PETA célèbre le lancement des toutes premières bottes UGG véganes tant attendues. Celles-ci sont nées d’une collaboration avec la marque de mode new-yorkaise Collina Strada, qui a confectionné cette chaussure respectueuse des animaux à partir de canne à sucre, de TENCEL et de microfibres de polyester recyclé.

UGG fait un grand pas en avant

Les bottes UGG x Collina Strada s’inscrivent dans l’avenir de la mode, avec des matériaux innovants et sans danger pour les animaux. Cette annonce fait suite à des années de pression de la part de PETA et de ses entités, qui ont notamment acheté des actions de la société mère d’UGG pour la pousser à devenir végane, à des campagnes virales sur les réseaux sociaux, à un appel sincère de Pamela Anderson, à une manifestation animée lors d’une fête d’anniversaire d’UGG et à plus de 30 000 e-mails de sympathisants et sympathisantes des entités PETA.

Les enquêtes des entités PETA ont révélé des actes de cruauté envers les moutons dans plus de 100 exploitations de l’industrie lainière dans le monde, et ce même dans des élevages se disant « responsables ». On y voit des ouvriers en train de frapper, de piétiner et de donner des coups de pied aux moutons. Les tondeurs sont souvent payés au volume (et non à l’heure), ce qui les incite à travailler rapidement et violemment. Par conséquent, les moutons sont souvent ensanglantés et souffrants. Par ailleurs, la production de laine a un impact désastreux sur l’environnement.

Ce n’est pas la première fois qu’UGG tente de répondre à la demande des consommateurs et consommatrices pour des vêtements durables et sans matières provenant d’animaux. En 2021, l’entreprise a lancé Plant Power, une collection fabriquée à partir de matériaux d’origine végétale tels que la canne à sucre et la pulpe de bois. En 2022, la société mère d’UGG, Deckers Brands, a annoncé qu’elle cesserait d’utiliser de la laine d’alpaga.

Les UGG véganes vont dans la bonne direction, mais UGG doit cesser d’éluder le problème dans son ensemble. Les entités de PETA ont publié de nombreux rapports sur les installations de l’industrie lainière australienne, documentant les maltraitances dans plus de 40 élevages et hangars de tonte à travers le pays.

Les moutons prennent soin les uns des autres et peuvent reconnaître le visage de leurs amis, même s’ils ne se sont pas vus depuis des années. S’il est menacé, un troupeau de moutons courra ensemble sur une courte distance, puis se retournera pour faire face au danger en tant que groupe. Comme tous les autres animaux, les moutons peuvent ressentir la douleur, l’amour et la peur. Ils ne veulent pas être exploités et tués pour des vêtements ou des accessoires de mode.

Dites à UGG de mettre fin à la cruauté

Vous pouvez aider les animaux qui souffrent dans l’industrie de la mode en n’achetant que des vêtements et des accessoires végans. Rejoignez-nous pour demander à UGG d’abandonner la laine et toutes les autres matières d’origine animale :

Demandez à UGG de devenir végan !

Demandez aussi à LANO d’abandonner la lanoline

L’entreprise de soins de la peau LANO prétend que la lanoline, une substance cireuse présente sur la laine de mouton et utilisée dans ses produits est « sourcée de manière humaine (et cruelty-free) » auprès de moutons « heureux ». Mutiler et abattre des moutons est pourtant tout sauf cruelty-free. Pressez l’entreprise d’utiliser des ingrédients végans à la place :

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Il y a quelques jours, deux militantes de PETA déguisées en lapins couverts de contusions et de sang ont été suspendues « sans vie » dépassant d’une trousse de maquillage géante, devant le siège de la Commission européenne à Bruxelles. Le but de l’action : dénoncer l’institution qui permet que des animaux soient torturés, empoisonnés et tués lors de tests cruels et qui pourraient être évités, tout cela pour des ingrédients de produits cosmétiques utilisés notamment dans la crème solaire, le shampoing et le parfum.

La scène sanglante illustre la manière dont l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA), avec le soutien de la Commission européenne, continue à compromettre l’interdiction européenne des tests sur les animaux pour des cosmétiques. Cela est rendu possible par le règlement concernant l’enregistrement, l’évaluation et l’autorisation des substances chimiques, ainsi que les restrictions applicables à ces substances (REACH), une faille honteuse qui permet que des animaux soient torturés, tués et disséqués lors de tests d’ingrédients de shampoing ou de crème solaire qui auraient pu être évités.

Dans le cadre de REACH, les tests sur les animaux sont permis pour des ingrédients utilisés uniquement pour des cosmétiques dans les cas où les employés en usine pourraient y être exposés au cours du processus de fabrication. Pour les ingrédients utilisés dans les cosmétiques et dans d’autres types de produits comme les détergents ou autres produits ménagers, les tests sur les animaux sont autorisés, indépendamment de l’exposition des ouvriers ou du risque environnemental. Cette politique érode l’interdiction autrefois révolutionnaire des tests sur les animaux pour les cosmétiques et va à l’encontre de l’objectif même de sa création : faire en sorte que des êtres sensibles ne souffrent et ne meurent plus pour du maquillage ou un parfum.

Le peuple ignoré, les animaux délaissés

Un seul test d’ingrédient cosmétique peut impliquer des centaines de lapins. Certaines lapines seront contraintes d’ingérer un ingrédient durant leur gestation avant que leurs petits à naître et elles ne soient tués et disséqués. En 2021, une initiative citoyenne européenne a été lancée pour demander la protection et le renforcement de l’interdiction européenne de tests de cosmétiques sur les animaux.

