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Strasbourg : distribution de tartes flambées véganes pour promouvoir la cause animale

En amont de l’ouverture tant attendue du célèbre marché de Noël de Strasbourg, PETA a organisé une distribution de tartes flambées sans cruauté place Gutenberg afin d’encourager les passants à célébrer les fêtes avec compassion en privilégiant des plats végans.

Cédric Deligne

Des militantes de l’association, portant de traditionnels costumes alsaciens et brandissant une pancarte ou l’on pouvait lire « Les tartes flambées comme on aime en version végane », ont fait déguster gratuitement cette spécialité locale garnie de crème et de ‘lardons’, mais à une différence près : aucun animal n’a été tué pour la préparer.



L’implacable cruauté que subissent les animaux élevés pour l’alimentation

Dans les industries de la viande et du lait, d’innombrables cochons, moutons, vaches, poulets, canards, oies et autres animaux souffrent chaque minute de leur courte vie. Le schéma est le même pour tous les animaux élevés pour leur chair ou leur lait : les femelles sont inséminées de force à répétition ; les bébés sont arrachés à leur mère, mutilés, enfermés dans des conditions insalubres et des environnements surpeuplés ; puis, alors qu’ils ne sont généralement âgés que de quelques mois, ils subissent un voyage terrifiant vers l’abattoir, où certains sont tués alors qu’ils sont encore conscients.

Cette période des fêtes est l’occasion d’étendre notre compassion à tous les êtres, y compris ceux dont la chair ou les sécrétions finissent dans nos assiettes alors que de délicieuses alternatives existent, comme le prouvent nos tartes flambées véganes.

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Il est plus facile que jamais de continuer à se régaler de ses plats favoris tout en ne soutenant pas l’exploitation et la souffrance animale.

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La Cour de justice de l’Union européenne anéanti l’interdiction des tests de cosmétiques sur les animaux

22 novembre 2023 : La Cour de justice de l’Union européenne anéanti l’interdiction des tests de cosmétiques sur les animaux

La Cour de justice de l’Union européenne a prononcé son jugement contre Symrise AG, un producteur d’ingrédients de produits cosmétiques qui demandait l’annulation d’une décision de justice exigeant que ses produits soient testés sur des milliers d’animaux.

Ce verdict accablant a tourné le système judiciaire en dérision en discréditant l’interdiction autrefois historique de l’UE des tests de cosmétiques sur les animaux.

Sur quoi portait le dossier ?

L’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) a mandaté Symrise AG, un industriel allemand, pour qu’il teste deux de ses ingrédients de crèmes solaires sur des milliers d’animaux. Symrise AG a contesté la position de l’ECHA auprès de la chambre de recours de l’ECHA, et le PETA International Science Consortium Ltd est intervenu pour soutenir l’entreprise au cours de l’audition. La chambre a maintenu la décision initiale mais, avec le soutien du Science Consortium, Symrise a fait appel auprès de la Cour de justice de l’Union européenne. Consultez l’article ci-dessous pour en savoir plus sur le dossier et le rôle qu’a joué PETA.

Qu’est-ce que cela signifie pour les animaux ?

En un instant, la cour a condamné des milliers de souris, de lapins et de poissons à une souffrance atroce et une mort certaine dans le cadre d’expériences cruelles et a rendu l’interdiction historique de tester des cosmétiques sur les animaux complètement inutile.

Les souris, les rats, les lapins et les poissons sont toujours contraints d’ingérer des ingrédients de produits cosmétiques pour répondre aux exigences de la réglementation REACH pour les substances chimiques.

Nous condamnons la décision de la Cour de justice de l’Union européenne qui ne respecte pas l’objectif de l’interdiction des tests de cosmétiques sur les animaux, qui était de garantir que seules les méthodes qui n’utilisent pas d’animaux soient utilisées pour déterminer si les cosmétiques sont sûrs.

Et la suite ?

PETA continuera ses efforts pour protéger les animaux et les droits des citoyens européens de se procurer des cosmétiques non testés, et ce même si l’ECHA et la Cour de justice de l’Union européenne semblent indifférentes aux valeurs contemporaines.

Vous pouvez nous aider à faire pression sur les décisionnaires. Envoyez un message au commissaire européen à l’Environnement pour lui dire ce que vous pensez de ces pratiques qui constituent à empoisonner et tuer des animaux lors de tests cruels et loin d’être fiables :

Mise à jour du 22 novembre 2022 : le 22 novembre, l’interdiction des tests de cosmétiques sur les animaux dans l’EU a été défendue devant la Cour de justice de l’Union européenne, alors que Symrise AG contestait la demande de l’Agence européenne des produits chimiques que l’entreprise teste deux ingrédients communs des crèmes solaires sur 5 500 animaux.

Dr Julia Baines, responsable des politiques scientifiques de PETA Royaume-Uni, a assisté les juristes sur ce dossier. En allant devant le tribunal, nous demandons à l’EU de maintenir l’interdiction des tests cruels et inefficaces sur les animaux.

L’issue de ce dossier fera jurisprudence et n’affectera pas uniquement les tests de l’homosalate et du salicylate d’octyle, elle clarifiera également la manière dont le règlement concernant l’enregistrement, l’évaluation et l’autorisation des substances chimiques, ainsi que les restrictions applicables à ces substances (REACH) sera interprété pour tous les ingrédients cosmétiques.

Maintenir l’interdiction des tests de cosmétiques sur les animaux signifierait que le REACH ne peux pas être utilisé pour la compromettre. Les entreprises cruelty-free n’auraient pas à changer la formule de leurs produits ou à chercher d’autres fournisseurs et le Royaume-Uni, l’Australie et les autres pays aux politiques basées sur l’interdiction de l’EU recevraient un message fort contre les dérogations.

