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Bonne nouvelle ! Marc Jacobs abandonne les peaux exotiques

Voilà une excellente nouvelle pour les serpents et les autruches ! Marc Jacobs a rejoint la longue liste de marques de luxe qui ont arrêté d’utiliser des peaux de crocodiles, de lézards, d’autruches, de serpents et d’autres animaux sauvages dans leurs collections.

La marque a confirmé cette décision après que PETA États-Unis a partagé des enquêtes montrant les conditions épouvantables dans lesquelles les reptiles et les autres animaux utilisés par l’industrie de la mode sont contraints de vivre avant d’être électrocutés, assommés ou même écorchés vifs.

D’autres grands créateurs de mode et marques ont renoncé aux peaux exotiques, tels que Burberry, Chanel, Carolina Herrera, Diane von Furstenberg, Jean Paul Gaultier, Karl Lagerfeld, Nordstrom, Stella McCartney, Victoria Beckham et Vivienne Westwood.

La souffrance et la misère derrière les sacs à main en peau exotique

Derrière chaque sac en peau d’autruche (ou de reptile) se cache un individu qui a vécu une vie misérable et pleine de souffrance, contraint de vivre dans la crasse avant d’être découpé en morceau.

De nombreuses enquêtes de PETA ont dénoncé la manière dont les employés dans l’industrie de la mode gonflent des serpents vivants, leur frappent la tête avec un marteau et les coupent avec des rasoirs, coupent le cou des crocodiles et leur enfoncent des tiges en métal dans le crâne, décapitent des lézards encore conscients à la machette et étourdissent des autruches en les électrocutant avant de les égorger sous les yeux de leurs congénères.

Quelle marque sera la prochaine ?

PETA félicite Marc Jacobs d’avoir pris la bonne décision et demande à tous les créateurs de mode de faire de même. Rejoignez notre campagne en demandant aux marques ci-dessous d’abandonner les peaux exotiques elles aussi :

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La mascotte des Jeux Olympiques voit rouge : « Les JO sponsorisés par la cruauté animale »

« Amitié, respect, excellence », les Jeux Olympiques ? Aujourd’hui à Marseille, la mascotte des JO avait pourtant un autre message à faire passer. Afin de dénoncer les pratiques cruelles de LVMH, partenaire principal des Jeux 2024, une Phryge de PETA s’est interposée sur le parcours de la Flamme avec un message : « Les JO, sponsorisés par la cruauté animale ».

Costumée ainsi, l’activiste de PETA a tenté de perturber l’événement en brandissant d’une main un « cadavre » de crocodile et de l’autre un « sac ensanglanté » sur lequel on pouvait lire « Louis Vuitton : stop aux peaux exotiques », avant d’être arrêtée par la police et détenue au commissariat.

Cédric Deligne

Les pratiques cruelles de LVMH envers les animaux éloignent considérablement le groupe des valeurs olympiques. L’entreprise revendique un « esprit d’innovation exceptionnel » et tente de se positionner en leader moderne grâce aux JO, mais continue pourtant de torturer et de tuer des animaux pour créer des accessoires de mode en fourrure ou en peaux exotiques.

Des enquêtes révèlent la cruauté qui se cache derrière les peaux exotiques

Une enquête de PETA Asie dans les abattoirs qui fournissent LVMH en Indonésie montre des serpents frappés au marteau, gonflés avec de l’eau et coupés avec des rasoirs alors qu’ils sont probablement encore conscients.

Les entités PETA ont également rendu compte de la manière dont l’industrie de la mode tranche le cou des crocodiles et enfonce des tiges en métal dans leur colonne vertébrale, décapite des lézards encore conscients à la machette et étourdit électriquement des autruches avant de les égorger devant leurs congénères terrifiées.

Des matières véganes pour prôner le respect et l’excellence

Torturer des animaux pour fabriquer des sacs à main ou des manteaux est archaïque et inacceptable, surtout lorsque des options véganes haut de gamme sont disponibles. La mode doit être un plaisir, pas une tragédie, et de plus en plus de créateurs comme Mulberry, Victoria Beckham, Chanel, Burberry, Diane von Furstenberg et Vivienne Westwood ont abandonné l’utilisation de peaux de reptiles ou d’autres animaux sauvages.

