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Vidéo : PETA fait goûter du « foie gras de chat » dans les rues de Strasbourg

« Chat ch’est bon ! ». Les promeneurs du centre-ville de Strasbourg ont pu goûter en exclusivité un nouveau type de foie gras tout particulier : le foie gras de chat de la ferme du Graminet.

Choc, dégoût, menace de porter plainte – voilà les réactions du grand public en entendant qu’ils ont dégusté l’organe malade d’un petit félin. Il s’agissait bien évidemment de faux gras, une version végétale du cruel produit original fait de l’organe gonflé d’oies et de canards. Mais la vidéo du canular de PETA pose une question essentielle :

Foie gras d’oie ou de chat, quelle différence ?

Le foie gras provient d’oies et de canards qui passent les dernières semaines de leur vie à être gavés de force. Un tube métallique est enfoncé dans leur gorge plusieurs fois par jour et d’immenses quantités de bouillie y sont déversées, provoquant une distension du foie qui grossit jusqu’à atteindre 10 fois sa taille normale. Les poumons sont comprimés par l’organe distendu et les oiseaux affaiblis peinent à respirer ou à se tenir debout. À la fin de cette courte vie de souffrance, ils sont abattus et leur organe engraissé, le foie gras, est vendu pour être étalé sur des toasts.

Le gavage est si cruel que de nombreux pays l’interdisent. L’Union européenne s’est aussi opposée à cette pratique dès 1998 par une directive sur la protection des animaux dans les élevages.

Si l’idée qu’un chat soit attrapé et gavé de force puis violemment tué afin que son foie finisse sur la table pour les fêtes vous scandalise, pourquoi en est-il autrement pour les oies et les canards (qui ressentent la douleur et la peur tout autant que les animaux qui partagent nos foyers) qui subissent ce traitement ?

Non au spécisme, oui à la bienveillance

Nous appelons les consommateurs à étendre leur compassion à tous les êtres en cette période des fêtes et à laisser le foie gras (quelle que soit l’espèce dont il provient) hors de leur assiette.

Heureusement, nul besoin de passer au foie félin, car les chefs s’accordent à l’air du temps en développant des alternatives végétales au foie gras (comme celui d’Alexis Gauthier, chef français étoilé au Michelin, qui a conçu spécialement pour PETA une recette de faux gras) et d’autres options véganes sont disponibles dans le commerce.

Allez plus loin et agissez en quelques clics en envoyant un message à votre mairie afin qu’elle aussi s’engage à ne plus servir de foie gras :

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Les victoires pour les animaux de PETA en 2023

Dans cette rétrospective annuelle, nous avons mis en lumière quelques-unes de nos plus belles victoires pour les animaux en 2023. Regardez la vidéo dès maintenant et découvrez les actions grâce auxquelles nous avons effectué des progrès, fait avancer le mouvement de défense des droits des animaux et lutté contre le spécisme cette année.

L’initiative citoyenne européenne « Save Cruelty Free Cosmetic  » validée par plus de 1,2 million de signatures

L’initiative citoyenne européenne soutenue par PETA a été validée par plus de 1,2 million de signatures ! En réponse à cette mobilisation sans égal, la Commission européenne a annoncé un plan pour la suppression progressive de l’utilisation d’animaux lors d’expériences et de tests chimiques.

Des avancées pour les animaux exploités pour l’alimentation humaine

Avec votre aide, nous avons convaincu HelloFresh de cesser de soutenir le travail des singes pour la récolte de noix de coco et interrompu le projet de construction de la plus grand ferme laitière d’Europe.

De nombreuses marques de mode abandonnent les matières animales

De nouvelles images de l’exploitation des chèvres pour le cachemire ainsi que nos demandes ont fait évoluer les pratiques de nombreuses marques de mode. VF Corporation (qui possède Timberland, The North Face, Vans, Dickies, Supreme, JanSport et d’autres marques) a arrêté le cachemire, Citadium et Kering ont cessé l’angora, Tartine et Chocolat s’est engagé à ne plus utiliser de fourrure et SMCP a banni le duvet et les plumes de ses marques (Sandro, Maje, Claudie Pierlot et Fursac).

Merci !

Ces accomplissements n’ont été possibles que parce que des personnes bienveillantes et déterminées ont refusé de détourner le regard ou de se taire pendant que les animaux souffraient. PETA ne s’arrêtera pas tant que toutes les cages ne seront pas vides, que toutes les chaînes ne seront pas brisées et que tous les animaux ne seront pas traités avec respect.

