Victoire pour les chèvres ! Timberland, The North Face et Vans bannissent le cachemire

C’est après avoir été informée par PETA États-Unis du fait que les chèvres de l’industrie du cachemire hurlent de douleur et de peur lorsqu’on les restreint et leur arrache les poils que VF Corporation (qui possède Timberland, The North Face, Vans, Dickies, Supreme, JanSport et d’autres marques) a confirmé qu’elle n’utiliserait plus de cachemire dans aucun de ses produits. En guise de remerciement, PETA États-Unis a envoyé à l’entreprise un gâteau végan décoré d’une chèvre.

La cruauté derrière le cachemire

Une nouvelle vidéo de PETA sur les exploitations de cachemire en Mongolie révèle que des chèvres terrifiées sont restreintes par les pattes et les cornes tandis que des ouvriers leur arrachent les poils avec une telle violence qu’ils arrachent parfois des morceaux de peau, laissant les animaux souffrir de plaies sanglantes.

Sur la vidéo, un employé utilise un couteau non stérilisé pour ouvrir le scrotum de chevreaux et leur arrache les testicules sans aucun traitement contre la douleur. Lorsqu’ils ne sont plus considérés comme assez rentables, les animaux sont tués. Dans un abattoir, les travailleurs traînaient les chèvres dans la salle d’abattage, leur frappaient la tête avec un marteau et leur tranchaient la gorge sous les yeux de leurs congénères. Après cela, certaines continuaient à bouger et à agoniser pendant plus de quatre minutes.

L’avenir de la mode est végan

De nombreuses matières véganes élégantes sont disponibles, notamment le coton biologique, le cachemire en fibre de soja, le chanvre et le bambou issus de l’agriculture durable, les matériaux recyclés, le modal et le Lyocell (ou Tencel) fabriqués à partir de bois récolté de manière durable.

Chanel et Burberry seront-t-il les prochains ?

VF Corporation rejoint Victoria’s Secret, Genesco et des dizaines d’autres entreprises qui ont banni le cachemire. Nous appelons maintenant Dior, Chanel, Burberry et d’autres marques à faire de même. Rejoignez notre campagne et envoyez-leur un message dès maintenant.

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Le roi Charles III reçoit un panier de faux gras de la part de PETA

À l’occasion de sa visite à Paris, PETA a fait parvenir au roi Charles III une délicieuse sélection de terrines et de foie gras végétaux, élaborés par le chef étoilé Michelin Fabrice Biasiolo. Le monarque anglais avait pris la décision louable de bannir le foie gras de toutes les résidences royales britanniques et nous l’appelons dans une lettre à vanter les mérites du faux gras auprès d’Emmanuel Macron, car « la France, comme l’Angleterre, doit mettre fin à cette production pour privilégier de délicieuses alternatives pour lesquelles personne n’a souffert ».

Le gavage, une technique cruelle et douloureuse

Dans sa lettre au roi, PETA salue de nouveau sa décision de bannir le foie gras des résidences royales britanniques. Le foie gras est en effet le produit du gavage, une technique cruelle et douloureuse : de longs tubes en métal sont enfoncés dans le gosier des oiseaux afin de déverser directement dans leur estomac une énorme quantité de céréales pour rendre leurs foies malades. Cette pratique est si cruelle que de nombreux pays l’interdisent déjà et l’Union européenne s’y est opposée dès 1998 par une directive.

Ces dernières années, des épisodes de grippes aviaires à répétition s’abattent sur la France, menant à des abattages massifs. La production de foie gras n’est plus tenable ni rentable pour les producteurs français qui sont en grande difficulté et il est clair que cette filière est sans avenir. Il est grand temps de s’adapter en conséquence et de passer à des alternatives végétales. La France doit suivre l’exemple du Royaume Uni où la production de foie gras est bannie sur l’ensemble du territoire depuis 2011, et mettre fin à cette production pour privilégier de délicieuses alternatives pour lesquelles personne n’a souffert.

Ce que vous pouvez faire

Pour ne plus participer à la souffrance d’oies et de canards innocents, refusez de consommer du foie gras. Il existe aujourd’hui une variété de faux gras disponibles ainsi que de savoureuses recettes de foie gras végan à faire soi-même, comme celle élaborée pour PETA par le chef français étoilé Alexis Gauthier.