Le public rejette massivement la cruauté de l’expérimentation animale : plus de 1,2 million de citoyens de l’union européenne ont soutenu l’initiative citoyenne européenne demandant à la Commission européenne de protéger et de renforcer l’interdiction des tests sur les animaux.

Mise à jour du 19 août 2021 : les cosmétiques cruelty-free sont menacés depuis que l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) et la Commission européenne ont annoncé leur politique nécessitant des tests sur les animaux pour des ingrédients de produits cosmétiques. Le entités PETA ont saisi chaque opportunité de lutter contre cette politique.

En 2018, lorsque Symrise AG a contesté la demande de l’ECHA que deux ingrédients soient testés sur 5 500 animaux, le PETA International Science Consortium e.V. est intervenu sur le dossier auprès de la chambre de recours de l’ECHA. Symrise a désormais amené la décision devant la Cour de justice de l’Union européenne et l’intervention du Science Consortium a une fois encore été approuvée pour ce dossier qui fera jurisprudence.

PETA se réjouit que la politique de la Commission européenne et de l’ECHA (qui discrédite l’interdiction des tests sur les animaux et de la commercialisation pour des produits cosmétiques dans l’UE en exigeant que les ingrédients de produits cosmétiques soient testés sur des animaux) soit remise en cause.

Les tests sur les animaux demandés pour ces deux ingrédients ne sont malheureusement que la partie visible de l’iceberg. Mais PETA applaudit la décision de Symrise d’amener ce dossier devant la cour.

Publication originale

Deux jugements récemment publiés par la chambre de recours de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) ont décrété que les ingrédients utilisés uniquement pour des cosmétiques peuvent être testés sur les animaux dans le cadre du règlement concernant l’enregistrement, l’évaluation et l’autorisation des substances chimiques, ainsi que les restrictions applicables à ces substances (REACH). Les tests sur les animaux pour des ingrédients cosmétiques sont interdits dans l’UE depuis 2013 dans le cadre de la réglementation sur les produits cosmétiques, mais ces jugements (des interprétations terriblement erronées de la loi) permettront concrètement aux producteurs et aux autorités régulatrices d’ignorer cette interdiction.

Que s’est-il passé, qu’est-ce que cela signifie pour les animaux, et que faire pour les aider.

Qui en souffrira ?

En conséquence directe de ces jugements, plus de 5 500 rats, lapins et poissons devront être utilisés pour de nouveaux tests, certaines femelles gestantes seront forcées d’ingérer des ingrédients de cosmétiques, puis elles seront tuées et disséquées, tout comme leurs petits à naître.

Ces jugements ouvrent également la porte à un plus grand nombre de tests sur les animaux dans le cadre du REACH. Chaque année, des centaines de cosmétiques contiennent des produits qui sont nouveaux sur le marché et pourraient nécessiter des tests dans le cadre du REACH, coûtant la vie à des milliers d’animaux.

De quels ingrédients s’agit-il ?

Les ingrédients visés par l’appel, l’homosalate et le salicylate d’octyle, sont utilisés dans les crèmes solaires et d’autres cosmétiques pour absorber les rayons ultraviolets B (UV-B) du soleil.

De nombreux producteurs et marques seront probablement affectés par ces décisions, il est donc crucial que les consommateurs utilisent la base de données internationale en ligne Beauty Without Bunnies de PETA États-Unis afin de connaître les entreprises qui refusent que leurs produits soient testés sur les animaux où que ce soit dans le monde, et quelle qu’en soit la raison.

Les entreprises certifiées non testées sur les animaux par PETA États-Unis ne mènent ou ne commandent pas de tests sur les animaux pour leurs ingrédients, leurs formules ou leurs produits finis et s’engagent à ne pas le faire à l’avenir.

Ces ingrédients ont-ils vraiment besoin d’être testés sur les animaux ?

Selon l’ECHA, ces tests seraient nécessaires afin d’assurer la sécurité des travailleurs qui produisent ou manipulent les substances, mais ce n’est pas tester ces ingrédients de cosmétiques sur des milliers d’animaux qui les protégera. En raison de différences biologiques fondamentales entre les humains et les autres animaux, les résultats des tests sur les seconds ne prédisent simplement pas efficacement les effets sur les premiers.

Les tests de cosmétiques ne sont-ils pas interdits en Europe ?

Depuis 2013, les tests sur les animaux pour des ingrédients cosmétiques sont interdits dans l’UE dans le cadre de la réglementation sur les produits cosmétiques. La Cour de justice de l’Union européenne a précisé en 2016 que la vente de produits cosmétiques reposant sur les résultats de nouveaux tests sur les animaux à des fins d’évaluation de la sûreté est interdite dans l’UE. Pourtant l’ECHA, la Commission européenne et maintenant la chambre de recours de l’ECHA ont mal interprété la loi et ont discrédité les interdictions, renvoyant les animaux dans les laboratoires pour des tests de cosmétiques inutiles et cruels.

La réglementation sur les produits cosmétiques a un poids politique considérable et reflète la volonté du peuple et du Parlement européen. L’interdiction des tests de produits cosmétiques sur les animaux et de la vente de produits cosmétiques reposant sur des données issues de tests sur les animaux dans l’UE montre que la population accorde plus d’importance à la vie d’un animal qu’à un tube de dentifrice ou de crème solaire.

Permettre les tests d’ingrédients de cosmétiques dans le cadre de REACH revient à faire fi de la réglementation sur les produits cosmétiques et à totalement discréditer l’objectif de ces interdictions.