Rejoignez-nous en 2024 ! Suivez-nous sur les réseaux sociaux pour ne rien rater et participer à nos pétitions urgentes et autres actions qui nous aideront à remporter de nouvelles victoires pour les animaux.

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Chanson de Noël de PETA : la désillusion de Tessa la dinde

Faites la connaissance de Tessa, une dinde joyeuse qui aime chanter et qui est le personnage principal de la dernière chanson de Noël de PETA.

Suivant les traces de Toby, Tessa s’émerveille des coutumes de Noël, comme la taille du sapin et l’envoi de lettres au Père Noël, tout en chantant joyeusement une version modifiée de Deck the Halls.

Le joyeux numéro musical de la jeune dinde est cependant interrompu lorsqu’elle est soudainement saisie dans la rue et emmenée en camion dans un abattoir, où elle est placée sur une chaîne de production en vue d’une mort certaine.

Cette tournure sombre ne semble peut-être pas très festive, mais c’est la triste réalité pour les millions de dindes qui sont tuées pour le repas de Noël chaque année.

Présentez Tessa à vos amis et à votre famille !

En cette période de fête, répandez la bienveillance en partageant cette vidéo avec vos proches afin que davantage de personnes puissent fêter Noël avec bonté et que davantage d’animaux puissent eux aussi passer du temps avec leur famille.

La tradition de la dinde est cruelle et archaïque

Les dindes sont des oiseaux intelligents et doux qui, tout comme Tessa, font preuve de curiosité et ont une personnalité extravertie. Dans la nature, ce sont des parents attentionnés qui peuvent vivre jusqu’à 10 ans, mais ceux qui sont tués pour leur chair n’ont pas la chance de vivre avec leur famille et meurent prématurément.

Chaque année, des millions d’oiseaux sont entassés dans des hangars insalubres, où ils endurent d’immenses souffrances avant d’être envoyés à l’abattoir alors qu’ils ont à peine 10 à 12 semaines. Si une dinde se trouve sur votre table cette année, vous mangez donc un bébé !

Dans les abattoirs, les dindes sont souvent suspendues par les pattes et traînées vers un « réservoir d’étourdissement » électrifié. Mais l’étourdissement n’étant pas toujours réussi, certaines sont toujours conscientes lorsqu’on leur tranche la gorge ou qu’on les plonge dans de l’eau brûlante pour les débarrasser de leurs plumes.

©Jo-Anne McArthur / Djurrattsalliansen

Commencez une nouvelle tradition végane

Noël est une période de générosité envers autrui. Que ferez-vous maintenant que vous savez que les dindes souffrent juste pour que les humains puissent les manger ? Vous pouvez étendre les réjouissances de la saison à tous les animaux, simplement en les laissant hors de votre assiette.

Heureusement, il est plus facile que jamais de commencer une nouvelle tradition en dégustant des versions véganes, respectueuses des animaux et de la planète, des plats classiques de Noël que vous aimez tant ! Téléchargez notre livret de recettes appétissantes et choisissez parmi les biscuits salés à l’avoine, le pâté aux algues fumées, la poêlée de châtaignes et chou rouge, le gâteau de Noël, le vin chaud, etc.

Passez un joyeux Noël végan et répandez la joie !

La cruauté à Noël est une tradition qui doit disparaître, mais la compassion n’est pas l’apanage des fêtes. Il est simple, sain et délicieux de consommer des aliments respectueux des animaux tout au long de l’année. Pour en savoir plus, procurez-vous notre « Guide du végan en herbe » gratuit.

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Des employés en Thaïlande poignardent des crocodiles et les écorchent vifs

Une enquête de PETA Asie sur l’industrie des peaux exotiques en Thaïlande a révélé que des crocodiles sont poignardés avec une lame en métal et continuent à bouger alors que les employés arrachent leur peau, tout cela pour en faire des sacs, des chaussures, des ceintures et d’autres accessoires qui seront vendus partout dans le monde.

Les enquêteurs ont visité le Phokkathara Crocodile Farm and Live Show, un élevage de crocodiles organisant des spectacles en Thaïlande. Le propriétaire de cet élevage dit posséder 4 000 crocodiles. Ces reptiles sont confinés dans des enclos ne contenant que des fosses remplies d’eau trouble au lieu d’être libres d’explorer des marécages, de prendre le soleil et d’élever leurs petits comme ils le feraient dans la nature. Ces bassins crasseux sont un vivier de maladies et une telle proximité dans le confinement peut provoquer de l’agressivité chez les animaux stressés.