Les pythons et les crocodiles ont besoin de votre aide

Joignez-vous à PETA pour presser LVMH de supprimer dès maintenant les peaux exotiques et la fourrure de Louis Vuitton et de ses autres marques :

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May the fourth : 4 raisons pour lesquelles Star Wars devrait vous encourager à être végan

Dans toute la galaxie, le 4 mai – ou « May the 4th be with you » (que la Force soit avec vous) – est célébré comme la Journée Star Wars.

Star Wars est bien plus que la plus grande franchise de science-fiction de tous les temps. Outre un phénomène culturel mondial, c’est une œuvre qui reflète certaines des questions éthiques les plus profondes de notre époque, notamment notre lien aux animaux.

Alors, pourquoi est-ce que Star Wars devrait vous encourager à défendre la vie de tous les animaux en devenant végan ?

Des acteurs défendant la justice et la liberté, pour les animaux aussi

Saviez-vous qu’un certain nombre des acteurs de la franchise sont des amis des animaux et utilisent leur notoriété pour sensibiliser au véganisme et aux droits des animaux ? Que ce soit Daisy Ridley (Rey), Thandie Newton (Val), Mark Hamill (Luke Skywalker), Woody Harrelson (Tobias Beckett) ou encore Natalie Portman (Padmé Amidala), ils sont nombreux à avoir adopté une alimentation végétale et à défendre un mode de vie végan.

« En tirant mon lait, j’ai réalisé que l’équivalent pour les vaches, ce serait que mon lait aille dans la bouche de gens qui assassinent et mangent ma famille. #vegan » – Thandie Newton

« Ce n’est que lorsque j’ai commencé à militer pour les droits des femmes que j’ai réalisé que mon véganisme était lié à ces mêmes problématiques. Les produits laitiers et les œufs ne proviennent pas juste de bovins et de poulets, ils proviennent de vaches et de poules. Nous exploitons le corps des femmes et nous abusons de l’aspect magique des femelles animales pour produire des œufs et du lait. » – Natalie Portman

Le film Les Derniers Jedi comporte des messages pro végan

Vous n’avez peut-être pas aimé la dernière triologie, mais chez PETA nous pensons que Star Wars : Les Derniers Jedi mérite le titre de meilleur Star Wars. Que ce soit avec les porgs, les fathiers, les vulptices ou cette répugnante scène du lait vert, cet épisode n’a pas hésité à mettre à l’écran le sort des animaux utilisés pour les désirs humains.

Au cours du film, Chewbacca s’apprête à manger un oiseau ressemblant à un poulet lorsqu’il aperçoit un petit groupe de porgs, de mignons oiseaux marins, qui le regardent en pleurant, choqués qu’il ait tué et s’apprête à manger l’un des leurs. C’est à ce moment-là que Chewie a une « révélation végane », si l’on peut dire : après avoir constaté que les porgs sont des individus dotés de sentiments, il décide de ne pas manger le cadavre.

Pendant le reste du film, on voit Chewie et les porgs ensemble. L’empathie qu’il manifeste à leur égard est le reflet d’un problème bien réel : les poulets, les cochons, les vaches, les dindes et d’autres animaux sont tués pour être mangés sur Terre, alors qu’ils sont intelligents et sensibles et qu’ils méritent de vivre à l’abri des mauvais traitements. Tout comme les porgs, ce sont des animaux sensibles qui ne nous appartiennent pas.

L’une des scènes les plus émouvantes de cet épisode met en scène des fathiers, des êtres qui ressemblent à des chevaux. Lorsque Finn et Rose se trouvent dans la riche ville de Canto Bight, Rose exprime son dégoût pour la ville où se trouve une piste de fathiers qui ressemble étrangement aux pistes de course de chevaux terrienne. On voit alors en gros plan des animaux violemment fouettés et électrocutés avec une sorte de taser, tout cela pour le divertissement des riches citoyens de la ville. Plus tard dans le film, Rose et Finn libèrent les animaux et l’on peut lire la gratitude sur leurs visages. Leur sort est une métaphore des nombreux animaux qui, sur Terre, souffrent chaque jour pour divertir les humains.

Qu’il s’agisse de courses de chevaux, de cirques, de parcs marins, de films et d’émissions télévisées ou de promenades à dos d’éléphant, il est inacceptable de forcer les animaux à se produire en spectacle.

