Tous les articles par Marie J

Axe supprime les expériences sur les animaux et rejoint la liste de PETA États-Unis

Le programme Global Beauty Without Bunnies de PETA États-Unis est ravi d’accueillir Axe – la plus grande marque de parfums pour hommes au monde – dans sa liste d’entreprises ne pratiquant pas de tests sur les animaux, ce qui signifie que la marque n’effectue et n’effectuera pas de tests sur les animaux, où que ce soit dans le monde.

Cette marque très populaire de brumes pour le corps, de gels douche, de déodorants et de produits de soins capillaires arborera bientôt le logo en forme de lapin de PETA.

Les produits Axe sont vendus dans plus de 90 pays à travers le monde. Avec cette nouvelle certification de PETA, la marque répond aux attentes des consommateurs soucieux du bien-être animal et renforce son attrait auprès de ceux qui refusent d’acheter des produits provenant d’entreprises qui financent des tests cruels sur les animaux.

La douce odeur des victoires sur l’expérimentation animale

La société mère d’Axe, Unilever, a également banni tous les tests sur les animaux non requis par la loi pour le reste de ses produits. Unilever figure sur la liste des entreprises « Working for Regulatory Change » de PETA États-Unis, une catégorie qui reconnaît les entreprises qui n’effectuent des tests sur les animaux que lorsque la loi l’exige explicitement, qui sont transparentes avec PETA au sujet de tous les tests sur les animaux qui ont été effectués et des raisons de ces tests, et qui travaillent activement pour promouvoir le développement, la validation et l’acceptation de méthodes n’utilisant pas d’animaux.

Pour être acceptées dans le programme Beauty Without Bunnies, les entreprises doivent s’engager à ne jamais effectuer, commander, payer ou autoriser de tests sur les animaux à n’importe quelle phase du développement, tant pour les ingrédients que pour les produits finis.

Rejoignez le mouvement pour la fin des tests sur les animaux

Il est facile d’éviter les produits testés sur les animaux grâce à la base de données Beauty Without Bunnies de PETA États-Unis, qui répertorie actuellement plus de 6 500 entreprises et marques de cosmétiques, de soins personnels et de produits ménagers ne faisant pas appel aux tests sur les animaux.

N’oubliez pas non plus de rechercher le logo du lapin de PETA sur les produits et d’utiliser votre pouvoir de consommateur pour soutenir les entreprises approuvées par PETA. En choisissant des produits exempts de tests sur les animaux, vous contribuerez à éviter que des centaines de milliers de souris, lapins, cobayes, rats et autres animaux sensibles ne soient soumis à des tests atroces et mortels.

L’article Axe supprime les expériences sur les animaux et rejoint la liste de PETA États-Unis est apparu en premier sur PETA France.

« Devenir végan, c’est du gâteau » – découvrez l’affiche de Petit Biscuit pour PETA

« Devenir végan, c’est du gâteau » – c’est le message que diffuse le musicien à succès Petit Biscuit dans une toute nouvelle campagne de PETA. L’artiste de 23 ans, qui fait « pas mal de sport », pose torse nu afin d’illustrer les bienfaits physiques d’une alimentation sans produits issus de l’exploitation animale.

Dans un entretien vidéo exclusif pour PETA, le producteur de musique électronique, qui est végan depuis 2019, explique qu’il « essaie de montrer sur [s]es réseaux sociaux que tu peux être végan et tu peux prendre de la masse, tu peux être fort, être énergique ».

Avec cette campagne, Petit Biscuit rejoint une longue liste de musiciens au grand cœur, comme Stomy Bugsy, David Hallyday, Mike Posner, Joan Jett, Alissa White-Gluz, Ozzy Osbourne, Iggy Pop ou encore Paul McCartney, qui se sont associés aux entités PETA pour promouvoir la compassion envers les animaux.

« Moi c’est mes valeurs la défense animale, c’est mon quotidien, c’est mon mode de vie aussi. »

Chaque animal est un être sensible

« Chaque animal est un être sensible et je pense que l’empathie c’est quelque chose de global. Tu ne peux pas l’avoir pour les humains et pas pour les animaux, » déclare Petit Biscuit dans l’interview.