C’est simple : seules les méthodes non-animales devraient être employées lorsqu’il s’agit de commercialiser un nouveau produit cosmétique. Si ce n’est pas possible, l’ingrédient ne devrait pas être utilisé.

Que fait PETA ?

En 2014, nous avons révélé que l’ECHA et la Commission européenne autorisaient les tests d’ingrédients de produits cosmétiques sur les animaux. Depuis, nous travaillons pour mettre fin à ces expérimentations odieuses en faisant pression sur la Commission européenne et l’ECHA afin que la réglementation sur les produits cosmétiques et son interdiction des tests sur les animaux soient respectées.

Le PETA Science Consortium International e. V. (dont PETA France est membre) est intervenu sur le dossier d’appel concernant ces décisions récentes sur les tests. Bien que la chambre de recours ait rejeté de nombreux arguments présentés par le Science Consortium et l’entreprise responsable du recours face à la demande de tests, PETA et le Science Consortium explorent les autres possibilités de résoudre le litige.

Les entités PETA demandent aux entreprises de jouer un rôle en utilisant des méthodes sans animaux et en finançant le développement de ces méthodes. Nous encourageons aussi les entreprises à utiliser des ingrédients dont la sûreté a déjà été prouvée ou de créer une nouvelle formule pour les produits qui le nécessitent afin de remplacer les ingrédients de cosmétiques testés sur les animaux dans le cadre du REACH. Ne pas tester sur les animaux est une option pour chaque entreprise.

Bien que ces décisions soient un énorme pas en arrière, nous sommes plus déterminés que jamais à mettre fin à tous les tests de cosmétiques sur les animaux.

Comment nous aider ?

Utilisez uniquement des produits non testés et vérifiez la base de données de PETA États-Unis en cas de doute.

Aidez-nous à montrer la force de l’opposition publique aux tests de produits cosmétiques sur les animaux : demandez à la Commission européenne et à l’ECHA de respecter la réglementation sur les produits cosmétiques et d’interdire les tests d’ingrédients de produits cosmétiques sur les animaux, peu importe les circonstances :

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« Patte de canard » et « hache » ensanglantées : le colis choquant de PETA États-Unis au PDG de H&M

Helena Helmersson, PDG du groupe H&M, recevra bientôt un message explicite concernant le soutien apporté par l’entreprise à l’industrie du duvet, qui coupe les pattes d’oiseaux vivants et leur tranche le cou à la hache pour confectionner des vestes avec leurs plumes. Le colis (qui contient une patte de canard et une hache ensanglantées factices) est accompagné d’une lettre de la fondatrice de PETA, Ingrid Newkirk, afin de rappeler à la dirigeante de H&M les images d’une enquête montrant la cruauté que subissent les animaux et de lui demander d’abandonner le duvet.

Nous espèrons que la « hache » et la « patte de canard » sanglantes rappelleront à H&M que continuer d’utiliser du duvet contribue à soutenir une industrie qui mutile et massacre cruellement des oiseaux.

Les liens entre H&M et l’abattage de canards

Contrairement aux déclarations de H&M selon lesquelles « aucun animal ne devrait être blessé » lors de la fabrication de ses produits, l’enquête de   mois menée par PETA Asie dans des élevages de canards et des abattoirs à travers le Vietnam a révélé que les animaux souffraient de plaies béantes et sanglantes, étaient enfermés dans des hangars sales ou sur des terrains jonchés d’excréments, et avaient été poignardés au cou. Ces élevages procurent du duvet trompeusement qualifié de « responsable » à des fournisseurs, et l’un d’entre eux a cité H&M comme client.

Les normes de duvet « responsable » ne protègent pas les oiseaux

Dans une autre exploitation certifiée par le Responsible Down Standard au Vietnam, les pattes des canards étaient coupées alors qu’ils étaient encore conscients.

PETA Asie a également enquêté sur des exploitations de duvet « responsable » en Russie, où un ouvrier a été vu en train de tendre le cou d’oies sur une souche et de les frapper à plusieurs reprises avec une hache émoussée, tandis que les oiseaux criaient et se débattaient.

H&M a retiré le label de duvet « responsable » de ses sites de vente en ligne – ce qui indique que l’entreprise sait que cette appellation est une imposture – mais elle continue de vendre des vestes en duvet.

Les canards ont besoin de votre aide

Vérifiez toujours l’étiquette et n’achetez jamais de vestes ou d’autres articles en duvet. Recherchez des vestes fourrées avec des matières véganes de haute technologie, plus respectueuses des oiseaux et de l’environnement.

Montrez également les enquêtes ci-dessus à vos amis et incitez-les à faire preuve de compassion avec les canards cet hiver en n’achetant jamais de duvet.

Demandez à H&M d’abandonner le duvet

PETA demande à H&M de couper les liens avec cette industrie et de s’engager à vendre une mode exclusivement végane. Rejoignez-nous et envoyez un message à l’entreprise dès maintenant :

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La science est coincée dans un « piège à rat » : ce livre révèle comment s’en libérer

Dans son nouveau livre Rat Trap: The Capture of Medicine by Animal Research—and How to Break Free (« Piège à rat : la prise d’otage de la médecine par la recherche sur les animaux et comment en échapper »), Dr Pandora Pound passe l’industrie de l’expérimentation animale au peigne fin, prouvant rigoureusement que les tests sur les animaux ne bénéficient en rien à la santé humaine.

