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May the fourth : 4 raisons pour lesquelles Star Wars devrait vous encourager à être végan

Dans toute la galaxie, le 4 mai – ou « May the 4th be with you » (que la Force soit avec vous) – est célébré comme la Journée Star Wars.

Star Wars est bien plus que la plus grande franchise de science-fiction de tous les temps. Outre un phénomène culturel mondial, c’est une œuvre qui reflète certaines des questions éthiques les plus profondes de notre époque, notamment notre lien aux animaux.

Alors, pourquoi est-ce que Star Wars devrait vous encourager à défendre la vie de tous les animaux en devenant végan ?

Des acteurs défendant la justice et la liberté, pour les animaux aussi

Saviez-vous qu’un certain nombre des acteurs de la franchise sont des amis des animaux et utilisent leur notoriété pour sensibiliser au véganisme et aux droits des animaux ? Que ce soit Daisy Ridley (Rey), Thandie Newton (Val), Mark Hamill (Luke Skywalker), Woody Harrelson (Tobias Beckett) ou encore Natalie Portman (Padmé Amidala), ils sont nombreux à avoir adopté une alimentation végétale et à défendre un mode de vie végan.

« En tirant mon lait, j’ai réalisé que l’équivalent pour les vaches, ce serait que mon lait aille dans la bouche de gens qui assassinent et mangent ma famille. #vegan » – Thandie Newton

« Ce n’est que lorsque j’ai commencé à militer pour les droits des femmes que j’ai réalisé que mon véganisme était lié à ces mêmes problématiques. Les produits laitiers et les œufs ne proviennent pas juste de bovins et de poulets, ils proviennent de vaches et de poules. Nous exploitons le corps des femmes et nous abusons de l’aspect magique des femelles animales pour produire des œufs et du lait. » – Natalie Portman

Le film Les Derniers Jedi comporte des messages pro végan

Vous n’avez peut-être pas aimé la dernière triologie, mais chez PETA nous pensons que Star Wars : Les Derniers Jedi mérite le titre de meilleur Star Wars. Que ce soit avec les porgs, les fathiers, les vulptices ou cette répugnante scène du lait vert, cet épisode n’a pas hésité à mettre à l’écran le sort des animaux utilisés pour les désirs humains.

Au cours du film, Chewbacca s’apprête à manger un oiseau ressemblant à un poulet lorsqu’il aperçoit un petit groupe de porgs, de mignons oiseaux marins, qui le regardent en pleurant, choqués qu’il ait tué et s’apprête à manger l’un des leurs. C’est à ce moment-là que Chewie a une « révélation végane », si l’on peut dire : après avoir constaté que les porgs sont des individus dotés de sentiments, il décide de ne pas manger le cadavre.

Pendant le reste du film, on voit Chewie et les porgs ensemble. L’empathie qu’il manifeste à leur égard est le reflet d’un problème bien réel : les poulets, les cochons, les vaches, les dindes et d’autres animaux sont tués pour être mangés sur Terre, alors qu’ils sont intelligents et sensibles et qu’ils méritent de vivre à l’abri des mauvais traitements. Tout comme les porgs, ce sont des animaux sensibles qui ne nous appartiennent pas.

L’une des scènes les plus émouvantes de cet épisode met en scène des fathiers, des êtres qui ressemblent à des chevaux. Lorsque Finn et Rose se trouvent dans la riche ville de Canto Bight, Rose exprime son dégoût pour la ville où se trouve une piste de fathiers qui ressemble étrangement aux pistes de course de chevaux terrienne. On voit alors en gros plan des animaux violemment fouettés et électrocutés avec une sorte de taser, tout cela pour le divertissement des riches citoyens de la ville. Plus tard dans le film, Rose et Finn libèrent les animaux et l’on peut lire la gratitude sur leurs visages. Leur sort est une métaphore des nombreux animaux qui, sur Terre, souffrent chaque jour pour divertir les humains.

Qu’il s’agisse de courses de chevaux, de cirques, de parcs marins, de films et d’émissions télévisées ou de promenades à dos d’éléphant, il est inacceptable de forcer les animaux à se produire en spectacle.