Chaque jour, partout dans le monde, des millions d’animaux luttent pour rester en vie. L’industrie de la viande est de loin la plus grande tueuse d’animaux au monde et elle est responsable de l’implacable et néanmoins banale cruauté que subissent des cochons, des moutons, des vaches, des poules, des canards, des oies et d’autres animaux qui souffrent chaque minute de leur courte vie. Ils sont mutilés et enfermés dans de minuscules cages avant d’être violemment tués puis démembrés pour la consommation humaine.

Parce que « les abattoirs essaient de faire des économies de temps et de coûts », souvent « les animaux sont mal étourdis et sont tués en pleine conscience » explique le musicien. Il décrit également ce qui se passe dans l’industrie laitière, dont « on parle un peu moins » : les vaches sont inséminées artificiellement et à répétition et chaque veau leur est retiré peu après sa naissance pour que le lait qui lui était destiné soit volé pour les humains.

Il n’y a « que des bonnes raisons d’être végan »

Ne pas manger de viande ni de produits laitiers est le moyen le plus simple de refuser la cruauté et les mauvais traitements quotidiens qui sont infligés aux animaux dans les abattoirs et les élevages en France et ailleurs. Devenir végan pendant un mois permet de préserver la vie d’environ 16 animaux, et devenir végan pour toujours signifie épargner près de 200 animaux par an. Il y a de quoi se réjouir !

Par ailleurs, une alimentation végane n’est pas seulement plus respectueuse des animaux et de la planète, elle présente aussi de nombreux bénéfices pour la santé. En effet, une alimentation végétale bien planifiée est saine et riche en nutriments et permet de diminuer les risques de maladies cardiaques, de diabète de type 2, d’obésité et de certains types de cancers. Elle est également l’alliée des sportifs : les protéines végétales ne contiennent pas le cholestérol que l’on trouve dans les produits d’origine animale (dont la présence en grande quantité bouche les artères et peut causer des maladies cardiovasculaires), constituant ainsi le carburant parfait pour une activité physique intense. C’est pourquoi les athlètes sont de plus en plus nombreux à devenir végans.

« Je suis quelqu’un de très pragmatique et si je peux me faire plaisir dans ma nourriture, que niveau santé c’est parfait et qu’en plus je peux arrêter de contribuer à la souffrance animale en arrêtant de tuer les animaux alors que j’en ai pas besoin, pour moi y’a aucun problème. »

Ce que vous pouvez faire

« Je ne fais pas particulièrement la différence entre les animaux de compagnie et les animaux de ferme, y’a quelque chose d’assez simple à se dire : tous les animaux partagent cette sensibilité, on peut pas le nier. » explique l’artiste. De concert avec PETA, Petit Biscuit s’oppose au spécisme, l’idéologie postulant une fausse supériorité de l’humain sur les autres animaux. Apprenez-en plus sur le spécisme et comment vous pouvez lutter contre la cruauté qu’il engendre :

Nous avons tous le pouvoir d’arrêter la maltraitance envers les animaux, en commençant par modifier nos habitudes quotidiennes. Les personnes souhaitant « faire des choix de vie qui sont adaptés » à leur opposition aux mauvais traitements des animaux dans l’agro-industrie peuvent commander un exemplaire gratuit de notre « Guide du végan en herbe » et consulter la rubrique « Vivre végan » de notre site.

L’article « Devenir végan, c’est du gâteau » – découvrez l’affiche de Petit Biscuit pour PETA est apparu en premier sur PETA France.

Des animaux utilisés dans plus de 2 millions de procédures scientifiques en France

Des statistiques récemment publiées montrent qu’en 2022, 2 128 058 procédures scientifiques ont été menées sur des animaux en France – une hausse de 12 % par rapport à 2021. Cette augmentation est liée à une modification des rapports statistiques imposée par la Commission européenne : les animaux soumis à des procédures de génotypage invasives ont été inclus dans le rapport pour la première fois.

