En tant que parent compatissant (ou professeur), vous êtes probablement passé par là : vous êtes assis avec un enfant, chantant l’une des nombreuses comptines que vous avez apprises dans votre enfance, et vous vous rendez compte que le message qu’elle contient n’est pas celui que vous voulez partager avec la jeune personne en face de vous.

PETA a donc créé des versions respectueuses des animaux de quatre comptines classiques !

Des versions respectueuses des animaux de comptines devenues obsolètes

Les comportements à l’égard des animaux ont beaucoup évolué au cours des centaines d’années qui se sont écoulées depuis que de nombreuses comptines ont été écrites. De la même manière que de vieilles chansons et des contes de fées ont été remaniés pour remplacer les propos racistes, sexistes et autres, nous devrions veiller à ce que les comptines soient adaptées aux enfants d’aujourd’hui et n’encouragent pas le spécisme, la cruauté envers les animaux ou la peur de ces derniers.

Les animaux sont des individus intelligents, capables de ressentir la joie ou la souffrance. Nous n’avons pas à les exploiter et notre langage doit évoluer pour refléter cette réalité. En tant qu’éducateurs, nous savons que les enfants sont de véritables éponges qui absorbent tout ce qu’ils voient et entendent. Tout comme nous faisons attention à ne pas utiliser certains mots que nous ne voulons pas que nos enfants répètent, nous devons réfléchir aux messages sur les animaux que nous leur transmettons à travers les comptines traditionnelles.

Nos mots ont de l’importance

Bien que les choses aient pu être différentes il y a longtemps, nous savons aujourd’hui que les oiseaux utilisés pour le duvet sont des êtres sensibles et sociaux et qu’ils sont maltraités lors de l’arrachage de leurs plumes, voire tués. Les oiseaux ont besoin de leurs plumes – nous n’avons pas le droit de leur prendre, et une comptine comme « Alouette, gentille alouette » devrait être mise à jour pour refléter cela.

Ce que vous pouvez faire

En tant que responsable de l’éducation d’un enfant, vous avez une influence sur son développement et sur sa vision de la vie. Lorsque vous chantez l’une de ces comptines très populaires à un enfant, remplacez les paroles désuètes par de nouvelles paroles empreintes de compassion afin d’enseigner qu’il n’est pas acceptable d’être cruel envers les animaux. Veillons à inculquer l’empathie à nos enfants à chaque occasion et à construire la génération la plus bienveillante qui soit.

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Cette décision de Victoria’s Secret donne des ailes aux défenseurs des animaux.

Après des mois d’échanges avec PETA États-Unis sur les méthodes cruelles d’élevage et d’abattage des oiseaux pour leurs plumes, Victoria’s Secret a confirmé qu’elle n’utiliserait que de magnifiques fausses plumes fabriquées à la main pour les ailes d’ange des mannequins lors de son prochain défilé de mode. L’événement sera marqué par les prestations de Tyla, Lisa de Blackpink et de Cher, la tête d’affiche du défilé.

PETA est ravie d’apprendre que le défilé de mode emblématique de Victoria’s Secret reflétera désormais les valeurs modernes en abandonnant les plumes obtenues de manière cruelle au profit de créations éblouissantes pour lesquelles aucun oiseau n’a souffert ou n’est mort. Cette annonce fracassante fait suite à trois mois de communication avec PETA États-Unis, au cours desquels l’organisation de défense des animaux a détaillé la cruauté inhérente à l’industrie des plumes.

Les plumes utilisées pour la mode sont souvent arrachées par poignées à des oiseaux pleinement conscients et terrifiés ou prélevées sur des oiseaux tués pour leur chair (ou leurs organes, comme pour le foie gras) ou leur peau. L’industrie des plumes contribue à soutenir l’industrie de la viande, car les plumes d’un oiseau peuvent être vendues à un prix bien plus élevé au kilo que sa chair. Une enquête diffusée par PETA sur les plus grandes entreprises d’abattage d’autruches au monde a révélé que les travailleurs forçaient de jeunes oiseaux effrayés à entrer dans des stalles où ils étaient électrocutés, puis leur tranchaient la gorge sous les yeux de leurs congénères.

