prendre fin. Demandez à Parques Reunidos – la société mère du Marineland d’Antibes en France et du Seaquarium de Miami aux États-Unis – d’arrêter d’élever des cétacés et de les transférer dans des sanctuaires côtiers immédiatement.

Aidez-nous à libérer les femelles des cruelles expérimentations animales

Les notions de famille sont très fortes chez les singes, mais au Washington National Primate Research Center, le centre national de recherche sur les primates de Washington, les scientifiques arrachent les nouveau-nés à leur mère et les enferment dans des cages avec un chiffon pour « mère ».

À l’Université d’Amherst–Massachusetts, des tests sur la ménopause sont effectués sur des ouistitis alors que les femelles n’y sont pas sujettes. Pour combler à cette différence physiologique, leur utérus leur est retiré et des compresses chauffantes allant jusqu’à 50 °C sont utilisées pour répliquer les bouffées de chaleurs,

Soyez féministe – optez pour un mode de vie végan pour la Journée internationale des droits des femmes

Des vaches et des truies aux poules, en passant par les lapines, les guenons, les renardes et les chattes, soutenez les femelles de toutes les espèces pour la Journée internationale des droits des femmes et le reste de l’année. Elles sont tourmentées dans des expérimentations inutiles, maltraitées dans l’industrie de la nourriture, torturées pour celle de la mode et exploitées pour celle du divertissement. Supprimez la cruauté envers les animaux de votre vie et vous permettrez à des mères, des filles et des sœurs de toutes les espèces d’obtenir l’amour et le respect qu’elles méritent.

Célébrons les véganes : adoptons un mode de vie végan, remercions celles qui le font déjà, et partageons ces informations avec celles qui ne sont pas encore au courant.

Soutenez toutes les femelles pour la Journée internationale des droits des femmes, et le reste de l’année – optez pour un mode de vie végan !

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Bonne nouvelle : HelloFresh arrête de soutenir le travail des singes

Bonne nouvelle ! Suite à plusieurs enquêtes de PETA Asie, une campagne intense de trois mois et presque 100 000 e-mails de la part des soutiens des entités PETA dans le monde, HelloFresh a confirmé que les produits à base de lait de coco thaïlandais vont être retirés de sa chaîne d’approvisionnement.

Les singes exploités dans l’industrie de la noix de coco en Thaïlande sont enchaînés et attachés sur des parcelles de terre et contraints de cueillir les fruits pendant toute leur vie. Abandonner les produits à base de lait de coco thaïlandais est le seul moyen de s’assurer que la chaîne d’approvisionnement ne soutient pas le travail des singes, cette décision compatissante est donc une bonne nouvelle.

Merci à toutes les personnes qui se sont exprimées et ont envoyé un message aux dirigeants de HelloFresh.

La récente enquête de PETA Asie montre que HelloFresh était au courant des conditions de production du lait de coco en Thaïlande, et continuait tout de même à l’utiliser dans ses paniers repas.

L’entreprise en ligne de livraison de nourriture avait nié utiliser du lait de coco lié au travail forcé des singes par le passé, citant les piètres garanties des producteurs thaïlandais. Cependant, des images ont démontré à plusieurs reprises que l’on ne peut pas faire confiance au gouvernement thaïlandais et aux producteurs de lait de coco pour être honnêtes sur la maltraitance des singes.

Puisque l’industrie de la noix de coco en Thaïlande continue à nier les mauvais traitements endémiques infligés aux singes, le mieux que l’on puisse faire pour les aider est d’éviter d’acheter le lait de coco en conserve produit en Thaïlande.

Une vie de travail forcé pour les singes

Selon certaines informations, les fournisseurs de singes enlèveraient illégalement la plupart des macaques utilisés dans l’industrie du lait de coco en Thaïlande directement dans la nature. Des individus sont arrachés à leur famille aimante et contraints de faire un travail épuisant pour les humains.

Les dresseurs font porter des colliers en métal rigide aux animaux et utilisent des chaînes ou des laisses pour les étrangler et les maîtriser.

Au prix de plusieurs mois de sévices physiques et de punitions, ils sont contraints à la soumission. Leurs canines sont parfois retirées pour qu’ils ne puissent pas se défendre, et les enquêteurs ont appris que les singes pouvaient être blessés par des chutes.