En France, 326 033 animaux tels que des cochons, des moutons et des vaches ont subi des procédures de génotypage au cours desquelles leurs oreilles sont parfois entaillées (des morceaux en sont découpés) et leur sang est parfois prélevé dans la veine jugulaire. Si la même méthodologie que celle utilisée en 2021 avait été appliquée pour le rapport des données, le nombre total de procédures scientifiques menées sur des animaux aurait été de 1 802 025, soit une baisse de 4,9 % par rapport à l’année dernière.

Le rapport annuel souligne les souffrances endurées par les souris, les lapins, les poissons, les singes, les chiens et d’autres animaux qui ont été empoisonnés, soumis à une détresse psychologique et à des lésions cérébrales, infectés par des maladies, contraints d’ingérer des substances toxiques, privés de nourriture, d’eau ou de sommeil, et tués. Au lieu d’une réduction significative, nécessaire d’un point de vue éthique et promise par le gouvernement, l’utilisation d’animaux dans les expériences reste résolument élevée.

Dans une tendance préoccupante, l’utilisation de primates a augmenté de 15 %, passant de 3 593 procédures en 2021 à 4 147 en 2022. L’utilisation d’animaux génétiquement modifiés a également augmenté de manière significative. En 2021, ils représentaient 25,8 % des animaux utilisés, mais en 2022 ce chiffre est passé à 38,5 %, avec 710 934 utilisations d’animaux génétiquement modifiés.

Les expériences sur le matériel génétique des animaux ont des effets durables et souvent douloureux. Les animaux génétiquement modifiés sont souvent contraints de vivre avec des conditions invalidantes telles que des yeux ou des oreilles manquants, des ulcères cutanés, des parties du corps déformées, une surdité, des crises d’épilepsie et des insuffisances cardiaques. En 2022, on a recensé 108 793 utilisations d’animaux présentant un phénotype dommageable. Mais ce n’est là qu’un aspect de la souffrance causée.

Ces pratiques cauchemardesques commencent par l’injection d’hormones à des femelles avant qu’elles ne subissent une intervention chirurgicale abdominale ou qu’elles ne soient sauvagement tuées pour que leurs ovules puissent être prélevés. D’autres sont forcées de subir une gestation de substitution et des embryons modifiés sont implantés chirurgicalement dans leur utérus.

Pourtant, ces procédures de modification génétique sont rarement couronnées de succès. De nombreuses gestations échouent et, parmi les animaux qui naissent, seuls 1 à 30 % sont porteurs des gènes qui intéressent les expérimentateurs. Les autres sont tués peu après la naissance et jetés comme de simples déchets de laboratoire.

Les failles de l’expérimentation animale et les conséquences sur la vie des animaux

L’utilisation d’animaux à des fins d’expérimentation scientifique n’entraîne pas seulement des souffrances intenses et une grande cruauté, elle est aussi fondamentalement inadaptée. Des études ont montré à maintes reprises que l’expérimentation animale ne profite pas aux êtres humains et qu’elle gaspille des ressources précieuses et la vie d’êtres sensibles. Ces tests trompeurs gaspillent énormément de temps et d’argent, un grand pourcentage de la recherche préclinique n’étant pas reproductible.

Les modèles animaux sont souvent critiqués pour leurs limites, car les différences entre les espèces les empêchent de servir d’analogues précis pour comprendre les particularités biologiques nécessaires à la mise au point de traitements sûrs et efficaces pour les êtres humains. Un changement de paradigme vers des méthodes de recherche pertinentes pour l’humain, comme les organoïdes et les modèles informatiques, est crucial pour fournir des traitements efficaces et adaptés aux patients.

Les citoyens français demandent une stratégie de sortie !

En 2023, une enquête a révélé que 75 % des Français interrogés se disaient très préoccupés par l’utilisation d’animaux dans la recherche scientifique, les essais et l’éducation. Ils soulignaient la nécessité de redoubler d’efforts pour remplacer rapidement les expériences sur les animaux et demandaient au gouvernement d’établir une stratégie coordonnée pour une transition vers des méthodes sans animaux. Cette initiative est également soutenue par plus de 248 000 citoyens français qui ont signé l’initiative citoyenne européenne en faveur d’une feuille de route pour l’élimination progressive de toutes les expérimentations animales.