Il a inspiré une attraction Disney entièrement végane

Toute la nourriture et les boissons proposées à l’attraction Star Wars: Galaxy’s Edge des parcs Disneyland américains sont véganes ! C’est pourquoi PETA États-Unis lui a décerné le prix Vegan Superstar en l’honneur du 40e anniversaire du Retour du Jedi. Retrouvez-y notamment les célèbres laits bleus de Star Wars : Un nouvel Espoir et lait vert de Star Wars : Les Derniers Jedi, entièrement sans produits laitiers. Ces boissons rafraîchissantes sont composées d’un mélange de lait de coco et de riz aux saveurs fruitées et tropicales.

Le lait vert est issu d’une des scènes les plus mémorables des Derniers Jedi, celle où Luke Skywalker prend le lait d’une vache marine extraterrestre sur Ahch-To. Le dégoût que le public a éprouvé devant cette scène devrait également être ressenti lorsque les humains boivent du lait de vache. Les mères animales produisent du lait pour leur propre progéniture, pas pour les humains (pas même pour les Jedi). Les vaches ne nous appartiennent pas, et pourtant, elles sont maltraitées dans l’industrie du lait, où elles sont fécondées de force et où leurs petits leur sont arrachés peu après la naissance. Les veaux mâles sont généralement abattus pour leur viande tandis que les femelles subissent le même sort que leurs mères : elles sont traitées comme de simples machines à traire.

Le plus sage de tous les Jedi n’était-il pas végan ?

Bien que cela ne soit jamais dit explicitement dans la série, le comportement pacifique de Yoda laisse penser qu’il s’applique également à son alimentation. Pendant son exil sur Dagobah, il vit dans une hutte de terre dans laquelle il a amassé des plantes, des graines et des noix trouvées dans les marécages. Le soir où il rencontre Luke Skywalker, Yoda lui prépare un « ragoût de racines ». Pendant son séjour sur la Bordure Extérieure, il complète également son alimentation avec d’autres plantes cueillies, notamment des graines de yarum et de galla, des spores de champignons et de l’écorce de sohli. De plus, rappelez-vous du dégoût du maître Jedi pour les rations alimentaires de Luke, lorsqu’il recrache avec répulsion une bouchée de bâtonnet de poisson.

Mais rien ne montre mieux que Yoda était peut-être végan que ses paroles et ses actes. « Un Jedi utilise la Force pour la connaissance et la défense, jamais pour l’attaque », dit-il au jeune Skywalker dans L’Empire Contre-Attaque, prouvant ainsi son engagement en faveur de la non-violence. Il est parfaitement logique que Yoda ait été végan car, grâce à la Force, il avait une empathie très profonde pour tous les êtres vivants , et donc une capacité à ressentir et à percevoir la souffrance. Tuer inutilement des animaux juste pour leur goût irait à l’encontre de tout ce que Yoda représente et pratique.

Végan, tu seras

Tout comme les Jedi, vous pouvez faire la différence dans le monde et choisir de le faire basculer du côté lumineux plutôt que du côté obscur. En décidant de ne plus consommer de plats, de vêtements, de cosmétiques et d’autres produits issus de l’exploitation et de la mort des animaux, vous épargnez environ 200 vies chaque année.

Joyeux 4 mai, et que la Force (végane) soit avec vous !

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Sanofi subit des pressions de PETA États-Unis au sujet des tests de quasi-noyade

Alors que se tenait l’assemblée annuelle du géant français de l’industrie pharmaceutique Sanofi à Paris, un « savant fou » a reproduit le test à la fois cruel et inutile de quasi-noyade en jetant des « rats » dans d’énormes béchers d’eau. Deux autres militantes habillées de blouses blanches tenaient des pancartes où l’on pouvait lire « Ce n’est pas de la science, c’est de la violence. » ou encore « Sanofi : arrêtez de faire les savants fous. STOP aux tests de nage forcée. »

Thomas Saidi

La manifestation faisait écho à une question d’actionnaire soumise par PETA États-Unis en amont de l’assemblée, appelant le producteur de médicaments à cesser d’utiliser et de financer les tests de quasi-noyade, largement discrédités, comme de nombreuses grandes entreprises pharmaceutiques l’ont déjà fait – dont Pfizer, GSK, Bristol-Myers Squibb, Johnson & Johnson, AbbVie, Roche, AstraZeneca, Sage Therapeutics, Novo Nordisk A/S et Boehringer Ingelheim.