Dans Rat Trap, les chiffres parlent d’eux-mêmes, qu’il s’agisse de tests inutiles ou d’expérimentations terriblement mal conçues, et révèlent clairement que 150 ans de tests sur les animaux n’ont fait qu’entraver le progrès médical et remplir les poches d’une industrie qui veut juste maintenir le statu quo.

L’enquête historique de Dr Pound explore la façon dont l’expérimentation animale est devenue la méthode par défaut, et ce malgré un manque accablant de preuves fiables et systématiques de son efficacité.

Près de deux décennies de recherche

Dr Pandora Pound a un doctorat en sociologie de la médecine et est directrice de recherche auprès du Safer Medicines Trust, une association caritative britannique œuvrant pour la sécurité des patients et qui promeut une approche basée sur l’humain pour tester l’efficacité des médicaments.

En 2004, elle a commencé à remettre en question l’efficacité de la recherche sur les animaux et co-écrit Where Is the Evidence That Animal Research Benefits Humans? (« Où sont les preuves que la recherche sur les animaux profite aux humains ? ») dans The British Medical Journal. Ses découvertes ont révélé une pile d’échecs, envoyant une onde de choc à travers la communauté scientifique. Dr Pound a découvert que des études humaines se basaient sur des expérimentations sur les animaux approximatives et ne remplissant pas les normes scientifiques minimales visant à éviter tout biais, mettant en danger la santé humaine.

Malgré les tentatives de l’industrie de l’expérimentation animale de décrédibiliser son travail, Dr Pound a publié un second article dans le même journal une décennie après : Is Animal Research Sufficiently Evidence Based to Be a Cornerstone of Biomedical Research? (« Les preuves issues de la recherche sur les animaux sont-elles suffisantes pour constituer un pilier de la recherche biomédicale ? »). Une nouvelle fois, ses conclusions soulignent que les études sur les animaux ne sont pas transposables à la médecine humaine. Elle donne de nouvelles preuves de la mauvaise tenue, du manque de fiabilité et de l’entrave à la santé humaine (en empêchant le développement de médicaments et de traitements sûrs) que constitue l’expérimentation animale.

Une sonnette d’alarme bienvenue et nécessaire

Chaque jour, des êtres humains souffrent de maladies communes comme Alzheimer ou les cancers, mais peu de traitements efficaces sont disponibles afin d’apaiser leur souffrance.

Rat Trap apporte une solution indispensable pour combattre la crise de la santé publique qui persiste, en présentant des méthodes de recherche modernes et révolutionnaires comme la modélisation tridimensionnelle de cellules, les organes sur puce et l’intelligence artificielle. Ces méthodes pertinentes pour les humains et plus efficaces sont déjà utilisées, mais des barrières institutionnelles, sociales et économiques empêchent qu’elles soient complètement acceptées. Humains comme animaux souffrent grandement de cette obstination.

Soutenez une science sans animaux

Rat Trap souligne un problème scientifique fondamental : les études sur les animaux ne sont pas transposables sur les humains en raison de différences significatives entre les espèces. Voilà pourquoi les scientifiques de PETA ont développé le Research Modernization Deal (accord de recherche de la modernisation), qui propose une stratégie concrète pour soigner les maladies en s’orientant vers des méthodes de recherche sans animaux et pertinentes pour les humains.

Demandez au gouvernement de soutenir le Research Modernization Deal dès aujourd’hui :

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La certification et le logo « PETA-Approved Vegan »

La mode végane est en plein essor : à mesure que les consommateurs prennent conscience de la maltraitance qu’implique la production de fourrure, d’angora, de mohair, de laine, de duvet et de plumes, de cuir, de peaux exotiques et de soie, les marques adaptent leur offre et se tournent vers des matières innovantes et sans cruauté.

Les créateurs l’ont compris, la compassion est à la mode ! Aujourd’hui, il est plus simple que jamais de trouver des vêtements, chaussures et accessoires végans dans la grande majorité des magasins, mais certaines entreprises vont encore plus loin, soit en veillant à ce que toutes leurs collections soient entièrement véganes, soit en signalant clairement leurs articles végans.

Le logo « PETA-Approved Vegan » est un excellent moyen de reconnaître les efforts de ces entreprises progressistes qui répondent à la demande pour une mode respectueuse des animaux. Il permet également d’aider les consommateurs éthiques à identifier les marques et articles qu’ils peuvent acheter en toute confiance, en sachant qu’ils ne soutiennent pas l’exploitation des animaux.



Les marques suivantes font partie du programme « PETA-Approved Vegan » en France

Elles ont signé notre déclaration d’assurance attestant que les produits en question sont végans. Les entreprises marquées d’un {V} vendent uniquement des articles végans.