Pour tuer un crocodile, un employé utilisait une méthode rudimentaire : le coup de couteau dans la nuque, qui consiste à tenter de sectionner la moelle épinière et provoque probablement une douleur extrême et une mort lente et atroce. Les pattes de l’animal continuent à bouger pendant au moins 23 minutes après que l’employé lui a violemment enfoncé une lame en métal dans le cou. Une évaluation scientifique suggère que les crocodiles peuvent rester en vie pendant plus d’une heure et demie après que de telles blessures leur soient infligées.

Faites la différence pour les crocodiles dès maintenant !

Ne soutenez pas cette souffrance. N’achetez rien qui soit fait avec de la peau animale. De nos jours, il y a un tel éventail de choix de matières véganes et écologiques que rien ne justifie de porter ou de vendre des peaux exotiques.

La maltraitance montrée par ces images bouleversantes est loin d’être rare : il s’agit d’une pratique commune dans l’industrie des peaux exotiques. Demandez à Hermès, qui possède des élevages de crocodiles similaires en Australie, d’arrêter de vendre des peaux exotiques dès maintenant :

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Des « grenouilles » devant le siège de Carrefour pour appeler l’enseigne à cesser de vendre leurs cuisses

Ce matin, des militants de PETA se sont rendus devant le siège de Carrefour à Massy ainsi que plusieurs magasins de l’enseigne en France afin de dénoncer la vente de cuisses de grenouille par ces derniers. L’action fait suite à une enquête de PETA Asie dans des exploitations en Indonésie, d’où provient 80 % des 3 000 tonnes de viande de grenouilles importées par la France chaque année.

Les militants présents en Île-de-France, à Strasbourg et à Lyon portaient des masques de grenouille et des pancartes où l’on pouvait lire notamment « Carrefour : stop au massacre des grenouilles ».

 

Sur les images publiées par PETA, les grenouilles sont capturées dans la nature et entassées dans des sacs, parfois pendant plusieurs jours, avant d’être triées. Les animaux encore vivants sont parfois violemment frappés sur le sol par les employés pour gagner du temps. Ils ont ensuite la tête et les pattes tranchées. Certaines grenouilles sont complètement décapitées, tandis que d’autres ne le sont que partiellement, et nombre d’entre elles sont encore vivantes et bougent toujours lorsque les ouvriers leur arrachent la peau.

Cet enfer pour les grenouilles n’est pas un cas isolé : les enquêteurs ont constaté des actes de cruauté flagrante à l’égard des amphibiens dans toutes les installations sélectionnées au hasard qu’ils ont visitées.

Les deux espèces de grenouilles capturées par les ouvriers – la grenouille de rivière à crocs et la grenouille crabieuse – connaissent toutes deux un déclin de leur population. Bien que la capture de la première ne soit pas autorisée dans la nature, les fournisseurs indonésiens étiquètent délibérément mal l’espèce et l’exportent. Selon Eurostat, l’UE a importé environ 35 millions de kilos de cuisses de grenouilles entre 2010 et 2022, ce qui équivaut à environ 703 millions à 1,7 milliard de grenouilles.

Ce que vous pouvez faire

PETA Asie a réagi en déposant une plainte auprès des autorités compétentes, mais nous avons besoin de votre aide. Nous appelons tout un chacun à cesser de manger des cuisses de grenouille – ou quoi que ce soit d’autre provenant d’un animal – car leur obtention est toujours le fruit d’une immense cruauté.

En tant que consommateurs consciencieux, nous avons le pouvoir de mettre fin à ces souffrances en adoptant un mode de vie végan. Démarrez dès aujourd’hui en commandant notre « Guide du végan en herbe » gratuit :

Allez plus loin en appelant Carrefour, Auchan, Intermarché, Leclerc, Super U, Picard et d’autres enseignes à couper les liens avec cette industrie cruelle et à cesser de vendre des cuisses de grenouilles :

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La cruauté envers les animaux approuvée par la Commission européenne : les élevages pour la fourrure et le transport d’animaux restent autorisés

Les politiques vont à l’encontre de la volonté des citoyens : la Commission européenne a annoncé hier qu’elle continuerait à autoriser l’élevage et la mise à mort d’animaux pour la fabrication de fourrure, ainsi que les terribles transports d’animaux sur de longues distances. La Commission souhaite attendre les résultats d’une étude de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) avant de prendre une décision définitive sur la question. Ce faisant, elle va à l’encontre de la volonté de la majorité des citoyens de l’UE.