Il a inspiré une attraction Disney entièrement végane

Toute la nourriture et les boissons proposées à l’attraction Star Wars: Galaxy’s Edge des parcs Disneyland américains sont véganes ! C’est pourquoi PETA États-Unis lui a décerné le prix Vegan Superstar en l’honneur du 40e anniversaire du Retour du Jedi. Retrouvez-y notamment les célèbres laits bleus de Star Wars : Un nouvel Espoir et lait vert de Star Wars : Les Derniers Jedi, entièrement sans produits laitiers. Ces boissons rafraîchissantes sont composées d’un mélange de lait de coco et de riz aux saveurs fruitées et tropicales.

Le lait vert est issu d’une des scènes les plus mémorables des Derniers Jedi, celle où Luke Skywalker prend le lait d’une vache marine extraterrestre sur Ahch-To. Le dégoût que le public a éprouvé devant cette scène devrait également être ressenti lorsque les humains boivent du lait de vache. Les mères animales produisent du lait pour leur propre progéniture, pas pour les humains (pas même pour les Jedi). Les vaches ne nous appartiennent pas, et pourtant, elles sont maltraitées dans l’industrie du lait, où elles sont fécondées de force et où leurs petits leur sont arrachés peu après la naissance. Les veaux mâles sont généralement abattus pour leur viande tandis que les femelles subissent le même sort que leurs mères : elles sont traitées comme de simples machines à traire.

Le plus sage de tous les Jedi n’était-il pas végan ?

Bien que cela ne soit jamais dit explicitement dans la série, le comportement pacifique de Yoda laisse penser qu’il s’applique également à son alimentation. Pendant son exil sur Dagobah, il vit dans une hutte de terre dans laquelle il a amassé des plantes, des graines et des noix trouvées dans les marécages. Le soir où il rencontre Luke Skywalker, Yoda lui prépare un « ragoût de racines ». Pendant son séjour sur la Bordure Extérieure, il complète également son alimentation avec d’autres plantes cueillies, notamment des graines de yarum et de galla, des spores de champignons et de l’écorce de sohli. De plus, rappelez-vous du dégoût du maître Jedi pour les rations alimentaires de Luke, lorsqu’il recrache avec répulsion une bouchée de bâtonnet de poisson.

Mais rien ne montre mieux que Yoda était peut-être végan que ses paroles et ses actes. « Un Jedi utilise la Force pour la connaissance et la défense, jamais pour l’attaque », dit-il au jeune Skywalker dans L’Empire Contre-Attaque, prouvant ainsi son engagement en faveur de la non-violence. Il est parfaitement logique que Yoda ait été végan car, grâce à la Force, il avait une empathie très profonde pour tous les êtres vivants , et donc une capacité à ressentir et à percevoir la souffrance. Tuer inutilement des animaux juste pour leur goût irait à l’encontre de tout ce que Yoda représente et pratique.

Végan, tu seras

Tout comme les Jedi, vous pouvez faire la différence dans le monde et choisir de le faire basculer du côté lumineux plutôt que du côté obscur. En décidant de ne plus consommer de plats, de vêtements, de cosmétiques et d’autres produits issus de l’exploitation et de la mort des animaux, vous épargnez environ 200 vies chaque année.

Joyeux 4 mai, et que la Force (végane) soit avec vous !

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Recap de nos dernières adoptions

Une après-midi émouvante

Le vendredi 26 avril, un nouvel arrivage de chiens près à l’adoption est arrivé pour rejoindre leur famille d’accueil.

Cela fait maintenant une semaine que certains de nos protégés ont été adopter.  Quelques chiens ont enfin pu trouver une famille aimante et bienveillante.

En prévision de l’arrivé des animaux, chaque famille ont étés préparer. Un environnement sain et adapté, un train de vie qui convient… Un animal n’est pas jouet, et nos protégés (et de manière général tous les animaux de compagnie) ont besoin d’un accompagnement.

un des chiots adopter

Des bénévoles nous en parle

Présent sur place afin de superviser la rencontre pour les adoptions, quelques bénévoles adressent au micro de la nouvelle stagiaire de l’association quelques mots aux personnes souhaitant adopter ou qui sont en pleine procédure d’adoption.