L’Accord de modernisation de la recherche (Research Modernisation Deal) de PETA définit une stratégie de transition vers une recherche sans animaux. Le gouvernement doit évoluer avec son temps et mettre fin aux expériences archaïques sur les animaux. Doter les futurs scientifiques d’outils de recherche sophistiqués et sans cruauté est le meilleur moyen de préserver la vie des humains et des autres animaux.

Demandez au gouvernement d’agir et de sauver des vies

Rejoignez des milliers de sympathisants de PETA pour demander au gouvernement français de mettre fin à toutes les expériences sur les animaux et d’élaborer enfin une stratégie de sortie !

L’article Des animaux utilisés dans plus de 2 millions de procédures scientifiques en France est apparu en premier sur PETA France.

Ours abattus à l’arbalète : le ministère de la Défense britannique impliqué dans un massacre sanglant

Une nouvelle enquête de PETA États-Unis menée en Ontario, au Canada, a filmé des chasseurs appâtant des ours dans des tonneaux à l’aide de biscuits, de bagels et d’autres aliments gras avant de leur tirer dessus et de les éviscérer. Les chasseurs écorchent ensuite les ours et vendent parfois leur fourrure. C’est celle-ci qui sera utilisée pour faire les bonnets de la Garde du Roi et que PETA a demandé à remplacer par de la fausse fourrure. PETA Royaume-Uni a montré les images à l’acteur anglais Stephen Fry, qui aide désormais l’association à dénoncer cette cruauté extrême et son rapport avec les bonnets de la Garde du Roi.

Des ours attirés avec des biscuits et abattus à l’arbalète

Appâter les ours est interdit dans certaines régions d’Amérique du Nord et condamné par les groupes de protection de la nature, qui jugent cette pratique cruelle et « déloyale ». Mais ces nouvelles révélations dérangeantes montrent des chasseurs qui attirent des ours peu méfiants avec des seaux de nourriture sucrée ou grasse avant de leur tirer dessus à l’arbalète – une forme de chasse illégale au Royaume-Uni depuis 1981 en vertu de la législation sur la protection de la vie sauvage.


Une mort lente et douloureuse due à la perte de sang

Comme l’a constaté l’enquêteur, les ours touchés par des tirs ne meurent pas toujours sur le coup. Ils prennent parfois la fuite et endurent une mort lente et douloureuse à cause de l’infection et de la perte de sang. Il arrive que les chasseurs ne les retrouvent que des heures plus tard, s’ils se donnent la peine de suivre la traînée de sang. Pendant la chasse au printemps, des mères allaitantes comptent parfois parmi les victimes, laissant derrière elles des petits incapables de survivre sans elles et qui meurent de faim.


De la fourrure vendue au ministère de la Défense

Une fois que les chasseurs ont abattu les ours, il arrive qu’ils conservent des parties de leur corps, comme la tête ou les griffes, en tant que trophée qu’ils pensent être une preuve de leur « virilité », et vendent parfois aux enchères la fourrure. Les chapeliers du ministère de la Défense britannique achètent la fourrure d’ours noirs qui ont été chassés et s’en servent pour fabriquer les couvre-chefs portés par la Garde du Roi.

PETA Royaume-Uni a fourni les images au ministre de la Défense Grant Shapps et appelé le ministère à arrêter de soutenir cette industrie barbare qui va à l’encontre de l’opinion publique. En effet, 95 % des Britanniques affirment être contre la fourrure. PETA Royaume-Uni et le créateur de fausse fourrure ECOPEL ont mis au point une fausse fourrure qui remplit les critères posés par le ministère de la Défense pour remplacer la peau des bonnets. Pourtant, le ministère reste campé sur ses positions et semble attendre un tollé de la part du public pour faire la transition.

498 ours tués en seulement six ans

Il faut la peau d’au moins un ours – un individu avec des pensées, des sentiments et la volonté de vivre – pour fabriquer un seul bonnet. Selon les archives publiques obtenues par PETA Royaume-Uni, le ministère de la Défense a acheté 498 chapeaux en peau d’ours entre 2017 et 2022.