Les participants avaient voté en faveur d’une interdiction de l’élevage des animaux à fourrure dans le cadre de la plus réussie des initiatives citoyennes européennes, avec plus de 1,5 million de signatures. Julia Zhorzel, responsable des campagnes relatives aux peaux animales pour PETA Allemagne, commente :

« La décision de la Commission européenne de continuer à tolérer l’élevage pour la fourrure et le transport d’animaux sur de longues distances n’est pas seulement un affront aux citoyens de l’UE, mais un manquement flagrant à son devoir de protéger les animaux contre la cruauté. L’étude autorisée par la Commission européenne est une véritable perte de temps. Il est prouvé depuis longtemps que l’élevages pour la fourrure cause une souffrance extrême aux animaux : en Europe, des millions d’animaux dits à fourrure sont contraints de passer leur vie dans des cages minuscules aux conditions d’hygiène déplorables avant qu’on ne les écorche. En outre, rien ne s’améliore pour les plus d’un milliard d’animaux qui sont transportés chaque année dans l’Union européenne et vers des pays tiers. Des mesures misérables comme leur accorder un peu plus d’espace, des temps de transport supposément plus courts ou des exigences en matière de température ne changent rien aux maltraitances endémiques à cette industrie : la peur, la douleur, les blessures, la frustration et l’épuisement sont omniprésents. De nombreux citoyens européens réclament des progrès significatifs en matière de bien-être animal. Avec cette décision la Commission ne fait pas qu’affaiblir leur confiance en la démocratie, elle consolide également l’exploitation des animaux et la destruction du mode de vie des humains par les dommages collatéraux de l’agriculture animale. Face aux enjeux de biodiversité et de climat, nous n’avons tout simplement plus de temps à perdre. Nous attendons de la Commission qu’elle cesse de retarder le progrès et d’adopter des simulacres de mesures et qu’elle impose une interdiction totale du commerce et de l’importation de fourrure à l’échelle de l’Union européenne ainsi qu’un veto sur les terribles transports d’animaux sur de longues distances. »

Pour en savoir plus sur le commerce de la fourrure et le transport d’animaux vivants :

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Révélations sur la cruauté du commerce de viande de grenouille

Une récente enquête de PETA Asie sur l’industrie indonésienne de la viande de grenouille a mis au jour une réalité bouleversante qui demande une attention immédiate. Des sacs surchargés de grenouilles suffocantes aux méthodes de mise à mort atroces, les découvertes de cette enquête montrent la souffrance des grenouilles avant leur arrivée dans les assiettes des citoyens de l’Union européenne et d’ailleurs. La France importe chaque année plus de 3 000 tonnes de cuisses de grenouilles – dont 80 % viennent d’Indonésie – ce qui en fait le plus gros importateur de l’UE.

Les grenouilles sont connues pour leurs pattes palmées et leurs sauts, mais ces animaux fascinants et sensibles ont bien d’autres caractéristiques remarquables. De nombreuses espèces de grenouilles sont des parents dévoués – et pleins de ressources – et ont des traits de caractère variés, allant de l’audace à la vigilance en passant par la sérénité.

Tout comme les humains, les grenouilles ressentent la douleur et la peur. Elles ne veulent pas être arrachées à leur environnement ni être tuées, et pourtant près de 322 tonnes de cuisses de grenouilles ont été expédiées d’Indonésie vers l’Union européenne entre mars et mai de cette année. PETA appelle tout un chacun à cesser de manger des cuisses de grenouille – ou quoi que ce soit d’autre provenant d’un animal.

Des investigations révèlent la cruauté envers les grenouilles

La vidéo de PETA Asie montre que des employés capturent des grenouilles dans la nature et les entassent dans des sacs extrêmement chargés, provoquant l’asphyxie et la mort de bon nombre d’entre elles. Ils les laissent parfois agoniser dans ces sacs pendant deux longues journées.

La vidéo montre une employée en train de frapper des grenouilles vivantes contre le sol tout en faisant le tri entre les animaux vivants et morts. D’autres employés utilisaient des couteaux pour trancher la tête et les pattes des grenouilles. Certaines sont complètement décapitées, tandis que d’autres ne le sont que partiellement, et des ouvriers coupent également les pieds des grenouilles avant de leur trancher la tête.

De nombreuses grenouilles sont encore vivantes et bougent toujours lorsque les ouvriers leur arrachent la peau. Les enquêteurs ont constaté que la bouche des grenouilles s’ouvrait et se fermait après la décapitation et que leur corps sans tête remuait pendant plusieurs minutes après l’abattage.