 

« Il y a beaucoup de gratitude, que ce soit de la part des animaux mais aussi de quelques adoptants… Et on sait qu’on sauve des animaux… »

« C’est pas des jouets, on les prend pas comme ca pour faire plaisir à un enfant. C’est un long investissement financier, à long terme sur beaucoup de choses. »

un autre de nos adoptions

« C’est très important que le chien soit à l’aise, il faut que l’environnement soit approprié… »

« On donne toutes les recommandations pendant les près visites, qui sont déjà dans le contrat, et on reprend les questions qui figurent déjà dans le formulaire lors du jour j. »

 

« Quand on adopte, il faut savoir ce que l’ont fait. Il faut qu’ils soient conscient (les adoptants) que c’est pour la vie.  »

Mot de la fin

En fond de compte, les familles ont trouver un nouvel ami pour les mois et années à venir, et les chiens un nouveau foyer.

un de nos adoptés

Sanofi subit des pressions de PETA États-Unis au sujet des tests de quasi-noyade

Alors que se tenait l’assemblée annuelle du géant français de l’industrie pharmaceutique Sanofi à Paris, un « savant fou » a reproduit le test à la fois cruel et inutile de quasi-noyade en jetant des « rats » dans d’énormes béchers d’eau. Deux autres militantes habillées de blouses blanches tenaient des pancartes où l’on pouvait lire « Ce n’est pas de la science, c’est de la violence. » ou encore « Sanofi : arrêtez de faire les savants fous. STOP aux tests de nage forcée. »

Thomas Saidi

La manifestation faisait écho à une question d’actionnaire soumise par PETA États-Unis en amont de l’assemblée, appelant le producteur de médicaments à cesser d’utiliser et de financer les tests de quasi-noyade, largement discrédités, comme de nombreuses grandes entreprises pharmaceutiques l’ont déjà fait – dont Pfizer, GSK, Bristol-Myers Squibb, Johnson & Johnson, AbbVie, Roche, AstraZeneca, Sage Therapeutics, Novo Nordisk A/S et Boehringer Ingelheim.

Qu’est-ce que le test de nage forcée ?

Le test de nage forcée est une expérience très répandue, aussi cruelle qu’inutile. Lors de ce test, les expérimentateurs placent des souris, des rats, des cochons d’Inde, des hamsters ou des gerbilles dans des récipients remplis d’eau d’où ils ne peuvent s’échapper. Les animaux paniqués tentent de s’échapper en grimpant sur les parois des béchers ou même en plongeant sous l’eau à la recherche d’une sortie. Ils nagent avec acharnement, essayant désespérément de garder la tête hors de l’eau.

Lors de ces expériences de quasi-noyade, les expérimentateurs administrent des substances aux petits animaux, puis ils les placent dans les récipients et attendent qu’ils abandonnent et se laissent flotter, soi-disant pour en savoir plus sur la dépression chez l’humain. Les scientifiques ont vivement critiqué ce test, estimant qu’il s’agissait d’une méthode d’évaluation de la dépression inefficace, et que son utilisation pourrait même empêcher la mise au point de nouveaux médicaments susceptibles d’être efficaces pour l’être humain.

Agissez pour les souris

Par cette action, PETA États-Unis veut faire savoir aux investisseurs que Sanofi refuse d’arrêter d’effectuer un test qui a été discrédité et force de petits animaux paniqués à nager pour survivre.

Le groupe doit cesser de perdre du temps et de gaspiller des ressources et adopter sans attendre des méthodes de recherche sur la dépression modernes, sans animaux.

Agissez en envoyant un message à Sanofi dès maintenant :

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Hermès mis au défi de visiter des abattoirs producteurs de peaux exotiques avec PETA

« Vous agissez comme si vous n’aviez rien à cacher… Prouvez-le. » Lors de la réunion annuelle de la maison de couture française, un représentant de PETA États-Unis, actionnaire du groupe de luxe, a décrit les dessous sanglants de la production de peaux exotiques aux autres actionnaires choqués, puis a demandé à Axel Dumas, PDG d’Hermès : « Quand irons-nous ensemble examiner les conditions réelles dans lesquelles ces animaux vivent et meurent ? »

De nombreux grands créateurs ont abandonné les peaux exotiques, mais Hermès continue de vendre des articles fabriqués à partir de matières obtenues de manière cruelle – et les entités de PETA maintiennent la pression sur la société pour qu’elle abandonne ces produits de souffrance.

Hermès ne doit pas continuer à ignorer les atrocités commises dans les élevages et les abattoirs qui l’approvisionnent en peaux exotiques. La souffrance d’êtres sensibles n’a rien de luxueux, et la marque doit opter pour des matières végétales sans cruauté, comme l’exigent les consommateurs.