  • 1083 : Jeans, sans empiècement en cuir
  • {V}      Alixane : Sacs à main et accessoires végans
  • {V}      Arsayo : Sacs à dos en cuir végan
  • {V}      ASHOKA Paris : Sacs à main et accessoires végans de luxe
  • {V}      Atelier Inua : Maroquinerie végane artisanale et française en liège et en lin
  • {V}      Baby turns Blue : Accessoires en cuir de pomme fait main à Paris
  • {V}      Bag Affair : Sacs à main professionnels pour femmes en liège et en bois
  • {V}      Bihotz : Maroquinerie fabriquée en France à partir de matières éco-responsables et véganes
  • {V}      BHANGARA : Sacs et accessoires en chanvre issus du commerce équitable au Népal
  • {V}      Bye Bye Monique : Maroquinerie végane écoresponsable et fabriquée en Europe
  • {V}      Camille : Sacs à main faits à partir de matières véganes innovantes
  • {V}      Corail : Sacs et baskets fabriqués à base de déchets marins recyclés
  • {V}      Corkor : Maroquinerie en liège fabriquée au Portugal
  • {V}      Dot-Drops : Valises à impact positif éco-conçues et durables
  • {V}      DRASSAC : Sacs végans faits à la main en France
  • {V}      Fantome : Maroquinerie végane fabriquée en France
  • {V}      GOOD GUYS don’t wear leather : Chaussures et vêtements pour hommes et femmes
  • {V}      GURU Mtp : Chaussures véganes pour femme
  •  Hugo Boss : Costume végan pour homme
  • {V}      Jarod-π : Vêtements végans
  • {V}      Jean Louis Mahé : Marque de vêtements et sacs végans
  • Karl Marc John : baskets véganes pour femme
  • {V}      Karmyliège : Maroquinerie et bijoux en liège
  • {V}      La Seine & Moi : Vêtements d’extérieur et accessoires en fausse fourrure pour femmes
  • {V}      Lo Neel : Créateur végan et éco-responsable
  • {V}      Magnethik : Sacs à main et accessoires en cuir végan
  • {V}      Maison R&C Paris : Manteaux et vestes en fausse fourrure
  • {V}      Minuit sur Terre : Chaussures et bottes véganes
  • {V}      Paola Borde : Sacs à main et accessoires en liège et en bois
  • {V}      Plumetine : Gigoteuses pour bébés en matières naturelles et véganes
  • {V}      Pumskin : Maroquinerie en liège et Pinatex
  • {V}      Studio Céleste : Marque de chaussures véganes pour femmes lancée par les Galeries Lafayette
  • Subtle : Marque de chaussures avec une gamme en cuir végan
  • The Kooples : Vêtements et accessoires chics pour hommes et femmes
  • {V}      Rombaut : Chaussures pour hommes et femmes
  • {V}      Soulyé : Chaussures pour femmes fabriquées en France
  • {V}      Supergreen : Chaussures européennes en matières éco-responsables
  • {V}      Unlock : Maroquinerie végane, éco-responsable et unisexe
  • {V}      Up’Swing : chaussures véganes et éthique pour enfants
  • {V}      Valentina Roman Studio : Chaussures pour femmes
  • {V}      VB Vegan bags : Sacs à main pour femmes
  • {V}      Vegan-Place : Vêtements, chaussures et ameublement
  • {V}      Wild Gaze : Accessoires artisanaux en liège et matières recyclées
  • {V}      Wonder Women of the World : Accessoires artisanaux
  • {V}      Zebra Vegan Shop : Chaussures et accessoires végans

Les fournisseurs de matières certifiées « PETA-Approved Vegan »

  • {V}      ECOPEL : Le premier créateur mondial de fausses fourrures respectueuses de l’environnement et des animaux, pour des maisons de couture luxueuses
  • {V}      Fungus Sapiens : Fabricant de cuir fait à partir de champignons

Consultez la liste des entreprises utilisant le logo « PETA-Approved Vegan » de PETA Royaume-Uni ici et celle de PETA États-Unis ici.

Les responsables d’entreprises désireux d’utiliser le logo « PETA Approved-Vegan » peuvent faire leur demande ici (en anglais). L’équipe chargée de communication auprès des entreprises vous contactera suivant sa réception. Si vous avez besoin d’aide ou si vous avez des questions à propos du logo, veuillez écrire à Petaapproved@peta.org.

Une fois les entreprises autorisées à utiliser le logo « PETA-Approved Vegan », elles ont la possibilité de partager cet engagement avec leurs clients en utilisant le logo sur les étiquettes des articles et vêtements concernés (ou la collection entière si elle est totalement végane) ainsi que toute plateforme et matériel promotionnel : magazine, site web, réseaux sociaux, présentoirs en magasins, etc. Pour répondre aux besoins individuels, le logo peut être utilisé en blanc sur noir et/ou en noir sur blanc. Les marques entièrement véganes peuvent placer le logo en première page de leurs sites web et/ou dans les vitrines de leurs magasins, attirant ainsi l’attention sur l’ensemble de leur collection certifiée « PETA-Approved Vegan ».

Consultez les lauréats de notre Prix de la mode végane :

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C’est Halloween tous les jours pour les animaux d’élevage

C’est la saison des citrouilles, des maisons hantées, des films d’horreur et des déguisements – toutes ces activités qui réjouissent ceux qui attendaient avec impatience les festivités d’Halloween. Si vous êtes fan d’épouvante, avez-vous déjà pensé au fait que les horreurs que vous voyez dans les films reflètent souvent de manière glaçante les mauvais traitements que subissent les animaux que nous élevons ?

Qu’il s’agisse de chaînes, d’emprisonnement, de torture ou de la perte d’êtres chers en raison d’un abattage violent, la réalité de leur souffrance est bien plus terrifiante que n’importe quelle maison des horreurs d’Halloween. Voici quelques exemples de l’enfer que vivent les animaux.

Emprisonnés et maltraités

Imaginez que vous l’on vous enferme dans une cage minuscule et sale, sans aucun aménagement. Vous ne voyez jamais la lumière du jour et on ne vous tire hors de votre prison que pour subir un traitement horriblement douloureux. Dans l’industrie de l’angora, des lapins terrifiés sont immobilisés physiquement – souvent attachés à une planche – pendant que des humains arrachent le pelage de leur corps sensible, ne leur laissant des poils que sur la tête.

Des images d’enquête dévoilent les cris déchirants qu’ils poussent lorsqu’ils se font arracher les , une manipulation qu’ils subissent de manière répétée, parfois jusqu’à quatre fois par an, pendant deux à trois ans avant d’être tués lorsqu’ils ne sont plus rentables.