Les origines des bonnets en peau d’ours

Le ministère de la Défense britannique a régulièrement affirmé, avec une totale mauvaise foi, que les fourrures d’ours sont le produit dérivé d’un abattage pour réguler la population supervisé par les autorités canadiennes. Cependant, les gouvernements fédéral et provincial du Canada ont confirmé que de tels abattages n’existent pas. Le gouvernement canadien attribue des « licences » aux amateurs de chasse (comme on peut le voir dans les vidéos) qui sont alors libres d’appâter et de tuer un nombre donné d’ours à des fins récréatives et pour vendre leur peau. Il s’agit d’une pratique sanglante activement financée par le ministère de la Défense.

Dans une tentative désespérée de défendre l’indéfendable, le ministère de la Défense s’est désormais associé à Furmark, un programme de certification trompeur mis en place par l’industrie de la fourrure et dont l’existence ne sert qu’à protéger les intérêts des éleveurs de fourrure et des chasseurs et à promouvoir l’utilisation (en déclin rapide) de la fourrure dans le monde de la mode. Même Mike Moser, l’ancien PDG de l’association britannique du commerce de la fourrure, a qualifié Furmark de programme « insensé » qui vise à « édulcorer la réalité derrière ce […] commerce cruel ».

La fausse fourrure d’ours est d’ores et déjà disponible

PETA Royaume-Uni a proposé une fausse fourrure dernier cri produite par le créateur de fausse fourrure de luxe ECOPEL au ministère de la Défense en 2017, puis en 2023, et ECOPEL s’est engagé à en fournir une quantité illimitée gratuitement jusqu’en 2030. Cela rend l’abattage de ces presque 500 ours particulièrement honteux. De plus, le ministère de la Défense dilapide des fonds publics pour soutenir l’industrie de la fourrure.

Les tests en laboratoire ont confirmé que la fausse fourrure d’ours d’ECOPEL a égalé ou surpassé la vraie fourrure sur les cinq critères établis par le ministère afin de sélectionner une matière de remplacement.

« [La] combinaison du tissu ECOPEL avec une membrane imperméable comme le Tyvek aidera à produire un bonnet léger qui sèche vite et sera plus confortable et moins toxique pour la personne qui le porte, tout en continuant à transmettre l’image historiquement importante des Grenadiers. » – Atom Cianfarani, technologue en textile indépendant

Stephen Fry : les bonnets en fourrure déshonorent le Royaume-Uni

Concrètement, le gouvernement britannique soutient la chasse à l’appât d’ours.

« Le Royaume-Uni s’est toujours targué d’être « fair-play », mais ces ours appâtés par les chasseurs à l’aide de biscuits n’ont aucune chance de survie. La tradition n’excuse jamais la cruauté, c’est pourquoi je me joins à l’appel pour demander au ministère de la Défense d’arrêter d’utiliser la fourrure d’animaux abattus et d’opter pour une fausse fourrure plus humaine pour les bonnets de la Garde du Roi. Le contraire serait inadmissible et contraire aux valeurs britanniques. » – Stephen Fry

Comment nous aider ?

Il est temps de moderniser ce symbole emblématique du Royaume-Uni en passant à une fausse fourrure épatante, qui a été testée pour garantir qu’elle conviendrait à l’utilisation spécifique qu’en fait la Garde du Roi.

L’article Ours abattus à l’arbalète : le ministère de la Défense britannique impliqué dans un massacre sanglant est apparu en premier sur PETA France.

Lyon : une pile de « cadavres » devant Carrefour pour appeler l’enseigne à cesser de vendre leurs cuisses

Une enquête vidéo bouleversante a révélé la maltraitance endémique à l’industrie de la viande de grenouille, notamment chez des fournisseurs des magasins Carrefour de France. En appui à ces révélations, des militants PETA portant des masques de grenouilles ont manifesté aujourd’hui devant le magasin Carrefour du centre commercial de Confluence, à Lyon. Ils formaient une pile de « cadavres » rappelant les images des corps morts et agonisants vues dans l’enquête. Sur les pancartes, les passants pouvaient lire « Carrefour : STOP au massacre des grenouilles » et « Des grenouilles décapitées et dépecées pour Carrefour ».