« Peu importe l’élevage dans lequel Hermès s’approvisionne en peaux. Il s’agit de pratiques courantes dans l’industrie. Votre propre politique pour le bien-être animal affirme : « Cette politique reconnaît la notion de sensibilité animale et l’importance de permettre aux animaux d’éviter toute souffrance inutile et de permettre aux animaux de vivre des expériences influant positivement sur leur bien-être. » Vous continuez pourtant à soumettre les reptiles à une vie de souffrance et à une mort lente et atroce. Vous agissez comme si vous n’aviez rien à cacher, je vous le demande donc : « Prouvez-le ». Nous avons demandé à accompagner Hermès pour visiter des élevages et abattoirs d’animaux exotiques, et votre manque de réponse en dit long. Je pense que vos autres actionnaires conviendront qu’il s’agirait d’une initiative utile. Notre question est donc la suivante : quand irons-nous ensemble examiner les conditions réelles dans lesquelles ces animaux vivent et meurent ? » – James Fraser, au nom de PETA États-Unis

Dans sa réponse, Axel Dumas a décliné l’invitation, tout en admettant : « Je ne dis pas qu’il n’y a pas de problèmes dans l’industrie ». Le PDG a ensuite tout fait pour duper les actionnaires, faisant référence à la CITES – la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction – une réglementation qui ne concerne que le nombre d’animaux commercialisés, et non la manière horrible dont ils sont élevés et tués.

Un sac Birkin signifie la mort de trois crocodiles

Trois crocodiles sont tués pour confectionner un seul sac à main Hermès. Des enquêtes – dont une vidéo de l’association australienne Kindness Project, tournée dans des élevages intensifs appartenant à Hermès – dévoilent toute l’horreur que subissent les reptiles confinés, charcutés et tués pour leurs peaux. On y voit des crocodiles parqués à l’étroit dans des enclos et cages lugubres, traînés, mutilés et poignardés avec un tournevis.

En décembre, une nouvelle enquête de PETA Asie a révélé que des milliers de crocodiles élevés pour leur peau passaient leur vie dans des bassins sales et exigus dans un élevage en Thaïlande. Un crocodile avait été vu en train de bouger pendant 23 longues minutes après qu’un employé a plongé une lame en métal dans son cou.

Une mode sans violences

De nombreux grands créateurs, tels que Mulberry, Victoria Beckham, Chanel, Burberry, Diane von Furstenberg et Vivienne Westwood, ont interdit l’utilisation de peaux de reptiles ou d’autres animaux sauvages. La semaine de la mode de Copenhague a également banni récemment les peaux exotiques de ses défilés.

Les créateurs novateurs soutiennent les options en cuir végan à base d’ananas, de champignons, de pommes, de cactus et d’autres matériaux innovants qui sont magnifiques, meilleurs pour la planète et plus respectueux des animaux.

Aidez-nous à mettre fin à l’industrie des peaux exotiques

Envoyez un message à Hermès pour l’inciter à abandonner les peaux exotiques :

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Les pythons méritent mieux ! PETA États-Unis diffuse une vidéo de serpents massacrés lors de la réunion annuelle de Kering

Lors de l’assemblée annuelle de Kering, un représentant de PETA États-Unis, actionnaire du groupe de luxe, a appelé haut et fort les dirigeants à rompre les liens avec l’ignoble industrie des peaux de reptiles.

Il a appuyé son discours de séquences vidéo diffusées sur un écran qu’il a brandi, à l’attention de François-Henri Pinault, des autres responsables du groupe et des autres actionnaires présents, montrant la plus récente enquête de PETA Asie sur des fermes en Thaïlande qui fournissent des peaux de serpent à la tannerie Caravel, propriété de Kering. Voici les images qu’il a montré à l’assemblée :

La cruauté qui se cache derrière les sacs Gucci

Kering est la maison mère de Gucci, Saint Laurent Bottega Veneta, Balenciaga, Alexander McQueen et Brioni. L’enquête n’est que la dernière en date à révéler des pratiques cruelles chez les fournisseurs de peaux de reptiles des marques du groupe.

Afin qu’ils finissent en sacs et en portefeuilles, des pythons se font frapper à la tête avec un marteau et enfoncer des crochets métalliques dans la tête, par lesquels ils sont suspendus.