Alors que l’initiative a été validée par le soutien de plus de 1,2 million de citoyennes et citoyens européens, la Commission a manqué de reconnaître que l’interdiction était affaiblie et a refusé de prendre des mesures. L’interdiction autrefois pionnière a de fait perdu toute sa valeur.

Le véritable coût des cosmétiques

Des milliers de lapins, de rats, de poissons et d’autres animaux souffrent dans les laboratoires européens chaque année. Ces animaux ressentent la douleur et la peur, tout comme les humains. Ils sont soumis à une maltraitance atroce pour des expérimentations qui pourraient être remplacées avec des méthodes dépourvues d’animaux. Des lapines enceintes et leur progéniture sont empoisonnées, tuées et disséquées ; des rats sont contraints d’ingérer une substance tous les jours pendant des semaines ; des bancs de poissons luttent pour respirer et finissent par mourir dans de l’eau empoisonnée par un produit chimique. Les tests sur les animaux prennent du temps, sont coûteux et ne permettent pas de récolter des données pertinentes pour la protection de l’humain et de l’environnement. En comparant les tests effectués sur les animaux aux données obtenues sur les humains, on a pu constater qu’ils étaient erronés dans 45 % des cas s’agissant de prédire les lésions cutanées.

Les politiques européennes doivent changer

Aucun animal ne mérite de souffrir et de mourir pour un rouge à lèvre ou du dentifrice. Nous demandons à la Commission européenne de révoquer sa politique autorisant de tester des ingrédients de produits cosmétiques sur les animaux. Au contraire, il faut qu’elle permette aux entreprises de prouver leur innocuité par des méthodes plus efficaces et sans animaux. Aidez-nous à faire entendre notre message en exhortant la Commission européenne à agir et à empêcher que l’interdiction des tests sur les animaux pour les produits cosmétiques soit compromise :

Envoyez un message à la Commission européenne

Choisissez toujours l’option cruelty-free

La base de données internationale Beauty Without Bunnies de PETA États-Unis aide les consommateurs et consommatrices à choisir des entreprises qui ont renoncé aux tests sur les animaux au profit de méthodes efficaces, modernes et sans animaux. Choisissez la compassion, n’achetez jamais à des entreprises qui testent sur les animaux.

Achetez cruelty-free

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C’est une énorme victoire pour les animaux.

Les laboratoires Charles River, géants de l’industrie, ont cédé aux pressions des riverains et de milliers de soutiens comme vous en annulant leurs projets de construire le plus grand hangar de singes de l’hémisphère ouest, sur un terrain du comté de Brazoria, au Texas.

Vous avez bien lu.

Votre soutien a été essentiel pour bouter Charles River (le plus grand importateur du pays) hors du comté et faire échouer le projet de construction d’une prison pour singes pouvant détenir jusqu’à 43 000 primates.

Il est difficile d’expliquer à quel point cette victoire est importante.

L’entreprise, qui fait actuellement l’objet d’une enquête pour violation probable de la législation sur l’importation de singes, prévoyait de construire une structure d’importation et d’élevage de singes quatre fois plus grande que toutes celles qui opèrent actuellement aux États-Unis. Le terrain écologiquement sensible de 200 hectares est situé près du San Bernard National Wildlife Refuge, une zone protégée.

La plus grande installation similaire aux États-Unis, également située au Texas, héberge environ 7 000 animaux.

Ce projet aurait eu des répercussions presque incalculables sur des populations de singes déjà menacées dans le monde entier, aurait risqué de propager des maladies dans tout le pays et aurait entraîné un désastre écologique pour les habitants et les habitantes du comté de Brazoria, situé à 80 kilomètres au sud de Houston.

L’an dernier, des riverains ont prévenu PETA États-Unis du projet et nous avons immédiatement pris des mesures pour informer les résidents et résidentes du comté en leur envoyant 4 000 courriers. Ces derniers sont venus en masse s’opposer à ce projet lors d’une réunion du conseil des commissaires de Brazoria, où le groupe a recommandé à l’unanimité aux autorités fédérales de mettre un terme au projet.

PETA États-Unis a également placé un panneau d’affichage à Brazoria, réalisé une vidéo expliquant les dangers de l’installation et produit deux alertes à l’action en ligne, l’une pour exhorter les commissaires du comté à rejeter le projet et l’autre qui a suscité 50 000 actions de la part de sympathisants et sympathisantes comme vous.

Grâce à cela, la prison de singes ne sera pas construite. Il a fallu moins d’un an de pressions de la part de PETA États-Unis pour convaincre Charles River de vendre les 218 hectares de terrain texan et prendre la fuite.

C’est le second projet d’énorme prison de singes que PETA États-Unis parvient à arrêter en moins de 20 mois. Fin 2022, l’entreprise chinoise JOINN a annulé ses projets de construire une structure pour singes en Floride.

Grâce à vous, à votre bienveillance et par-dessus tout à votre action, une entreprise multimilliardaire abandonne ses projets terriblement cruels de mettre en cage et de tirer profit de la misère de dizaines de milliers de singes, tout en vidant les forêts du monde entier d’espèces déjà menacées.

C’est le pouvoir de vos actions.

Utilisez-le une nouvelle fois pour nous aider à interrompre un autre projet de prison pour singes, cette fois-ci en Géorgie.

PETA États-Unis a découvert que la compagnie SkyTaxi, basée en Pologne, est devenue l’un des seuls transporteurs aériens au monde à accepter de l’argent facile en transportant des singes en voie de disparition à travers le monde pour qu’ils soient torturés et tués dans des laboratoires. Nous avons besoin de vous pour y mettre fin.

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