Cet enfer pour les grenouilles n’est pas un cas isolé : les enquêteurs ont constaté des actes de cruauté flagrante à l’égard des amphibiens dans toutes les installations sélectionnées au hasard qu’ils ont visitées en Indonésie.

Implications environnementales

Les conséquences de cette industrie vont au-delà de la cruauté infligée aux grenouilles. Diverses sources ont montré que les populations de grenouilles en Indonésie ont diminué au cours des dernières décennies. Selon la liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature, les populations de grenouilles de rivière Limnonectes macrodon et de Fejervarya cancrivora (ou grenouilles mangeuses de crabes) sont en diminution.

Si cette tendance se poursuit, des problèmes liés au déséquilibre écologique (comme l’utilisation accrue de pesticides par les agriculteurs en raison de l’absence de prédateurs naturels pour les insectes, ou encore la prolifération des moustiques) se développeront inévitablement.

Seule une des deux espèces de grenouilles capturées par les travailleurs dans la vidéo figure sur la liste des espèces autorisées à être capturées dans la nature établie par le ministère de l’Environnement et des Forêts. Cette restriction est probablement la raison pour laquelle les cuisses de grenouilles sont mal étiquetées pour l’exportation.

Des étiquettes mensongères

Les fournisseurs indonésiens étiquettent et vendent délibérément deux espèces de grenouilles – Limnonectes macrodon et Fejervarya cancrivora – sous le seul nom de Fejervarya cancrivora, même si les fournisseurs qui vendent ces animaux à des distributeurs à l’étranger admettent que les erreurs d’étiquetage sont monnaie courante et qu’ils peuvent faire la distinction entre les espèces lors de l’emballage.

Violations des lois

Face à la violente réalité de l’industrie de la viande de grenouille, nous ne pouvons que constater le mépris flagrant des lois en vigueur. L’article 66, paragraphe 1, de la loi indonésienne n° 18 de 2009 exige que des mesures soient prises pour assurer le bien-être des animaux lors de leur capture, de leur élevage, de leur abattage et de leur transport. En outre, l’article 66, paragraphe 2, exige que les animaux soient généralement protégés de la douleur, de la peur ou de la contrainte. Pourtant, ces installations fonctionnent avec un mépris impitoyable pour la douleur et la souffrance des grenouilles et ignorent effrontément ces lois.

PETA Asie a réagi à cette cruauté en déposant une plainte auprès des autorités compétentes, mais nous avons besoin de votre aide. En tant que consommateurs consciencieux, nous avons le pouvoir de mettre fin à ces souffrances : adoptons un mode de vie végan.

Le véganisme est la seule voie de sortie

Vous avez le pouvoir. En devenant végan, vous prenez position contre la cruauté et l’injustice. Rejoignez-nous pour dénoncer une industrie fondée sur la souffrance. Faites le premier pas aujourd’hui en vous engageant à devenir végan et en rejoignant le mouvement grandissant pour la compassion, la considération et la justice :

Allez plus loin en appelant Carrefour à couper les liens avec cette industrie cruelle et à cesser de vendre des cuisses de grenouilles :

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Bonne nouvelle ! Isabel Marant a dit stop à l’angora, à la fourrure et aux peaux exotiques

C’est une belle nouvelle pour les animaux : Isabel Marant a confirmé dans un e-mail à PETA avoir banni l’angora, la fourrure et les peaux exotiques de ses collections :

« Isabel Marant n’utilise plus de fils angora […] Je vous confirme également que nous ne vendons plus de fourrure ni d’articles en peau exotique. »

Nous saluons cet engagement fort de la part de la marque française, implantée dans 19 pays, qui permet d’épargner d’immenses souffrances aux lapins, aux renards, aux crocodiles et à d’innombrables autres animaux.

L’extrême violence de la production d’angora, de fourrure et de peaux exotiques

Pour obtenir ces matières, des lapins ont les poils arrachés à vif, des crocodiles et des serpents sont dépecés vivants, et des renards, visons et autres animaux sensibles sont détenus dans des conditions sordides et mutilés avant d’être violemment abattus.

Des enquêtes en Asie et en France ont révélés que les lapins utilisés pour l’angora sont confinés sans stimulations ni soins vétérinaires. Ils sont sortis de leurs cages minuscules et sales uniquement pour être violemment épilés. Ils sont alors attachés et maintenus en place et leurs doux poils leur sont arrachés par poignées, déchirant parfois leur peau délicate.