Pour que leur peau soit plus facile à arracher, les ouvriers gonflent les serpents d’eau, alors même qu’ils continuent à bouger. Selon le Dr Clifford Warwick, un expert en reptiles qui a examiné les images, il est probable que la plupart des animaux étaient conscients pendant ce processus horriblement douloureux. Les serpents étaient ensuite écorchés vifs.

Exit la peau de python, le cuir d’ananas est aujourd’hui tendance

N’achetez jamais quoi que ce soit fabriqué à partir de la peau d’animaux. Il n’y a rien de luxueux à écorcher des pythons terrifiés et à l’agonie pour des sacs et des ceintures.

Aujourd’hui, des créateurs et créatrices de renommée mondiale font usage de cuirs végétaux à base d’ananas, de champignons, de pommes, de cactus et d’autres matériaux innovants qui sont esthétiques, meilleurs pour la planète et plus respectueux des animaux.

Kering doit rejoindre la liste croissante des plus grandes maisons de couture – parmi lesquelles Burberry, Chanel, Diane von Furstenberg, Jean Paul Gaultier, Victoria Beckham et Vivienne Westwood – qui ont renoncé à l’utilisation des peaux de reptile et d’autres animaux sauvages.

Des tracts distribués aux actionnaires

En début d’assemblée, des militantes de PETA ont distribué des tracts aux actionnaires, les informant de la souffrance d’êtres sensibles que soutient Kering en se bornant à vendre des peaux exotiques.




Prenez un moment pour aider les pythons !

PETA appelle Kering à abandonner l’ignoble commerce des peaux de reptiles et à passer aux matières véganes sans cruauté qu’exigent aujourd’hui les consommateurs compatissants. Aidez-nous à mettre davantage de pression sur les dirigeants de la marque – envoyez-leur un message dès maintenant :

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Journée mondiale pour les animaux dans les laboratoires : des « primates » protestent contre les expériences atroces que subissent des singes

Aujourd’hui, en cette Journée mondiale pour les animaux dans les laboratoires, des sympathisants de PETA portant des masques de singe et brandissant des pancartes proclamant « Mettez fin aux expériences de neurosciences sur les animaux » se sont réunis à l’Institut du cerveau de Paris, à l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Ils ont protesté devant la réunion OFC (Orbitofrontal Cortex Function) 2024, un rassemblement international d’expérimentateurs sur les animaux organisé en partie par la tortionnaire de singes Elisabeth Murray, des National Institutes of Health des États-Unis.

Crédit : Cédric Deligne

Des singes confinés, mutilés et torturés

Les manifestants ont exposé le sort des singes détenus dans le laboratoire d’Elisabeth Murray, dont celui de Beamish, qui y est enfermé depuis 2010. L’expérimentatrice lui a ouvert le crâne, a aspiré une partie de son cerveau et en a détruit une autre partie à l’aide de produits chimiques toxiques. Elle l’a ensuite terrifié avec des araignées et des serpents en caoutchouc d’apparence réaliste. Maintenu isolé, Beamish a subi une perte de poils importante (un indicateur de stress psychologique extrême) et a été vu en train de tourner frénétiquement en rond dans sa cage et assis affaissé, complètement abattu. Des dizaines d’autres singes ont subi le même sort.




Les singes au cerveau endommagé exploités par Elisabeth Murray tournent en rond dans des cages d’acier et sans aucun aménagement, jour après jour, et pas un seul traitement pour les humains n’a résulté de ce tourment. PETA exhorte l’expérimentatrice, ainsi que tous ses confrères et consœurs qui utilisent des animaux pour d’horribles expériences sur le cerveau, à libérer ces animaux, à cesser d’en faire usage et à passer à des méthodes de recherche plus efficaces et pertinentes pour les êtres humains.

Crédit : PETA États-Unis

Elisabeth Murray a gagné sa vie en menant ces tests sur d’innombrables singes comme Beamish, récoltant plus de 50 millions de dollars d’argent public américain depuis 1998.