N’achetez pas d’articles contenant de l’angora et aidez-nous à mettre fin à cette pratique cruelle :

Mis au monde pour servir de cobayes

PETA a diffusé des séquences vidéo fournies par l’association française Animal Testing et tournées dans un laboratoire financé par l’AFM Téléthon à l’École nationale vétérinaire d’Alfort. Dans ces vidéos, des chiens sont élevés pour développer une forme invalidante et douloureuse de dystrophie musculaire canine que l’on ne trouve pas chez l’humain. De nombreux chiens peinent à marcher, à déglutir et même à respirer, et beaucoup deviennent complètement paralysés avant d’atteindre les dix mois. Un représentant du laboratoire a admis que si le public voyait la souffrance des chiens, les expériences – qui, après 40 ans, n’ont pas permis de guérir la dystrophie musculaire – perdraient leur financement.

Choisissez des produits non testés sur les animaux et signez notre pétition demandant à l’AFM-Téléthon de ne soutenir que la recherche sans animaux, plus fiable et plus pertinente pour les malades humains :

Torturés sous les applaudissements

Enlevé à sa famille, il se retrouve piégé dans une arène sans échappatoire. Des cavaliers se précipitent vers lui et enfoncent leurs lances dans son dos et son cou, ce qui l’empêche de relever la tête. Ensuite, d’autres hommes entrent à pied dans l’arène et plantent des bâtons se finissant par des harpons dans son dos. Tandis qu’il se vide de son sang et s’affaiblit, un dernier individu s’approche. Il le provoque, le poussant à épuiser ses dernières forces, puis tente de l’achever en le transperçant d’une épée, tandis que le public applaudit la scène.

Ceci n’est pas l’intrigue d’un film d’horreur, mais les derniers instants d’un taureau lors d’une corrida. Si la foule est satisfaite par le matador, les oreilles et la queue du taureau sont coupées et présentées comme trophées.

N’assistez jamais à une corrida et faites pression sur les maires des communes qui continuent cette barbarie en leur demandant d’y mettre un terme :

Tués pour leur chair

L’industrie de la viande est de loin la plus grande tueuse d’animaux dans le monde. Elle est également responsable de la cruauté implacable et routinière à l’égard des cochons, des moutons, des vaches, des poulets, des canards, des oies et des autres animaux qui souffrent chaque minute de leur courte vie dans des élevages.

L’histoire d’horreur est la même pour tous les animaux élevés pour leur chair. Les femelles sont continuellement inséminées de force. Les bébés sont arrachés à leur mère, mutilés et détenus dans des conditions insalubres et de grande promiscuité. Ensuite, souvent alors qu’ils n’ont que quelques mois, ils subissent un voyage terrifiant jusqu’à l’abattoir, où nombre d’entre eux sont maladroitement étourdis et tués alors qu’ils sont encore conscients.

Pour les poissons, le cauchemar est tout aussi sanglant. S’ils sont pêchés en mer, les employés les jettent sur de la glace pour les asphyxier, les geler ou les écraser – une façon horriblement cruelle et longue de mourir pour ces animaux à sang froid. S’ils proviennent d’élevages et qu’ils ont survécus aux conditions ignobles d’un confinement intensif, ils sont souvent tués à coups de matraque ou se font découper les branchies ou égorger et éventrer sans étourdissement.

Pour Halloween, ne soyez pas le monstre

Pour les animaux des élevages, c’est Halloween tous les jours, mais en faisant des choix compatissants pour vos vêtements, vos cosmétiques, vos loisirs et la nourriture que vous mettez dans votre assiette, vous pouvez aider à mettre fin aux horreurs qu’ils endurent.

PETA est là pour vous aider – inscrivez-vous à notre défi du Mois mondial végan en novembre, et nous vous enverrons des conseils, des recettes et de l’inspiration :

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Décès au Marineland d’Antibes : l’orque Moana n’aura connu que la cruauté de la captivité

Dans la nuit du 17 au 18 octobre, Moana, l’une des quatre orques encore captives du Marineland d’Antibes, est mort. À l’état sauvage, une orque peut vivre jusqu’à 60 voire 90 ans. Moana lui, n’aura connu que 12 années d’une vie misérable dans des bassins en béton, où il était né. Il n’aura jamais fait l’expérience de l’océan.

© One Voice

 

Moana était la troisième orque au monde née par insémination artificielle, et la première en Europe. Sa mère Wikie (22 ans) est toujours au Marineland avec Inouk (23 ans) et son frère Keijo (9 ans). Dans son communiqué le parc évoque une mort « soudaine et inattendue » – mais qui n’a pourtant rien de surprenant. En septembre, une expertise sur l’état de santé de Moana et d’Inouk avait été ordonné à la suite d’une demande de l’association One Voice, relevant des comportements répétitifs et stéréotypés – symptômes d’une forte détresse psychologique – chez les deux orques, ainsi que des lésions sous-dermiques pour Moana.

Alors que dans leur milieu naturel les orques partagent des liens familiaux complexes et nagent plus de 100 km par jour, à Marineland ils tournent en rond dans d’étroits bassins en béton et sont forcés d’exécuter des numéros en échange de nourriture. Les animaux paient cher cette vie de détresse, d’ennui et de solitude, et meurent souvent prématurément de maladies dues au stress.

PETA milite depuis des années pour qu’un jour cesse la captivité des animaux marins. Nous avons contacté Marineland à plusieurs reprises pour demander le transfert des animaux dans des sanctuaires adaptés, organisé des actions à Antibes et lancé des campagnes avec des célébrités pour obtenir la libération des orques. PETA États-Unis a même acheté des actions dans la compagnie mère de Marineland, Parques Reunidos, pour avoir l’occasion de faire valoir ses revendications au sein de l’entreprise.