Écrivez aussi à votre mairie afin qu’elle s’engage à ne plus servir de foie gras :

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Nice : un « thon » géant distribue des pans bagnats pour défendre les poissons

Ce midi dans le centre de Nice, des militants de PETA, dont l’un costumé en « thon » géant, ont distribué des pans bagnats végans pour sensibiliser les passants au sort des animaux marins et les encourager à se passer de poisson. Avec cette action, l’association entend convaincre les Français qu’il est plus simple que jamais d’adapter les spécialités culinaires régionales pour épargner les animaux.

Nath B

Nath B

Les poissons sont des êtres sensibles et intelligents et des alternatives délicieuses existent pour remplacer leur chair. Il est donc possible de continuer de se régaler de ses plats favoris, mais sans qu’aucun animal ne soit tué pour les préparer.




Ne fermons pas les yeux sur la souffrance des poissons

Les poissons sont des êtres sociaux, intelligents et surprenants. Ils sont sensibles, capables de ressentir des émotions, de compter, de tisser des liens sociaux ou encore d’utiliser des outils. Ils méritent notre considération et de vivre sans souffrance.

Pourtant, ils sont capturés et tués de manière violente pour la consommation. Les thons sont tués soit en se faisant retirer les branchies, soit en étant électrocutés, saignés ou jetés sur de la glace où ils agonisent lentement. Parce que cette souffrance a lieu loin des yeux du consommateur, elle passe parfois inaperçue et on néglige trop souvent le sort de ces individus. D’ailleurs, le nombre de poissons tués chaque année est comptabilisé en millions de tonnes et non en nombre d’individus, invisibilisant ainsi l’ampleur du carnage.

Entre 75 000 et 90 000 poissons sont tués chaque seconde pour la consommation humaine dans le monde.

Agissez pour les poissons

Il est possible de rester fidèle aux traditions culinaires tout en ne soutenant pas l’exploitation animale pour la consommation.

Montrez votre compassion pour les poissons en choisissant de les laisser hors de votre assiette et commandez un « Guide du végan en herbe » gratuit pour obtenir des recettes et des conseils qui vous aideront à adopter un mode de vie plus sain et plus heureux :

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Un immense crocodile s’affiche dans Paris pour protester contre Hermès

En amont de la Semaine de la mode parisienne, un crocodile géant a pris d’assaut un mur du Marais pour appeler Hermès et les autres marques qui utilisent encore les peaux exotiques à s’en défaire une fois pour toutes. PETA a fait appel à la talentueuse muraliste Nina Valkhoff pour peindre l’immense reptile haut d’environ sept mètres, qui apparait en partie dépecé et flottant devant la silhouette d’un sac de luxe en arrière-plan, accompagné du message « Des crocodiles souffrent pour des accessoires. Stop aux peaux exotiques ! ».

Pour obtenir ces peaux, des crocodiles, alligators, serpents, lézards, autruches et autres êtres sensibles sont confinés, mutilés, dépecés et violemment abattus.

Nina Valkhoff

Victimes de la mode

Plusieurs enquêtes diffusées par PETA ont dévoilé toute l’horreur que subissent les reptiles confinés, charcutés et tués pour leurs peaux. On y voit des crocodiles parqués à l’étroit dans des enclos et des cages lugubres, traînés, mutilés et poignardés avec un tournevis. D’autres images de l’association australienne Kindness Project, prises dans des élevages intensifs australiens appartenant à Hermès, montrent les mêmes pratiques cruelles.

Au moins trois crocodiles doivent endurer ces supplices pour fabriquer un seul sac Hermès.

Chaque article en cuir exotique provient d’un ou de plusieurs animaux intelligents et sensibles qui ont subi la misère d’un confinement intensif et des souffrances inimaginables avant d’être violemment abattus.

De la créativité, pas de la cruauté

Nina Valkhoff est une artiste muraliste néerlandaise ayant réalisé des œuvres à travers le monde durant ses 20 ans d’activité. Elle déclare : « En ce qui me concerne, j’aime peindre des animaux parce que j’espère pouvoir inciter les gens dans la rue à se soucier davantage de ces êtres sensibles et peut-être à arrêter de les manger. La plupart du temps, c’est subtil. J’aime beaucoup le fait que cette fois j’ai pu apporter un message aussi fort sur les crocodiles, surtout avec le texte révélateur de PETA à côté de mon dessin. »

Ce crocodile géant rend donc hommage à tous ses congénères torturés et massacrés pour finir en sac, en bottes ou en ceinture vendus par Hermès et d’autres enseignes qui se bornent à vendre des articles en peaux exotiques tout en sachant toute l’horreur que cela implique.