Ce que vous pouvez faire

Cet enfer n’est qu’un exemple de plus de la cruauté et de l’opacité de l’industrie de l’expérimentation animale. Agissez contre tous les tests sur les animaux en signant notre pétition pour soutenir le Research Modernisation Deal (accord de modernisation de la recherche) de PETA :

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Des « chevaux » et des « dromadaires » appellent l’Égypte à interdire les promenades à dos d’animaux

Aujourd’hui, des militants de PETA portant des masques géants de chevaux et de dromadaires ont protesté devant l’ambassade d’Égypte à Paris pour exhorter le gouvernement égyptien à interdire l’utilisation d’animaux pour transporter les touristes vers les pyramides de Gizeh. Les activistes ont brandi des pancartes où l’on pouvait lire « Égypte : STOP à la maltraitance des dromadaires et des chevaux », « Interdisez les calèches à Gizeh ! » et « Les animaux ne sont pas des véhicules ». Ils ont été interpellés par les forces de l’ordre pour leur action pacifique.

Les touristes vont à Gizeh pour admirer les pyramides, pas pour voir des chevaux mangeant des détritus pour survivre ni des dromadaires cruellement tirés par des cordes, la face ensanglantée. PETA reproche au gouvernement égyptien le retard pris dans le passage aux voiturettes électriques et demande aux visiteurs de ne jamais faire de balade à dos de ces animaux maltraités.

Des dromadaires frappés et traînés

Des images diffusées par PETA Asie montrent des dromadaires utilisés pour des promenades touristiques régulièrement frappés au célèbre marché aux dromadaires de Birqash en Égypte. On y voit même un animal attaché à l’arrière d’un camion et traîné dans les rues. PETA Asie a partagé plusieurs vidéos comme celles-ci avec le ministère égyptien du Tourisme et des Antiquités – une montrant une jument à Gizeh s’effondrant alors qu’elle tirait une calèche et se faisant battre jusqu’à ce qu’elle parvienne à se relever.

Des chevaux blessés et épuisés mangent des ordures pour survivre

D’autres vidéos montrent des chevaux souffrant de plaies ouvertes et de blessures graves non soignées, obligés d’attendre le prochain client dans une chaleur torride, sans ombre ni eau, et essayant de survivre en mangeant des détritus. Le ministère s’était précédemment engagé à interdire l’utilisation de chevaux et d’autres animaux sur les sites touristiques en mettant en place des voiturettes électriques, mais il n’a pas fourni de date précise.

De nombreux chevaux utilisés pour des promenades à Gizeh et Louxor ont été vus avec des plaies douloureuses et sanglantes mais ont été forcés de continuer à transporter des touristes. Même ceux qui présentent des blessures graves, comme des jambes cassées, sont privés de soins vétérinaires. Certains sont cruellement marqués au fer rouge.

Agissez maintenant

Les touristes qui paient pour faire des promenades en calèche ou à dos d’animaux permettent à ces commerces de rester en activité. Si vous prévoyez de visiter l’Égypte, ne participez jamais à ces activités cruelles et veuillez presser dès maintenant le ministre égyptien du Tourisme et des Antiquités de mettre fin à ces agissements en interdisant les calèches et les promenades à dos de cheval et de dromadaire :

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Des militants PETA arrêtés pour avoir perturbé l’AG de LVMH au sujet des peaux exotiques

Des militants PETA arrêtés pour avoir perturbé l’AG de LVMH au sujet des peaux exotiques

Aujourd’hui, des militants de PETA ont été arrêtés lors de l’assemblée annuelle de LVMH pour avoir critiqué l’entreprise (propriétaire de Louis Vuitton, Dior et Fendi) en raison de son soutien à une cruauté extrême via la vente de produits en peau d’animaux torturés. Brandissant des pancartes avec le message « LVMH : arrêtez les peaux exotiques » les militantes animalistes ont bruyamment scandé « Honte à LVMH ! » et « Les animaux ne sont pas des vêtements ! » avant d’être emportés par la police.

Qui portez-vous – Louis Vuitton ou un serpent écorché ?

Chaque sac à main en peau de crocodile, chaque paire de chaussures en peau de serpent représente la souffrance extrême d’un animal vulnérable qui ressent la peur et la douleur et ne voulait pas mourir.

Une enquête de PETA Asie dans les abattoirs qui fournissent LVMH en Indonésie montre des serpents gonflés avec de l’eau, frappés au marteau et coupés avec des rasoirs alors qu’ils sont probablement encore conscients. Les entités PETA ont également rendu compte de la manière dont l’industrie de la mode coupe le cou des crocodiles et enfonce des tiges en métal dans leur colonne vertébrale, décapite des lézards encore conscients à la machette et étourdit électriquement des autruches avant de les égorger devant leurs congénères terrifiées.