Environ 620 000 plumes d’autruches, de faisans et de poulets auraient été utilisées pour un seul défilé de Victoria’s Secret afin de créer les ailes des mannequins.

Leurs ailes, leur chemin

Dans la nature, les autruches entretiennent des liens familiaux étroits et partagent les tâches parentales. Les poulets sont des oiseaux intelligents et sociaux qui établissent une structure sociale dynamique connue sous le nom de « hiérarchie ». Tous les oiseaux ont des sentiments, des relations et des intérêts qui leur sont propres, ils ne veulent pas être exploités et tués pour des accessoires.

Soyez un ange pour les animaux : N’achetez jamais de plumes !

Stella McCartney a récemment collaboré avec PETA pour inciter les créateurs à signer l’engagement des entités PETA à ne plus jamais utiliser de plumes dans leurs collections. Des créateurs comme Felder Felder, Richard Malone, Patrick McDowell et Vin + Omi ainsi que les marques Gymshark, Omnes, Skinnydip London et d’autres ont déjà signé cet engagement. Cette semaine, PETA a perturbé le défilé Dior à la Paris Fashion Week pour appeler la marque à renoncer aux plumes.

Engagez-vous à ne jamais acheter ou porter de vêtements, d’accessoires ou d’autres articles fabriqués avec des plumes :

Engagez-vous à ne pas utiliser de plumes

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Nous avons réussi ! Après une campagne mondiale menée par les entités PETA, le géant pharmaceutique Sanofi ne tourmentera plus de petits animaux dans le cadre d’une expérience de quasi-noyade connue sous le nom de « test de nage forcée ».

Cette décision fait suite à une campagne de sensibilisation menée par des scientifiques de PETA et à plus de 440 000 courriels envoyés par des sympathisants du monde entier.

Sanofi

Sanofi a annoncé cette décision louable par le biais d’une nouvelle politique publique confirmant que l’entreprise « n’utilise pas le test de nage de Porsolt ». Elle a déclaré : « Nous n’avons aucun projet de recherche impliquant l’utilisation de ce test et nous ne prévoyons pas d’utiliser ce test à l’avenir, que ce soit en interne ou chez un partenaire de recherche contractuel. »

Entre 1993 et 2019, Sanofi a fait subir ce test à plus de 1 500 souris et rats, sans parvenir à produire un seul antidépresseur utilisable.

Le test cruel de nage forcée

Dans ce test largement discrédité, les expérimentateurs confinent des rats, des souris ou d’autres petits animaux dans des récipients d’eau dont ils ne peuvent pas sortir et les regardent nager désespérément à la recherche d’une échappatoire, dans la croyance erronée que cela peut révéler quelque chose sur les conditions de santé mentale chez l’humain. Une fois le test terminé, les expérimentateurs tuent les animaux.

Sanofi rejoint de nombreuses autres entreprises qui ont interdit le test après avoir été contacté par les entités PETA, notamment Johnson & Johnson, Bayer, GlaxoSmithKline, AbbVie, Roche, AstraZeneca, Novo Nordisk A/S, Boehringer Ingelheim, Pfizer et Bristol Myers Squibb.

Passez à l’action pour mettre fin à TOUTES les expérimentations sur les animaux

Le taux d’échec des nouveaux médicaments mis au point à partir d’animaux dans des domaines de recherche sur des maladies spécifiques dépasse 95 %.

Les scientifiques de PETA ont étudié l’échec du paradigme de l’expérimentation animale pour aider les humains souffrant de maladies, et ils ont un plan : le Research Modernisation Deal.

Ce plan définit une stratégie pour remplacer l’utilisation des animaux dans la recherche biomédicale et les essais réglementaires. En investissant davantage dans des méthodes sans animaux, les scientifiques de la France pourraient mettre au point de meilleurs traitements pour les maladies humaines ainsi que des méthodes plus fiables pour l’évaluation de la toxicité. Cela permettrait d’éviter la souffrance de millions de souris, de rats, de chiens, de primates, de lapins, de poissons et d’autres animaux.

Demandez au gouvernement de s’engager

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