Qu’est-ce que le test de nage forcée ?

Le test de nage forcée est une expérience très répandue, aussi cruelle qu’inutile. Lors de ce test, les expérimentateurs placent des souris, des rats, des cochons d’Inde, des hamsters ou des gerbilles dans des récipients remplis d’eau d’où ils ne peuvent s’échapper. Les animaux paniqués tentent de s’échapper en grimpant sur les parois des béchers ou même en plongeant sous l’eau à la recherche d’une sortie. Ils nagent avec acharnement, essayant désespérément de garder la tête hors de l’eau.

Lors de ces expériences de quasi-noyade, les expérimentateurs administrent des substances aux petits animaux, puis ils les placent dans les récipients et attendent qu’ils abandonnent et se laissent flotter, soi-disant pour en savoir plus sur la dépression chez l’humain. Les scientifiques ont vivement critiqué ce test, estimant qu’il s’agissait d’une méthode d’évaluation de la dépression inefficace, et que son utilisation pourrait même empêcher la mise au point de nouveaux médicaments susceptibles d’être efficaces pour l’être humain.

Agissez pour les souris

Par cette action, PETA États-Unis veut faire savoir aux investisseurs que Sanofi refuse d’arrêter d’effectuer un test qui a été discrédité et force de petits animaux paniqués à nager pour survivre.

Le groupe doit cesser de perdre du temps et de gaspiller des ressources et adopter sans attendre des méthodes de recherche sur la dépression modernes, sans animaux.

Agissez en envoyant un message à Sanofi dès maintenant :

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Hermès mis au défi de visiter des abattoirs producteurs de peaux exotiques avec PETA

« Vous agissez comme si vous n’aviez rien à cacher… Prouvez-le. » Lors de la réunion annuelle de la maison de couture française, un représentant de PETA États-Unis, actionnaire du groupe de luxe, a décrit les dessous sanglants de la production de peaux exotiques aux autres actionnaires choqués, puis a demandé à Axel Dumas, PDG d’Hermès : « Quand irons-nous ensemble examiner les conditions réelles dans lesquelles ces animaux vivent et meurent ? »

De nombreux grands créateurs ont abandonné les peaux exotiques, mais Hermès continue de vendre des articles fabriqués à partir de matières obtenues de manière cruelle – et les entités de PETA maintiennent la pression sur la société pour qu’elle abandonne ces produits de souffrance.

Hermès ne doit pas continuer à ignorer les atrocités commises dans les élevages et les abattoirs qui l’approvisionnent en peaux exotiques. La souffrance d’êtres sensibles n’a rien de luxueux, et la marque doit opter pour des matières végétales sans cruauté, comme l’exigent les consommateurs.

« Peu importe l’élevage dans lequel Hermès s’approvisionne en peaux. Il s’agit de pratiques courantes dans l’industrie. Votre propre politique pour le bien-être animal affirme : « Cette politique reconnaît la notion de sensibilité animale et l’importance de permettre aux animaux d’éviter toute souffrance inutile et de permettre aux animaux de vivre des expériences influant positivement sur leur bien-être. » Vous continuez pourtant à soumettre les reptiles à une vie de souffrance et à une mort lente et atroce. Vous agissez comme si vous n’aviez rien à cacher, je vous le demande donc : « Prouvez-le ». Nous avons demandé à accompagner Hermès pour visiter des élevages et abattoirs d’animaux exotiques, et votre manque de réponse en dit long. Je pense que vos autres actionnaires conviendront qu’il s’agirait d’une initiative utile. Notre question est donc la suivante : quand irons-nous ensemble examiner les conditions réelles dans lesquelles ces animaux vivent et meurent ? » – James Fraser, au nom de PETA États-Unis

Dans sa réponse, Axel Dumas a décliné l’invitation, tout en admettant : « Je ne dis pas qu’il n’y a pas de problèmes dans l’industrie ». Le PDG a ensuite tout fait pour duper les actionnaires, faisant référence à la CITES – la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction – une réglementation qui ne concerne que le nombre d’animaux commercialisés, et non la manière horrible dont ils sont élevés et tués.