Aucun accessoire de mode ne vaut la souffrance et la mort violente d’un être sensible. Il est plus que temps pour la maison de tirer un trait sur les peaux exotiques, en faveur des matières innovantes et éthiques disponibles aujourd’hui et pour lesquelles personne n’a été écorché vivant. Aidez-nous à faire cesser ce massacre en envoyant un message aux responsables d’Hermès :

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« Chair de cadavre », « boyau fourré » : PETA met Fesneau au défi d’étiqueter honnêtement les produits carnés

Alors que le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire a annoncé préparer un nouveau décret pour interdire l’utilisation de dénominations tels que « steak » ou « saucisse » pour désigner des aliments végétaux, PETA a écrit au ministre afin de l’appeler à défendre jusqu’au bout la transparence de l’étiquetage en légiférant pour que les produits provenant d’animaux soient, eux-aussi, honnêtement présentés.

Dans cette lettre, nous soulignons que si « mettre fin aux allégations trompeuses sur les étiquetages est une priorité du gouvernement », comme l’a déclaré Marc Fesneau, alors celui-ci se doit de faire en sorte que les produits carnés soient également rebaptisés : une saucisse est en réalité un « boyau fourré de chair hachée », un steak est un « morceau de chair de cadavre », et les lardons sont des « bâtonnets de gras de jeune cochon ». Cela aiderait clairement le grand public à comprendre qu’il ingère des morceaux d’organes et de chair d’êtres tout aussi sensibles que nous.

« Quitte à demander une transparence dans la consommation, faites preuve de cohérence et légiférez pour interdire toutes dénominations trompeuses, dont celles utilisées par les industries de la viande pour faire oublier aux consommateurs qu’ils achètent des morceaux de cadavres. »

Les steaks végétaux ne sont pas trompeurs – c’est l’industrie de la viande qui l’est

Les consommateurs ne sont pas du tout désorientés par les steaks végétaux, les saucisses véganes ou les aiguillettes de soja, mais ils ont été induits en erreur par le lobby de la viande au sujet de l’impact de la production des produits carnés sur les animaux, l’environnement et la santé humaine.

C’est via cette dissimulation du massacre à grande échelle d’animaux – qui ont la capacité de ressentir des émotions et toute la terreur et l’agonie de leur mise à mort violente – et la commercialisation des parties de leurs corps comme de vulgaires ingrédients, que les consommateurs sont véritablement trompés. Pour finir dans nos assiettes, les vaches, les cochons, les agneaux, les poulets et les autres animaux sont mutilés, confinés, violentés, privés de soin, et tués, parfois en toute conscience, avant d’être dépecés et vendus par petits morceaux.

Par ailleurs, l’élevage détruit notre planète et est responsable de plus d’émissions de gaz à effet de serre que tous les modes de transports réunis. Et comme l’affirme une nouvelle étude publiée cette semaine, les alternatives végétales à la viande et au lait sont bénéfiques pour la nature et le climat, et les privilégier mènerait à « une réduction substantielle des impacts environnementaux mondiaux d’ici à 2050 ». En pleine crise climatique, ce décret est d’autant plus immoral et irresponsable.

Le gouvernement prend les consommateurs pour des andouilles

La législation proposée n’est qu’une tentative désespérée de saper la vente des produits végétaux par les entreprises exploitant les animaux. Ceci devient encore plus évident lorsque l’on sait que certaines appellations n’ont à l’origine aucun rapport avec la viande, telles que « steak » qui signifie « tranche » en anglais, ou encore « carpaccio » qui fait référence à un peintre italien qui faisait prévaloir le rouge dans ses œuvres.

Saucissons au chocolat, caviars d’aubergine ou autres beurres de cacahuète sont largement disponibles dans le commerce et n’induisent pourtant personne en erreur. On peut changer une étiquette, mais on ne peut pas changer le fait que les produits végétaux sont bien meilleurs pour les animaux, l’environnement et notre santé.

Choisissez des steaks, saucisses, escalopes et autres émincés végans

Il y a tant de produits végans merveilleux dans les rayons des supermarchés. Il peut être difficile de choisir le simili carné idéal, mais en essayant plusieurs marques vous trouverez certainement de quoi ravir vos papilles.