Ils sont enchainés sur des parcelles de terre désolées et parsemées d’ordures, ou dans des cages exiguës. Souvent, ils n’ont pas accès à de la nourriture, de l’eau, ou à un abri convenable. De nombreux singes endurent une détresse psychologique intense résultant de la captivité forcée et de la maltraitance.

Restons sur cet élan

Il est impossible de garantir que le lait de coco thaïlandais ne résulte pas du travail forcé de singes. Vérifiez toujours l’étiquette des produits qui contiennent du lait de coco, et reposez-les si vous voyez la mention « Produit en Thaïlande ».

Aidez les singes en demandant à l’ambassadeur de Thaïlande en France d’aider à mettre fin à cette cruauté :

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Une militante met le feu à la Paris Fashion Week pour dénoncer l’impact environnemental du cuir

Si vous étiez de passage près du Palais de Tokyo ce mardi matin, un spectacle éblouissant a pu vous attirer l’œil. Il s’agissait de notre dernière action flamboyante visant à interpeller la Fashion Week de Paris sur l’impact environnemental du cuir.

La sulfureuse Shamay était tout feu tout flamme de participer à cette démonstration et d’aider les animaux. Vêtue d’un harnais en cuir végan, elle faisait danser ses accessoires enflammés devant une pancarte en forme de planète indiquant : « La production de cuir consume la planète : consommez végan ! »

Fairshot

En pleine semaine de la mode à Paris, il est grand temps que l’évènement mondialement suivi évolue et prenne en compte à la fois les animaux et notre planète, en passant à une mode entièrement végane.






Le cuir est la peau d’un être vivant

Avant d’être transformés en ceintures et en sacs, des êtres sensibles subissent toutes les horreurs possibles de l’élevage industriel – comme le confinement extrême dans des cages ou enclos crasseux, la castration sans traitement antidouleur, les infections chroniques et les maladies causées par un entassement extrême et enfin un voyage terrifiant à l’abattoir pour être tués de manière violente.

Plus d’un milliard d’animaux sont massacrés dans le monde pour le commerce du cuir chaque année : vaches, veaux, chevaux, agneaux, chèvres, reptiles, cochons, et aussi chiens et chats. Quand vous portez du cuir, il est difficile de savoir à qui appartenait la peau que vous portez.

L’impact environnemental du cuir animal  

Selon le rapport Pulse of the Fashion Industry, le cuir est la matière la plus nocive à l’environnement parmi les textiles, avec un impact deux fois supérieur à celui des fibres telles que l’acrylique et le polyester. Il est chargé de produits chimiques pour éviter la décomposition : sels minéraux, formaldéhyde, dérivés de goudron, colorants à base de cyanure et autres substances dangereuses qui se retrouvent rejetées dans les rivières, berges de rivières ou à proximité des champs, polluant les eaux et les sols.

La demande en cuir alimente également la destruction de la forêt amazonienne, car les entreprises brésiliennes de viande de bœuf continuent de fournir du cuir aux grandes marques et détaillants mondiaux de mode.

Le cuir végan – le choix éthique et écologique

La tendance est au végétal, durable et écologique. Nombreux sont aujourd’hui les entreprises et marques qui développent et utilisent des matières innovantes pour la maroquinerie, telles que l’Ultrasuede, le liège, ou les cuirs d’ananas (Piñatex), de champignon, de pomme (Appleskin), ou de raisin (Vegea).

Ce que vous pouvez faire

Chacune et chacun de nous peut choisir de soutenir soit la compassion soit la cruauté à chaque achat d’une nouvelle veste, ceinture ou paire de chaussures. Optez pour des vêtements végans tous les jours pour aider à mettre fin au commerce mondial des peaux et agissez contre l’industrie cruelle du cuir :

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Nouvelles images de l’île de Santorin : la maltraitance des ânes et des mules continue

Mise à jour février 2023 : PETA Allemagne dépose une plainte en justice

PETA Allemagne a publié de nouvelles séquences vidéo et photos, prises au cours de l’été 2022, qui montrent une fois de plus les mauvais traitements infligés sur l’île de Santorin. L’expert équin Dr. Maximilian Pick a examiné les images et a confirmé les mauvaises conditions de vie des ânes et des mules, notamment des blessures non traitées, des équipements d’équitation mal ajustés, des soins inadéquats et une charge excessive :

Les photos et les séquences vidéo des ânes et des hybrides d’ânes montrent que les animaux de Santorin sont exposés à des conditions qui portent atteinte à leur bien-être : non seulement les animaux présentent de nombreuses plaies cutanées, en partie non traitées, mais les tissus cicatriciels que l’on trouve sur la peau de la tête, au niveau de la sangle et sur les pattes sont la preuve de blessures qui n’ont pas été soignées. Les selles et les brides sont inadaptées à l’équitation et au transport des touristes. Il est cruel de laisser les animaux debout sous un soleil de plomb sans leur fournir d’eau ou de nourriture. Les animaux sont généralement surchargés lorsqu’ils transportent des touristes (parfois deux cavaliers sur un animal) sur les marches raides.