Depuis 2017, PETA États-Unis – qui possède des actions LVMH – se rend aux assemblées générales annuelles du groupe pour interpeller les responsables et informer les autres actionnaires au sujet de la cruauté qu’engendre l’utilisation continue de peaux exotiques par les marques du groupe de luxe.

LVMH est à la traîne 

De nombreux autres grands créateurs de mode comme Mulberry, Victoria Beckham, Chanel, Burberry, Diane von Furstenberg et Vivienne Westwood ont abandonné l’utilisation de peaux de reptiles ou d’autres animaux sauvages.

Vous pouvez aider !

PETA appelle LVMH à mettre fin à sa vente honteuse de peaux exotiques, mais aussi de fourrure et d’autres peaux d’animaux. Joignez-vous à nous en écrivant aux responsables du groupe en quelques clics :

Ecrivez à LVMH

 

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PETA Asie révèle que le bétail australien est toujours massacré en Indonésie

PETA Asie révèle que le bétail australien est toujours massacré en Indonésie

De nouvelles révélations choquantes de PETA Asie montrent que les employés en Indonésie massacrent toujours des animaux importés d’Australie, alors même que le gouvernement australien a affirmé que cette horrible pratique avait cessé.

En octobre 2023, un enquêteur de PETA Asie a filmé des images montrant deux vaches avec des boucles d’identification australiennes en train de se débattre sur le sol d’un abattoir après avoir été égorgées par des ouvriers. Les deux animaux donnaient encore des coups et l’un d’eux gargouillait alors qu’on les traînait par les pattes sur le sol sal et qu’on les accrochait. L’une des vaches a continué à se débattre jusqu’à ce qu’un ouvrier l’égorge plus profondément.

Des révélations similaires en 2021

En 2021, PETA Asie a enquêté dans sept abattoirs sélectionnés de manière aléatoire, dont certains faisaient partie du système d’assurance qualité de la chaîne d’approvisionnement des exportateurs (ou ESCAS) du gouvernement australien. Les bovins en provenance d’Australie étaient placés dans des boîtes d’étourdissement et les ouvriers leur tiraient dessus à plusieurs reprises à l’aide d’un pistolet d’abattage avant de les égorger. Les ouvriers étourdissaient parfois partiellement – ou même pas du tout – les animaux. Certains étaient simplement jetés dans des boîtes d’étourdissement et égorgés. Un animal paniqué, encore conscient et dont la tête partiellement coupée pendait, se tordait de douleur tandis qu’un ouvrier découpait sa chair et tentait de le décapiter.

Peu a changé depuis l’enquête précédente de PETA Asie. Les exportateurs sont tenus de respecter les normes ESCAS, l’industrie australienne de la viande continue cependant d’expédier des vaches dans des pays où elles sont abattues dans des conditions qui seraient illégales en Australie.

Un échec du gouvernement

Le gouvernement australien n’a rien fait pour mettre fin à cette maltraitance endémique. Bien que le parti travailliste ait promis, lors de sa campagne électorale en 2019, d’éliminer progressivement les exportations de moutons vivants sur une période de cinq ans, le bétail n’était pas inclus et le parti refuse depuis de s’engager sur un calendrier pour aider les moutons. Rien n’a changé.

Une maltraitance répandue partout dans le monde

Les horreurs que l’on voie sur les images filmées par PETA Asie ne sont pas l’apanage de l’Australie. Partout dans le monde, des pays exportent des vaches, des moutons, des cochons et d’autres animaux afin qu’ils soient abattus à l’étranger. Ils sont entassés dans des camions et des bateaux crasseux où ils se languiront des jours durant, parfois même des semaines. Privés de repos et de pauses, ils sont contraints de rester debout dans leurs propres déjections sans quantités d’eau ou de nourriture suffisantes, ce qui entraîne la perte de nombreuses vies. Imaginez devoir rester dans une voiture pendant des semaines.

Les animaux ne survivent souvent pas à ces périples dangereux. En 2022, un bateau a coulé dans la mer Rouge avec 15 000 moutons à son bord. La même année, près de 800 taureaux ont été renvoyés et tués en France après un conflit entre le pays et l’Algérie.