Commandez notre « Guide du végan en herbe » gratuit afin de bénéficier d’informations, de conseils et de recettes pour adopter une alimentation respectueuse de tous les animaux et de cette planète que nous partageons :

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Événement virtuel PETA : conversation sur le Fonds international pour la compassion avec Ingrid Newkirk

Comment Afina a-t-elle pu survivre à tout cela ?

Cette chienne malheureuse, effrayée et isolée flottait sur un « îlot » de débris en métal après l’inondation catastrophique en Ukraine au mois de juin. Mais il y a une fin heureuse !

Vous verrez comment Afina et des centaines d’autres animaux ont été sauvés dans la prochaine discussion au coin du feu du Fonds international pour la compassion de PETA.

Quand : mardi, 19 septembre

Heure :  19 h

Lieu :     streaming en ligne

Connectez-vous pour écouter Ingrid Newkirk, la fondatrice de PETA, conter les histoires émouvantes de survie et de ténacité d’une équipe de secours poussée dans ses derniers retranchements dans la lutte pour sauver des animaux des inondations en Ukraine. Mais ce n’est que le début de cette soirée inspirante.

Elle nous emmènera aussi en Amérique du Sud, au Moyen-Orient et en Inde pour nous faire découvrir des interventions et des sauvetages salvateurs et captivants. Vous rencontrerez les équipes qui empêchent à des individus de maltraiter des animaux, accordent leur retraite à des ânes, des chevaux et d’autres animaux exploités depuis trop longtemps, organisent des campagnes de stérilisation de masse dans des communautés défavorisées, et plus encore – tout cela grâce à votre soutien au Fonds international pour la compassion de PETA.

Ne manquez pas une seule de ces histoires réconfortantes, inscrivez-vous dès aujourd’hui :

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Recrutement : conseiller/ère en politiques scientifiques, France

Conseiller/ère en politiques scientifiques, France

Objectif du poste :

Prendre la tête des projets sur la politique et la recherche en matière d’expérimentation animale afin de soutenir le plaidoyer de PETA en faveur des animaux utilisés pour l’expérimentation en France.

Période d’emploi :

Temps plein, auto-entrepreneur

Lieu de travail :

En télétravail, basé de préférence à Paris, mais le Royaume-Uni et la Belgique sont également des options.

Supérieur hiérarchique :

Responsable de la politique scientifique

Principales responsabilités et missions :

En consultation et conformité vérifiée avec les objectifs, les standards et les exigences communiquées par PETA Royaume-Uni, PETA France, PETA États Unis et le PETA Science Consortium International e.V.:

  • Rechercher et interpréter de façon autonome une variété de questions d’ordre scientifique, politique, stratégique et autres liées à l’expérimentation animale afin de faire avancer les objectifs de PETA
  • Développer des réseaux et coordonner des réunions avec les principaux décideurs politiques et autres acteurs concernés
  • Collaborer avec le directeur du Département scientifique de PETA Royaume-Uni et d’autres conseillers en politique scientifique pour identifier et obtenir les informations nécessaires à la rédaction de fiches d’information, de rapports, de correspondance et d’autres documents
  • Travailler en collaboration avec d’autres départements de PETA et des entités PETA, notamment le Département des tests réglementaires et le Département de l’avancement scientifique et de la sensibilisation de PETA États-Unis
  • Établir des relations et maintenir la communication avec des interlocuteurs clés, en particulier les décideurs dans les domaines législatif et administratif
  • Organiser des réunions avec des parlementaires, des entreprises et des législateurs et faire des présentations lors de conférences
  • Développer une expertise dans les méthodes d’expérimentation non animale et faire appel à l’expertise des autres
  • Répondre à la correspondance concernant les questions liées à l’expérimentation animale
  • Analyser les documents techniques et la législation et traduire la terminologie scientifique et juridique en termes simples pour les projets de recherche
  • Identifier les opportunités de fournir des commentaires publics qui promeuvent des approches d’expérimentation non animale et piloter la rédaction et de la présentation de ces commentaires
  • Représenter PETA lors d’interventions publiques, de débats, auprès des médias et du grand public
  • Communiquer la philosophie de PETA au public
  • S’acquitter de toute autre mission confiée par le supérieur
  • Pouvoir réaliser toutes les missions en anglais et en français

Qualifications :