Un sac Birkin signifie la mort de trois crocodiles

Trois crocodiles sont tués pour confectionner un seul sac à main Hermès. Des enquêtes – dont une vidéo de l’association australienne Kindness Project, tournée dans des élevages intensifs appartenant à Hermès – dévoilent toute l’horreur que subissent les reptiles confinés, charcutés et tués pour leurs peaux. On y voit des crocodiles parqués à l’étroit dans des enclos et cages lugubres, traînés, mutilés et poignardés avec un tournevis.

En décembre, une nouvelle enquête de PETA Asie a révélé que des milliers de crocodiles élevés pour leur peau passaient leur vie dans des bassins sales et exigus dans un élevage en Thaïlande. Un crocodile avait été vu en train de bouger pendant 23 longues minutes après qu’un employé a plongé une lame en métal dans son cou.

Une mode sans violences

De nombreux grands créateurs, tels que Mulberry, Victoria Beckham, Chanel, Burberry, Diane von Furstenberg et Vivienne Westwood, ont interdit l’utilisation de peaux de reptiles ou d’autres animaux sauvages. La semaine de la mode de Copenhague a également banni récemment les peaux exotiques de ses défilés.

Les créateurs novateurs soutiennent les options en cuir végan à base d’ananas, de champignons, de pommes, de cactus et d’autres matériaux innovants qui sont magnifiques, meilleurs pour la planète et plus respectueux des animaux.

Aidez-nous à mettre fin à l’industrie des peaux exotiques

Envoyez un message à Hermès pour l’inciter à abandonner les peaux exotiques :

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PETA Asie révèle que le bétail australien est toujours massacré en Indonésie

PETA Asie révèle que le bétail australien est toujours massacré en Indonésie

De nouvelles révélations choquantes de PETA Asie montrent que les employés en Indonésie massacrent toujours des animaux importés d’Australie, alors même que le gouvernement australien a affirmé que cette horrible pratique avait cessé.

En octobre 2023, un enquêteur de PETA Asie a filmé des images montrant deux vaches avec des boucles d’identification australiennes en train de se débattre sur le sol d’un abattoir après avoir été égorgées par des ouvriers. Les deux animaux donnaient encore des coups et l’un d’eux gargouillait alors qu’on les traînait par les pattes sur le sol sal et qu’on les accrochait. L’une des vaches a continué à se débattre jusqu’à ce qu’un ouvrier l’égorge plus profondément.

Des révélations similaires en 2021

En 2021, PETA Asie a enquêté dans sept abattoirs sélectionnés de manière aléatoire, dont certains faisaient partie du système d’assurance qualité de la chaîne d’approvisionnement des exportateurs (ou ESCAS) du gouvernement australien. Les bovins en provenance d’Australie étaient placés dans des boîtes d’étourdissement et les ouvriers leur tiraient dessus à plusieurs reprises à l’aide d’un pistolet d’abattage avant de les égorger. Les ouvriers étourdissaient parfois partiellement – ou même pas du tout – les animaux. Certains étaient simplement jetés dans des boîtes d’étourdissement et égorgés. Un animal paniqué, encore conscient et dont la tête partiellement coupée pendait, se tordait de douleur tandis qu’un ouvrier découpait sa chair et tentait de le décapiter.

Peu a changé depuis l’enquête précédente de PETA Asie. Les exportateurs sont tenus de respecter les normes ESCAS, l’industrie australienne de la viande continue cependant d’expédier des vaches dans des pays où elles sont abattues dans des conditions qui seraient illégales en Australie.

Un échec du gouvernement

Le gouvernement australien n’a rien fait pour mettre fin à cette maltraitance endémique. Bien que le parti travailliste ait promis, lors de sa campagne électorale en 2019, d’éliminer progressivement les exportations de moutons vivants sur une période de cinq ans, le bétail n’était pas inclus et le parti refuse depuis de s’engager sur un calendrier pour aider les moutons. Rien n’a changé.

Une maltraitance répandue partout dans le monde

Les horreurs que l’on voie sur les images filmées par PETA Asie ne sont pas l’apanage de l’Australie. Partout dans le monde, des pays exportent des vaches, des moutons, des cochons et d’autres animaux afin qu’ils soient abattus à l’étranger. Ils sont entassés dans des camions et des bateaux crasseux où ils se languiront des jours durant, parfois même des semaines. Privés de repos et de pauses, ils sont contraints de rester debout dans leurs propres déjections sans quantités d’eau ou de nourriture suffisantes, ce qui entraîne la perte de nombreuses vies. Imaginez devoir rester dans une voiture pendant des semaines.