PETA a également diffusé plusieurs enquêtes portant sur l’industrie des peaux exotiques. Celles-ci montrent que les serpents sont cloués à des arbres ou des planches, ou encore suspendus et remplis d’eau, avant d’être écorchés vivants. Ces animaux au métabolisme très lent peuvent agoniser pendant plusieurs heures avant de mourir. Quant aux lézards, ils sont souvent décapités à la machette sans être étourdis.

La majorité des peaux de crocodile et d’alligator ont été volées à des animaux élevés dans des bassins bondés et des eaux stagnantes et fétides. Ils sont électrocutés ou abattus par balle ou à coups de marteaux. Les éleveurs préfèrent parfois sectionner leur moelle épinière et leur enfoncer une tige en métal le long de la colonne vertébrale, ce qui les paralyse mais ne les tue pas immédiatement, leur infligeant une mort lente et douloureuse.

Ce que vous pouvez faire

PETA appelle toutes les marques à suivre ce bel exemple en délaissant les matières issues d’animaux et en innovant pour une mode plus bienveillante.

Agissez en choisissant de ne jamais porter de peaux animales, en partageant ces informations avec vos proches pour les encourager à en faire de même et en écrivant aux marques qui continuent de vendre ces « matières » obtenues dans la souffrance. Rejoignez-nous dès maintenant en demandant au gouvernement d’interdire la production d’angora en France :

Exprimez-vous aussi contre l’usage de cuirs exotiques chez Louis Vuitton, Hermès et d’autres marques :

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6 moyens d’agir pour les animaux ce Noël

Décembre est la saison de la bienveillance, du vin chaud, des chocolats, des fêtes de fin d’année, des réunions de famille, des chants et des achats de Noël. Mais pour certains animaux, surtout ceux qui sont tués pour servir d’aliment ou pour leurs peaux, Noël n’est pas une occasion joyeuse. Cependant, vous pouvez aider à changer cela, avec ces étapes faciles pour répandre la joie tout ce mois de décembre.

    1. Votez avec votre porte-monnaie en laissant en rayon les articles faits d’angora, de cuir et d’autres matières cruelles d’origine animale. Jetez plutôt un coup d’œil à notre liste d’idées de cadeaux éthiques.
    2. Laissez Rudolph se reposer : les animaux ne sont pas des décorations de Noël, et il n’est pas juste de les traiter comme des accessoires dans les crèches, ou les parades de Noël. Si vous avez connaissance d’événements à proximité qui utilisent des rennes, des pingouins ou d’autres animaux sauvages, veuillez envoyer un message poli aux organisateurs pour leur demander de repenser leur programmation.
    3. Ne mangez pas de dinde. Un dîner de Noël sans cruauté est la voie à suivre pour quiconque a une conscience. Prenez donc exemple sur Paul McCartney – ou sur l’une de ces autres célébrités ayant banni la viande de leurs assiettes – en laissant les animaux morts en-dehors du menu de Noël. Des points bonus si vous réussissez à convaincre les membres de votre famille qui mangent de la viande avec votre délicieuse cuisine de Noël ! Et si vous ne savez pas par où commencer, téléchargez notre guide pour organiser un festin de Noël végan.
    4. Exprimez-vous contre le foie gras. Si vous apercevez du foie gras sur n’importe quel menu de Noël, veuillez écrire ou parler au gérant du lieu pour lui faire part de votre déception. La production de foie gras est si cruelle qu’elle est illégale dans certains pays, et il n’y a rien de festif dans la torture en boîte.
    5. Encouragez les gens à adopter, et non acheter ! Bien que tout le monde devrait maintenant savoir qu’un chiot est pour la vie, et pas seulement pour Noël, les refuges voient encore une vague de chiens et de chats abandonnés après la période des fêtes. Aidez à prévenir ces tragédies en expliquant à vos proches pourquoi ils ne devraient jamais acheter un animal dans une animalerie.

      © iStock.com/Pekic
    6. Donnez vos manteaux de fourrure ! Nous savons qu’aucun d’entre vous ne serait assez cruel pour acheter de la vraie fourrure (après tout, c’est ainsi qu’elle est faite). Mais si vous en avez accidentellement acquis, vous pouvez la donner à des refuges pour sans-abris, les utiliser comme litière pour les animaux dans le besoin, ou encore nous nous ferons un plaisir de vous en débarrasser pour les utiliser dans des démonstrations de sensibilisation.

Pour d’autres façons d’aider les animaux tous les jours, inscrivez-vous à notre réseau militant !

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