  • Être diplômé dans un domaine connexe
  • Maîtrise du français et de l’anglais à l’oral et à l’écrit (indispensable)
  • Connaissance démontrable du fonctionnement du Parlement européen, de la Commission européenne et du gouvernement français
  • Connaissance de la problématique de l’utilisation des animaux en laboratoire, de la législation française et européenne associée, et des alternatives à l’expérimentation animale
  • Une expérience liée aux questions et politiques françaises en matière d’expérimentation animale serait préférable
  • Capacité avérée à se tenir au courant des évolutions politiques, sociales et économiques pertinentes
  • Capacité éprouvée à renseigner des collègues et d’autres parties prenantes pertinentes
  • Capacité éprouvée à mener des recherches approfondies
  • Excellentes compétences éprouvées en matière de rédaction et de recherche
  • Capacité avérée à travailler de manière indépendante et à gérer plusieurs tâches simultanément
  • Souci éprouvé du détail, sens de l’organisation exceptionnel et capacité à travailler sous pression et à respecter des délais serrés
  • Capacité éprouvée à émettre des jugements solides et indépendants
  • Capacité à interagir efficacement avec divers groupes de scientifiques, de parlementaires, de représentants de l’industrie, du public et d’autres parties prenantes
  • Compétences exceptionnelles en matière de prise de parole et de réseautage
  • Capacité à maintenir une stricte confidentialité en tout temps
  • Volonté et capacité de voyager, selon les besoins
  • Bonne apparence professionnelle
  • Adhésion à la philosophie de PETA et aptitude à défendre de manière professionnelle les positions de PETA sur différentes questions
  • Engagement envers les objectifs de l’organisation

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Journée mondiale contre le spécisme : des « bébés » au barbecue pour promouvoir une alimentation végane

À l’occasion de la Journée mondiale contre le spécisme, les habitants de Marseille, Avignon et Montpellier ont été confrontés à une scène choc : un cuistot a fait griller un « bébé » ainsi que des morceaux de « nourrissons » démembrés sur un barbecue. On pouvait lire inscrit sur celui-ci : « Aucun bébé ne devrait mourir pour un barbecue : devenez végan ! ».

Anne Combaz

Aura

D’autres pancartes informaient sur l’âge auquel sont tués les veaux, cochons et poulets élevés pour leur chair et les militants ont également distribué des tracts encourageant les passants à penser à ceux qui meurent pour leurs repas et à consommer différemment. L’action visait à rappeler que les très jeunes animaux qui finissent dans nos assiettes méritent de vivre sans souffrance tout comme nous humains.

Des bébés arrachés à leur mère, mutilés, enfermés et mis à mort

Des études ont démontré que les cochons ont d’impressionnantes capacités cognitives et une conscience de soi, les veaux sont joueurs et affectueux, les poulets savent compter et communiquent entre eux, et que tous ces petits tissent des liens très forts avec leurs mères et leurs congénères. Tous sont capables de ressentir la joie, l’amour, la peur et la douleur. Pourtant, ces jeunes individus sont arrachés à leur mère, mutilés, enfermés dans des conditions insalubres, privés de tout ce qui leur est naturel et souffrent souvent de nombreux problèmes de santé.

Enfin – et peu importe si leurs conditions de vie ont été à peine meilleures dans des élevages labellisés ou « bio » (plus de 8 animaux sur 10 sont en élevage intensif en France) – tous ces êtres sensibles subissent un trajet pénible et terrifiant jusqu’à l’abattoir alors qu’ils ne sont généralement âgés que de quelques mois. Ils y subissent une mort violente et terrifiante, parfois alors qu’ils sont encore conscients.

En ce qui concerne leur capacité à souffrir et à ressentir la peur et la douleur, un veau, un poulet, un cochon de lait ou tout autre animal est semblable à un bébé humain. Aussi, toute personne choquée par l’idée de cuire et de manger un nourrisson devrait remettre en question sa consommation de jeunes animaux dont les parties du corps finissent en escalope ou en brochette alors qu’ils méritent notre compassion et notre protection.

Qu’est-ce que le spécisme ?

Le spécisme est une croyance humaine selon laquelle une espèce est plus importante qu’une autre, affirmant que la vie et les expériences de certains animaux sont inférieures à celles des humains ou d’autres animaux simplement parce qu’ils appartiennent à des espèces différentes. Cette vision du monde pousse à considérer les animaux non humains – qui ont leur propres désirs, besoins, et vies complexes – comme des moyens d’atteindre des fins humaines et elle sous-tend toutes les formes les plus répandues d’abus envers les animaux.