– Dr. Maximilian Pick





En réponse, PETA Allemagne, en collaboration avec l’organisation grecque Ippothesis : Panhellenic Equine Welfare Society, a maintenant déposé une plainte auprès des autorités grecques concernant ces mauvais traitements. Des accusations criminelles sont portées contre les propriétaires des animaux, leurs manutentionnaires et contre les autorités locales. Bien que les autorités soient conscientes que la réglementation en matière de bien-être animal est enfreinte, elles ne peuvent pas ou ne veulent pas y mettre fin. Des accusations sont donc portées contre plusieurs personnes, dont l’actuel maire de Santorin, Antonios Sigalas, divers employés de la municipalité et des chefs de police actuels et anciens, au niveau national et local.





Article original :

Une nouvelle enquête d’un témoin révèle que les ânes et les mules, dont beaucoup ont des blessures douloureuses, sont encore utilisés comme « taxis » par les touristes sur l’île grecque de Santorin :

De toute évidence, la situation de ces animaux ne s’est pas améliorée depuis que ces maltraitances ont été documentées pour la première fois par PETA Allemagne en 2018.

Une centaine d’ânes et de mules épuisés sont encore obligés de monter et descendre toute la journée plus de 500 marches abruptes et glissantes qui mènent à la vieille ville de Firá.

Plaies ouvertes et blessures sanglantes



Des selles mal ajustées et des sangles de selle de fortune faites de tuyaux en plastique frottent la peau sensible des animaux. La plupart d’entre eux présentent des problèmes cutanés comme des lésions ou des blessures ouvertes et sanglantes sur le ventre et la base de la queue.

Certains souffrent de blessures aux yeux, d’autres sont obligés de porter des « muselières » serrées avec des bouts de fil tranchants qui peuvent facilement causer des blessures aux animaux ou aux humains.

Des heures passées sous le soleil brûlant

Aux points de ramassage et de débarquement, il y a assez d’ombre pour que seuls quelques animaux puissent s’abriter de la chaleur. Les autres doivent rester debout sous le soleil brûlant avec des températures qui peuvent dépasser 40 degrés en été. Ils sont attachés si serré à un mur ou à une rampe qu’ils ne peuvent même pas bouger suffisamment pour éloigner les mouches gênantes.

Pas d’accès à l’eau ni à la nourriture

Ils n’ont pas accès à l’eau ni à la nourriture pendant leurs longues heures de travail. Pour empêcher que le public ne remarque cette privation, un seul seau d’eau est placé en haut et en bas des marches – cependant, les animaux sont généralement attachés de telle manière qu’ils ne peuvent même pas y accéder.

Danger pour les humains

De nombreux croisiéristes visitent Firá, la capitale de l’île, pour une excursion d’une journée, arrivant au port au pied d’une pente raide. C’est là que les gardiens d’animaux essaient de les persuader de monter un âne ou une mule pour l’ascension des marches. Beaucoup de touristes choisissent d’utiliser le téléphérique respectueux des animaux à la place ou simplement de monter à pied. Cependant, les promenades d’animaux représentent un danger même pour ceux qui montent à pied : des témoins ont rapporté plusieurs cas où des marcheurs ont été forcés de s’écarter ou ont été presque renversés ou piétinés par des ânes et des mules, qui sont souvent battus par leur gardiens. Un homme a même dû sauter sur un mur avec une chute non sécurisée derrière lui pour laisser la place aux animaux. En 2015, une femme a été piétinée à mort par un âne.