Vous pouvez faire changer les choses

L’industrie de l’exportation d’animaux vivants est celle de la viande et du cuir. Si vous achetez de la viande ou du cuir, vous financez cette cruauté.

Beaucoup blâment les gouvernements et les législateurs, mais nous sommes responsables. Tant que les humains continueront à consommer des produits d’original animale, des individus continueront à être entassés sur des bateaux et à se vider de leur sang sur le sol des abattoirs.

Il y a une manière d’empêcher la cruauté envers les animaux, et c’est d’opter pour le véganisme.

Demandez également au gouvernement australien de mettre fin à ces pratiques atroces dès maintenant :

Passez à l’action dès maintenant

 

©human.cruelties

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Journée pour les animaux dans les laboratoires : pourquoi est-elle vitale ?

La Journée pour les animaux dans les laboratoires, qui a lieu ce 24 avril, est l’occasion de rendre hommage à tous les animaux qui ont souffert et été tués dans de cruels tests de laboratoires. Malgré un soutien du public en chute libre, l’expérimentation animale continue en France : des milliards de procédures terrifiantes et douloureuses sont effectuées sur ces êtres chaque année. Ces tests sont indéfendables, d’un point de vue moral mais également scientifique, car ils freinent l’avancée de la recherche médicale de diverses manières.

Il est faux de dire que les animaux sont seulement utilisés dans des tests dont le but est de guérir des maladies. Souvent, des scientifiques effectuent des recherches par simple curiosité. Lors d’un test absurde décrit dans un article académique en 2016, des macaques rhésus étaient maintenus en place dans des appareils cruels appelés « chaises de primates » tous les jours pendant jusqu’à six mois afin d’étudier le passe-temps humain des jeux d’argent. Ces singes sans défense étaient contraints à manipuler une manette selon des stimuli visuels sur un écran d’ordinateur et recevaient une gorgée de jus dilué lorsqu’ils exécutaient « correctement » ce qu’on demandait d’eux.

La loi protège peu les animaux dans les laboratoires, ainsi, chaque année en France, des milliards d’entre eux subissent des souffrances inimaginables. Par exemple, lors d’une expérimentation en particulier, des chercheurs bloquaient les artères de lapins, leur provoquant des ulcères partout sur les pattes et leur causant une douleur incessante. Traités comme du matériel de laboratoire jetable, les lapins qui ont survécu à ce protocole ont été tués deux semaines plus tard.

Et à l’abri des regards, des chiens subissent d’immenses souffrances à l’École nationale vétérinaire d’Alfort. Des labradors y sont délibérément élevés de manière à développer la myopathie, une dégradation musculaire handicapante, douloureuse et inéluctable. Celle-ci progresse en s’aggravant depuis leur naissance jusqu’à ce que ces jeunes chiens ne puissent plus marcher, déglutir ni même respirer.

Ces dernières années il est de plus en plus reconnu que les animaux constituent rarement des modèles pertinents pour le corps humain. Des méthodes modernes, dont des tests sophistiqués utilisant des cellules et tissus humains (les méthodes in vitro), des modèles informatiques (parfois appelés modèles in silico), et des essais cliniques avec des volontaires humains, sont bien plus précises et fiables.

Agissez pour les animaux qui souffrent en ce moment-même

Partout dans l’UE, des millions de souris, de lapins, de singes et d’autres animaux subissent toutes sortes de tests qui dépassent parfois l’imagination. Demandez au gouvernement français de s’engager dans une stratégie avec des objectifs clairs pour mettre fin à toute expérimentation animale :

En France des chiens souffrent lors de tests financés par l’AFM-Téléthon qui, malgré plusieurs décennies de recherche, n’ont toujours pas permis de développer une méthode de guérison pour les myopathies. Pressez l’AFM-Téléthon de prendre la bonne décision pour les malades et pour les chiens en cessant de financer l’expérimentation animale et en se tournant à la place vers des méthodes sans animaux et efficaces pour l’humain :

Le laboratoire pharmaceutique français Sanofi a jusqu’à présent refusé de cesser d’utiliser un test inutile de quasi-noyade que la plupart de ses concurrents ont déjà abandonné. Aidez-nous à lui montrer l’importance de suivre le droit chemin :

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