La seule différence entre un bébé humain et un bébé animal provient donc de notre perception spéciste qui dresse des hiérarchies arbitraires entre les espèces, et la seule façon d’y mettre fin est de devenir végan, pour qu’aucun individu ne finisse sur un grill.

Contribuez à épargner tous les bébés

Nous demandons à quiconque se sent écœuré à l’idée de consommer un nourrisson de remettre en question sa consommation de tout individu tout aussi sensible et de faire la transition vers une alimentation végane, respectueuse de tous.

Avec la quantité de viandes végétales disponibles aujourd’hui, il est plus facile que jamais de se nourrir avec compassion et même de faire un barbecue savoureux et végan sans contribuer au massacre d’animaux.

Les personnes ne souhaitant plus manger aucun bébé ni aucun autre animal peuvent commander un exemplaire gratuit du « Guide du végan en herbe » de PETA :

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Lolita, l’orque la plus solitaire au monde, est morte

Lolita est morte. Après plus de 50 ans passés dans un bassin exigu, sa misérable existence au Seaquarium de Miami a pris fin.

Au début de l’année, lors d’une conférence de presse tenue à Miami le 30 mars, le Miami Seaquarium a annoncé son intention de relâcher Lolita (alias « Tokitae », « Toki » ou « Sk’aliCh’elh-tenaut ») dans un sanctuaire côtier de l’État de Washington.

Cette annonce faisait suite à une campagne massive menée par les entités de PETA – y compris plusieurs procès intentés par PETA États-Unis au nom de Lolita – ainsi qu’à la campagne menée par les habitants et des célébrités locales, qui ont sensibilisé l’opinion publique à son sort par des dizaines de manifestations, et au partenariat de The Dolphin Company avec les Amis de Toki. Bien que le projet n’ait jamais abouti, il a été rendu possible grâce à la générosité du philanthrope Jim Irsay, propriétaire et directeur général de l’équipe de football américain des Indianapolis Colts.

La capture de Lolita

Lolita avait environ 4 ans lorsqu’elle a été arrachée à sa famille et à l’océan au cours de la plus grande capture d’orques sauvages de l’histoire. Elle ne pouvait pas savoir qu’elle passerait les cinquante prochaines années dans le plus petit bassin d’orques du monde, sans jamais revoir sa famille.

En 1970, des équipes ont utilisé des hors-bord, des avions et des explosifs pour enfermer toute la communauté d’orques résidentes du sud – qui comptait 80 membres – dans une crique étroite. Quatre d’entre eux se sont noyés et sept jeunes ont été enlevés et vendus à des aquariums du monde entier. Le Miami Seaquarium a évalué la vie de Lolita à 6 000 dollars.

Sur les sept orques capturées, Lolita était la dernière survivante. L’orque supposée être sa mère, qui serait toujours en train de nager dans la nature, lui a probablement survécu.

Terrell C. Newby, Ph.D.

D’abord baptisée « Tokitae », Lolita a souffert dans un bassin plus petit que tous les autres jamais utilisés pour emprisonner une orque à vie. Ce transfert n’était pas seulement cruel, il était aussi illégal, conformément à la loi fédérale américaine sur le bien-être des animaux (Animal Welfare Act). Le projet de la transférer dans un sanctuaire côtier est arrivé bien trop tard, et elle a dépéri dans sa prison infernale jusqu’au jour de sa mort.

Sa vie solitaire

Pendant plus de 50 ans, Lolita n’a rien vu d’autre que les murs de béton qui l’entouraient. Son seul compagnon fut Hugo, un autre orque malheureux qui avait été capturé dans un filet et enlevé lors des rafles. Il se révoltait contre la captivité, se frappant régulièrement la tête contre les murs, et se coupa même gravement lors d’un épisode où il brisa la vitre d’une fenêtre d’observation. Finalement, en 1980, il a heurté la paroi du bassin si violemment qu’il en est mort. Le rapport officiel indique qu’il est mort d’un anévrisme cérébral. Hugo avait pris des mesures radicales pour mettre fin à ses souffrances, mais Lolita s’est retrouvée seule.

Pendant des décennies, Lolita a exécuté ses tristes et désolants tours. Elle a appelé sa famille perdue, en utilisant le dialecte propre à son groupe. Les orques ont une très grande mémoire, et elle pensait sans doute à sa famille ou regrettait le temps où elle pouvait nager librement et plonger en profondeur.