Les nouvelles lois ne sont pas appliquées



Après que PETA et ses affiliées internationales ont lancé la campagne pour interdire les promenades à dos d’âne et de mule à Santorin en septembre 2018, le Ministère grec du Développement rural et de l’Alimentation a adopté une loi stipulant que les touristes pesant plus de 100 kg n’étaient plus autorisés à monter les animaux. Toutefois, cette nouvelle enquête montre que cette loi n’est ni respectée ni appliquée, car les touristes de tous les poids sont toujours autorisés à se promener sur le dos des animaux. Le gouvernement de l’île n’a apparemment pas non plus pris de mesures contre d’autres types de maltraitance envers les animaux.

Ce que vous pouvez faire pour aider les ânes et les mules

  • Signez notre pétition demandant l’interdiction immédiate de toutes les promenades à dos d’âne et de mule à Santorin :
  • Ne montez jamais sur des animaux d’aucune sorte – y compris des ânes, des mules, des éléphants et des chameaux – et évitez toutes les autres « attractions » qui impliquent l’exploitation animale, y compris les spectacles et les séances de photos avec des animaux sauvages.
  • Si l’on vous demande de participer à une activité exploitant des animaux pendant les vacances, veuillez informer les organisateurs que vous refusez d’y participer pour des raisons de bien-être animal. Demandez-leur de cesser de proposer de telles activités.

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Alissa White-Gluz du groupe Arch Enemy pose en sirène pour défendre les poissons

Prise au piège dans un filet de pêche et affublée d’une queue de sirène assortie à ses cheveux bleus emblématiques, la chanteuse d’Arch Enemy Alissa White-Gluz se met à la place des animaux aquatiques dans une nouvelle publicité PETA. Lancée à temps pour le Carême, l’affiche vise à rappeler que les poissons ne sont pas des aliments, mais des individus sensibles, qui ressentent des émotions, et qui méritent d’être laissés en paix et hors de nos assiettes, durant ces 40 jours et au-delà.

La première chose que les gens sont prêts à… ignorer comme animaux vivants sont les créatures de la mer. Nous… envahissons un environnement complètement différent et détruisons tous ses habitants… C’est quelque chose dont on parle moins, mais il faut vraiment en parler, surtout quand on regarde les statistiques qui disent que nos océans seront morts d’ici, vous savez, 20 ans.

– Alissa White-Gluz

Des êtres sensibles, pas de la nourriture

Les poissons ressentent la douleur, partagent leurs connaissances, ont une longue mémoire et ont des traditions culturelles. Certains courtisent des partenaires potentiels en créant des œuvres d’art complexes dans le sable au fond de l’océan.

Une cruauté sans fond

Néanmoins, plus de poissons sont tués chaque année pour l’alimentation que tous les autres animaux réunis. Ils sont empalés, écrasés, étouffés ou découpés et éviscérés, souvent alors qu’ils sont entièrement conscients.

Les pêcheurs jettent ces animaux sensibles en tas sur les ponts des bâteaux de pêche, où ils s’asphyxient lentement ou sont écrasés à mort, une façon horriblement cruelle et longue pour quiconque de mourir. Les scientifiques estiment que cela peut prendre jusqu’à 15 minutes avant qu’ils ne perdent connaissance.

De plus, 38 millions de tonnes d’autres animaux aquatiques sont capturés par erreur chaque année pour satisfaire la demande des consommateurs en « fruits de mer ».

Mais Alissa White-Gluz souligne que tout espoir n’est pas perdu si tout le monde devient végan, comme elle l’a fait il y a plus de 20 ans. Chaque personne qui suit son exemple peut sauver près de 200 animaux chaque année et, comme elle le note, aider à lutter contre les cruelles industries de la viande, des œufs et des produits laitiers.

En faisant ce choix simple, nous pourrions en fait inverser ces dégâts.
– Alissa White-Gluz

Des célébrités défendent les poissons

Alissa White-Gluz rejoint une longue liste de musiciens, dont son compagnon Doyle Wolfgang von Frankenstein, David Hallyday, Joan Jett, Cristina Scabbia, Dave Navarro, Ozzy Osbourne, Davey Havok et Iggy Pop, qui se sont associés aux entités PETA pour promouvoir la compassion envers les animaux.

Devenez végan pour le Carême

Il n’est jamais trop tard pour devenir véganque ce soit pour le Carême ou au-delà. Inscrivez-vous à notre défi végan de 30 jours dès maintenant ou commandez un exemplaire gratuit de notre Guide du Végan en Herbe :

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ASSOCIATION DE PROTECTION ANIMALE BASEE EN ALSACE