L’enfermement cruel et injustifié de ces mammifères intelligents est inacceptable. Bien que Marineland ne puisse plus revenir en arrière pour réparer les dommages que l’entreprise a causés, il est encore temps de donner une fin de vie décente à leurs esclaves encore en vie, en les transférant dans un sanctuaire côtier pour leur rendre un semblant de vie naturelle.

Les orques ont besoin d’aide

Aidez les orques et les autres animaux marins en n’achetant jamais de billets pour les parcs marins ni les aquariums, et agissez ci-dessous en demandant à Parques Reunidos de mettre à la retraite les orques Wikie, Inouk et Keijo :

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Des prêtres catholiques demandent au pape de rompre les liens entre l’Église et la corrida

Trois prêtres catholiques britannique, français et canadien se sont joints à PETA Royaume-Uni pour demander au pape François de rompre les liens entre l’Église et la corrida.

Les prêtres ont adressé une lettre à Sa Sainteté afin d’attirer son attention sur le fait que « la torture et l’abattage violent » des taureaux sont contraires aux enseignements du Christ ainsi qu’aux principes de miséricorde et de respect du pape lui-même.

Ensemble, ils ont demandé au pape François de condamner la corrida dans la suite de son encyclique Laudato si’ de 2015, qui a été publiée le jour de la Saint-François (4 octobre).

L’un des signataires, le Père Robert Culat, avait déjà pris part à la campagne de PETA contre la corrida, lors d’une action visuelle à Arles et dans une affiche avec le message : « C’est un péché de torturer les animaux. »

Pourquoi la torture des taureaux ne peut être considérée comme chrétienne

Dans les arènes où se déroulent les corridas, les animaux sont ridiculisés, terrorisés, poignardés à plusieurs reprises et finalement tués, tout cela pour le divertissement d’une petite minorité de personnes.

« Ces spectacles provoquent une souffrance et une douleur incommensurables et contrastent fortement avec le message d’amour et de compassion que le Christ nous a enseigné. En condamnant la torture et l’abattage violent de taureaux innocents – et en particulier son association avec la foi catholique – d’innombrables animaux seront épargnés et de nombreux fidèles du Christ y trouveront une ligne directrice afin d’aligner leurs actions avec le message de compassion de l’Évangile. » – PETA Royaume-Uni et des membres du clergé dans leur lettre au Pape François

Le pape François déclarait dans son encyclique de 2015 que « tout acte de cruauté envers une créature est contraire à la dignité humaine ».

Il y a près de cinq siècles, le pape Pie V, qui a depuis été canonisé, a condamné les corridas comme étant de « sanglants et honteux spectacles dignes des démons et non des hommes » et « contraires à la piété et à la charité chrétiennes ». Il a interdit aux catholiques d’assister à de tels événements sous peine d’excommunication. L’interdiction concerne toujours les membres du clergé et les corridas qui prennent place le jour de fêtes religieuses.

Les liens de l’Église catholique avec la corrida

Bien que la proscription papale soit toujours en vigueur, elle n’est pas appliquée et des corridas sont toujours tenues en l’honneur de saints ou au cours de fêtes catholiques, et des prêtres bénissent même ces événements ignobles.

PETA demande au pape d’honorer son homonyme Saint François, patron des animaux, en appliquant cette interdiction et en demandant la fin de ces combats cruels, violents et meurtriers.

L’exécution ritualisée des taureaux

Lors de ces exécutions ritualisées, le taureau terrifié est poursuivi à travers l’arène jusqu’à l’épuisement. Un individu sur un cheval dont les yeux sont bandés lui enfonce ensuite une lance afin de le faire saigner et de l’affaiblir tandis que d’autres personnes lui plantent des banderilles (des lances avec une pointe de harpon) dans le haut du dos, lui infligeant une douleur aiguë à chaque fois qu’il tourne la tête.

Lorsque la perte de sang a tellement affaibli le taureau qu’il ne peut plus se défendre, le matador (littéralement, le « tueur ») tente de l’achever en lui poignardant le cœur ou les poumons avec une épée. S’il met trop de temps à succomber, le matador lui tranche la moelle épinière avec un poignard ou une autre arme.

Il peut ensuite couper les oreilles ou la queue du taureau en guise de trophée, parfois même alors que l’animal est encore conscient. Des milliers de taureaux sont tués de cette manière chaque année.

Signez la pétition de PETA adressée au pape François

Plus de 114 000 sympathisants, y compris de nombreux catholiques, ont signé les pétitions des entités PETA encourageant le pape à interdire la torture des taureaux.

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Jeremstar arrêté au défilé Louis Vuitton alors qu’il dénonçait la cruauté des peaux exotiques

Lors de la Semaine de la mode de Paris, l’un des plus grands événements de mode de l’année, PETA a montré au monde de la mode le vrai visage d’un défilé non végan.

Descendu de voiture devant les portes du défilé Louis Vuitton, Jeremstar a secoué le public en arborant une « peau de serpent dépecé » d’apparence réaliste, ainsi qu’un message : « Louis Vuitton : stop aux peaux exotiques ! » Cette performance a attiré tous les regards, rappelant aux passants que le cuir est volé à des crocodiles, des lézards et à d’autres êtres sensibles qui ne méritent pas d’être tuées pour des accessoires.