Proche de la liberté

Lorsque la famille des orques résidentes du Sud de Lolita a été classée comme étant en danger, le gouvernement américain l’a exclue des protections prévues par l’Endangered Species Act (loi sur les espèces en danger). À la suite d’un procès, le gouvernement a accepté une pétition officielle présentée par PETA États-Unis, l’Animal Legal Defense Fund et l’Orca Network, selon laquelle Lolita ne pouvait pas être exclue de la classification de sa famille au titre de cette loi. D’autres actions en justice intentées par ces groupes ont démontré que son bassin n’atteignait même pas la taille minimale requise par la loi fédérale. Il était enfin prévu de la renvoyer dans l’océan, mais elle n’y est pas parvenue.

Les orques ont encore besoin d’aide

Il est trop tard pour Lolita, mais pas pour les autres orques captives. Rendez hommage à Lolita en refusant d’acheter un billet d’entrée dans un parc marin.

PETA demande à Parques Reunidos de mettre à la retraite les orques Wikie, Inouk, Moana et Keijo. Rejoignez-nous en envoyant un message au parc marin dès maintenant :

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Une « pêche » et un « thon » géants distribuent une spécialité culinaire du Nord… pour défendre les animaux

Aujourd’hui, des militants PETA et REV, certains costumés en « pêche » et en « thon » géants, ont distribué une spécialité du Nord en bord de plage à Dunkerque, pour défendre les poissons. Les promeneurs se sont vu offrir des pêches au ‘thon’, mais à une différence près : aucun animal n’a été tué pour les fabriquer. Les militantes costumées brandissaient des pancartes où l’on pouvait lire « On aime la pêche au thon sans le poisson » et « Pêches au thon véganes ».

Sébastien Billard

L’action visait à montrer qu’on peut continuer à cuisiner ses plats favoris tout en les faisant évoluer pour épargner les animaux. Les poissons sont des êtres sensibles et intelligents et des alternatives délicieuses existent pour remplacer leur chair, dont dans les pêches au ‘thon’. Plus d’excuse donc, pour ne pas les laisser hors de nos assiettes et de se tourner plutôt vers des options gourmandes et sans cruauté.



Les thons et les autres poissons, des individus intelligents et sensibles

Les poissons sont capables de tisser des liens sociaux et de ressentir des émotions. Malgré cela ils sont capturés et tués de manière violente pour la consommation. Les thons sont soit tués par ésachage (on leur retire leurs branchies), soient électrocutés, saignés ou mis sur glace où ils agonisent lentement. Parce que cette souffrance a lieu loin des yeux du consommateur, elle passe parfois inaperçue et on oublie trop souvent le sort de ces êtres. D’ailleurs, on comptabilise le nombre de poissons tués chaque année en millions de tonnes, et pas en individus.

Les scientifiques les plus reconnus s’accordent sur le fait que les poissons ressentent la douleur. Comme l’a écrit la biologiste Victoria Braithwaite « Il y a autant de preuves que les poissons ressentent la douleur et souffrent, qu’il y en a pour les oiseaux et les mammifères », une conclusion peu surprenante pour quiconque ayant déjà vu un poisson lutter pour sa survie lorsque celui-ci est tiré hors de l’eau.

Dr Sylvia Earle, l’un des plus grands biologistes marins du monde, a déclaré,

Je ne mangerais pas délibérément un mérou, pas plus que je ne mangerais un cocker. Ils ont un si bon caractère, ils sont si curieux. Vous savez, les poissons sont sensibles, ils ont des personnalités, ils ont mal quand ils sont blessés.

Il est grand temps que nous nous mettions à leur place, et que nous étendions notre compassion aux poissons en les laissant hors de notre assiette.

Aidez les poissons

Montrez votre compassion pour les poissons en devenant végan ! Commandez un « Guide du végan en herbe » gratuit pour obtenir des recettes et des conseils qui vous aideront à adopter un mode de vie plus sain et plus heureux :

Si vous souhaitez préparer vos propres pêches au ‘thon’ chez vous, il vous faudra des demi-pêches égouttées, remplies de quelques cuillérées de Vuna (ou de tout autre ‘thon’ végétal) aggrémenté de mayonnaise végane, d’échalottes coupées finement, de persil, de sel et de poivre.

Sébastien Billard

Et découvrez comment remplacer simplement le poisson dans d’autres plats par des produits végétaux :

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ASSOCIATION DE PROTECTION ANIMALE BASEE EN ALSACE