L’enquête de PETA Asie montre des ouvriers capturant des grenouilles dans leur habitat naturel et les enfermant dans des sacs scellés, parfois pendant plusieurs jours. Sur les images, on peut voir les sacs qui grouillent des corps des batraciens luttant désespérément pour s’échapper – mais beaucoup meurent asphyxiés. Ensuite, les ouvriers leur tranchent la tête et les pattes et les écorchent alors qu’ils sont parfois encore vivants et conscients, à même le sol ou sur des planches à découper tachées de sang. Leurs corps sont enfin jetés sur une pile de cadavres ensanglantés.

Cet enfer pour les grenouilles n’est pas un cas isolé : les enquêteurs ont constaté des actes de cruauté flagrante à l’égard des amphibiens dans toutes les installations sélectionnées au hasard qu’ils ont visitées. L’Indonésie est l’un des principaux exportateurs de cuisses de grenouilles au monde et le plus gros fournisseur de grenouilles de la France (80 % des importations). Chaque année, des centaines de millions de cuisses de grenouilles sont expédiées d’Indonésie à des distributeurs de l’Union européenne. Entre mars et mai 2023, près de 322 tonnes de cuisses de grenouilles ont été expédiées d’Indonésie vers l’UE, pour finir notamment dans les restaurants et supermarchés français.

Ce que vous pouvez faire

À la suite de la diffusion de ces images, Carrefour a suspendu ses commandes auprès du fournisseur incriminé. Mais peu importe l’origine des grenouilles, l’obtention de leurs membres est toujours le fruit d’une immense cruauté, aussi nous maintenons notre appel au groupe de cesser totalement la vente de cuisses de grenouilles.

Nous appelons également les consommateurs à ne pas contribuer à la souffrance d’êtres sensibles en laissant les animaux hors de leur assiette. Commencez dès aujourd’hui en commandant notre « Guide du végan en herbe » gratuit :

Et agissez à nos côtés en appelant Carrefour, Auchan, Intermarché, Leclerc, Super U, Picard et d’autres enseignes à couper les liens avec cette industrie cruelle et à cesser de vendre des cuisses de grenouilles :

L’article Lyon : une pile de « cadavres » devant Carrefour pour appeler l’enseigne à cesser de vendre leurs cuisses est apparu en premier sur PETA France.

« Louis Vuitton : vous n’avez pas été sage » : des elfes manifestent devant la boutique phare de la marque

Flanquée de ses lutines, la mère Noël a manifesté devant la boutique Louis Vuitton des Champs-Elysées aujourd’hui afin de dénoncer l’horreur du commerce des peaux exotiques. Les militantes de PETA ont brandi des pancartes où l’on pouvait lire « Ho ho non ! Louis Vuitton : les animaux ne sont pas des accessoires » et « Louis Vuitton : vous n’avez pas été sage. Stop aux peaux exotiques ! »

Thomas Saidi

En cette période lucrative pour les marques de luxe, l’association braque les projecteurs sur l’abjecte cruauté que soutient Louis Vuitton en vendant des articles en peaux exotiques. Une enquête diffusée par PETA et tournée chez des fournisseurs de LVMH, la maison-mère de Louis Vuitton, montre des serpents frappés à la tête avec des marteaux et écorchés alors qu’ils sont vraisemblablement encore conscients. D’autres révélations de PETA montraient déjà la souffrance et la mort atroces des crocodiles au Vietnam, tout cela pour produire des sacs en cuir « de luxe » pour Louis Vuitton.

Il n’y a rien de luxueux à mutiler des animaux, à les gonfler d’eau et à les écorcher vifs. Nous appelons donc les consommateurs à étendre la compassion dont ils font preuve pour Noël à ces individus en n’achetant jamais de peaux exotiques.

Passez à l’action

Chaque article en cuir exotique provient d’un animal intelligent et sensible qui a subi l’agonie d’une mise à mort cruelle et sanglante. C’est pour cela que LVMH a été élu « scélérat de l’année » lors du Prix de la mode végane 2023 de PETA.

Agissez avec nous en demandant au groupe qu’il mette fin à l’utilisation honteuse de peaux de serpents, de crocodiles et d’autres reptiles dans toutes ses marques :

L’article « Louis Vuitton : vous n’avez pas été sage » : des elfes manifestent devant la boutique phare de la marque est apparu en premier sur PETA France.