Le vidéaste s’est associé à PETA dans son appel au groupe LVMH, la maison-mère de Louis Vuitton, pour qu’il mette fin à l’utilisation honteuse de peaux de serpents et d’autres reptiles. Il avait déjà participé à plusieurs actions PETA ciblant Louis Vuitton et Hermès.

Il faut la peau de 3 crocodiles pour faire un sac Hermès

Chaque article en cuir exotique provient d’un animal intelligent et sensible qui a subi toute l’agonie d’une mise à mort cruelle et sanglante. Les entités PETA ont révélé à plusieurs reprises la cruauté inhérente à l’industrie des peaux exotiques, notamment au sein de la chaîne d’approvisionnement même de Louis Vuitton. Une enquête diffusée par PETA portant sur des élevages de crocodiles vietnamiens liés à la marque montre des crocodiles détenus dans des fosses en béton sinistres sans aucun aménagement. Les ouvriers électrocutent des crocodiles et tentent de les tuer en leur incisant la nuque, puis en leur enfonçant une tige en métal le long de la colonne vertébrale alors qu’ils sont encore conscients. D’autres images de l’association australienne Kindness Project, prises dans des élevages intensifs australiens appartenant à Hermès, montrent les mêmes pratiques cruelles.

Quant aux serpents, une enquête de PETA Asie dans deux abattoirs indonésiens fournissant LVMH a révélé comment les pythons sont tués pour la fabrication des sacs et chaussures. Des ouvriers frappent des serpents à la tête avec des marteaux avant de les suspendre en l’air, de les gonfler d’eau et de les dépouiller de leur peau –alors qu’ils sont probablement encore conscients.

Comment aider les animaux tués pour la mode ?

Sous la pression de PETA, de nombreux créateurs de luxe tels que Chanel, Mulberry, Victoria Beckham, Burberry ou Paul Smith ont déjà banni l’utilisation de peaux exotiques. Il est maintenant temps que les marques du groupe LVMH s’engagent en faveur d’une mode innovante et éthique pour laquelle personne n’a été écorché vivant.

Vous pouvez nous aider à faire cesser ce massacre en appelant LVMH à supprimer les peaux exotiques des collections de Louis Vuitton et de ses autres marques dès maintenant :

Continuez d’agir en inondant les sections commentaires de Louis Vuitton et Hermès sur Instagram, Facebook et X (anciennement Twitter) afin de leur demander d’arrêter d’exploiter et torturer des animaux pour fabriquer des vêtements et des accessoires.

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Fashion Week de Paris : le défilé Hermès perturbé par des militantes de PETA

Aujourd’hui, alors qu’Hermès tenait son très attendu défilé pendant la Semaine de la mode à Paris, une militante de PETA se faisant passer pour un mannequin a fait irruption sur le podium en brandissant une pancarte avec la mention « Hermès : stop aux peaux exotiques ! ».

Voyez par vous-même ce qu’il s’est passé :

Cette action fait suite à plusieurs perturbations de défilés par les entités PETA plus tôt ce mois-ci, où les podiums de Burberry (à Londres), Gucci (à Milan) et Coach (à New York) ont également été pris d’assaut.

Hermès : il est temps de lâcher la grappe aux crocodiles

Ces protestations font suite à plusieurs enquêtes diffusées par PETA qui ont dénoncé la cruauté des élevages de crocodiles au Texas, au Zimbabwe et au Vietnam, et l’histoire est toujours la même : des conditions de vie sordides et une mort violente et terrifiante. Les travailleurs électrocutaient des crocodiles avant d’essayer de les tuer en leur incisant la nuque puis en leur enfonçant une tige en métal le long de la colonne vertébrale. D’autres images révélées par Kindness Project, filmées dans des élevages intensifs australiens appartenant à Hermès, montrent les mêmes pratiques cruelles.

Ces images choquantes contredisent directement les affirmations de la Politique d’Hermès pour le bien-être animal, selon laquelle « [notre] politique reconnaît la notion de sensibilité animale et l’importance de permettre aux animaux d’éviter toute souffrance inutile et de permettre aux animaux de vivre des expériences influant positivement sur leur bien-être ».

Gonflés et écorchés vifs

PETA Asie a également documenté que dans l’industrie des peaux exotiques les serpents sont gonflés d’eau afin de décoller leur peau, qui est souvent arrachée alors qu’ils sont encore conscients. Les lézards sont attachés par les pattes puis jetés sans ménagement et décapités sans être étourdis, ce qui leur vaut une mort par lente agonie.

Une mode répugnante qui met en péril notre avenir à tous

Les experts en conservation ont mis en garde contre les pratiques de l’industrie des peaux exotiques qui augmentent les risques d’épidémies et de pandémies futures, car les animaux sauvages qu’elle exploite sont généralement confinés et abattus dans des conditions insalubres qui ressemblent à celles que l’on trouve dans les marchés humides. Ces conditions créent des environnements favorables à l’émergence d’agents pathogènes mortels.

Arrêtez de voler des peaux !

L’avenir de la mode se fera sans les animaux et de nombreux créateurs de luxe tels que Chanel, Mulberry, Victoria Beckham, Burberry ou Paul Smith ont déjà banni l’utilisation de peaux exotiques. Les entreprises avant-gardistes répondent à la demande de produits durables et respectueux des animaux en proposant des cuirs végans fabriqués à partir de feuilles d’ananas, de champignons, de pommes, de cactus, etc.

Les lézards, les crocodiles et les serpents sont des animaux intelligents qui méritent d’être traités avec compassion, et non d’être mutilés pour fabriquer des vêtements et des accessoires. Agissez dès aujourd’hui en demandant à Hermès de renoncer à ces matériaux obtenus de manière cruelle :

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