Les animaux ne survivent souvent pas à ces périples dangereux. En 2022, un bateau a coulé dans la mer Rouge avec 15 000 moutons à son bord. La même année, près de 800 taureaux ont été renvoyés et tués en France après un conflit entre le pays et l’Algérie.

Vous pouvez faire changer les choses

L’industrie de l’exportation d’animaux vivants est celle de la viande et du cuir. Si vous achetez de la viande ou du cuir, vous financez cette cruauté.

Beaucoup blâment les gouvernements et les législateurs, mais nous sommes responsables. Tant que les humains continueront à consommer des produits d’original animale, des individus continueront à être entassés sur des bateaux et à se vider de leur sang sur le sol des abattoirs.

Il y a une manière d’empêcher la cruauté envers les animaux, et c’est d’opter pour le véganisme.

Demandez également au gouvernement australien de mettre fin à ces pratiques atroces dès maintenant :

Passez à l’action dès maintenant

 

©human.cruelties

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Jésus appelle à la miséricorde pour les taureaux dans une nouvelle campagne de PETA

À l’approche de Pâques et de la Première Rencontre Internationale des Aumôniers et des Prêtres Taurins à Zamora, en Espagne, un message provocateur est apparu dans tout Rome et la ville sainte : une image de Jésus protégeant un taureau d’un matador est accompagnée d’un appel demandant aux prêtres de condamner cette pratique violente.

Stefano Carofei

L’affiche fait partie de la campagne de PETA demandant au pape François de couper les liens de l’Église catholique avec la corrida. Placardée sur une centaine de panneaux publicitaires partout dans la ville, elle fait également la tournée des sites touristiques les plus populaires de Rome (y compris le Vatican) à l’arrière d’un bus de tourisme.

Stefano Carofei

La torture des taureaux ne peut être considérée comme chrétienne

Chaque année, des dizaines de milliers de taureaux sont abattus lors de fêtes taurines partout dans le monde, et beaucoup sont organisées en l’honneur de saints catholiques. Lors de ces événements, des assaillants à cheval enfoncent des lances dans le dos et le cou du taureau avant que d’autres le poignardent avec des banderilles, lui infligeant une douleur aiguë dès qu’il tourne la tête et limitant l’amplitude de ses mouvements. Lorsque le taureau est suffisamment affaibli par la perte de sang, un matador tente de tuer l’animal en lui transperçant les poumons avec une épée. En cas d’échec, il lui tranche la moelle épinière à l’aide d’un couteau. Le taureau est parfois paralysé mais toujours conscient lorsque ses oreilles ou sa queue sont coupées et présentées au matador pour faire office de trophée et son corps est traîné hors de l’arène.

Dans son encyclique Laudato Si’, le pape François a écrit que « toute cruauté sur une quelconque créature est contraire à la dignité humaine ». Dès le 16ème siècle, le pape Pie V, canonisé depuis, a interdit la corrida, qu’il qualifiait de « sanglants et honteux spectacles dignes des démons et non des hommes » et qu’il considérait comme contraire à la « piété et charité chrétienne ». La doctrine de l’Église catholique affirme clairement que les humains ne devraient pas « faire souffrir inutilement les animaux » et « gaspiller leurs vies ». Malgré cela, des prêtres catholiques officient souvent lors de cérémonies religieuses dans des arènes et font office d’aumôniers pour les toreros dans les chapelles qui y sont situées. Certains s’en prennent même aux taureaux dans les arènes, vêtus d’une soutane.

Signez la pétition

L’Église enseigne la compassion envers chaque être vivant et sensible, mais continue de se rendre complice de la persécution et de la torture de taureaux. Toute personne miséricordieuse devrait garder ses distances avec les arènes et le sanglant rituel qui y est pratiqué.

Signez la pétition demandant au pape François, chef de l’Église catholique, de dénoncer publiquement la cruauté de la corrida au nom de l’Église :

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Des militants attaquent en justice la Commission européenne pour son incapacité à agir en faveur des animaux

La Commission européenne poursuivie en justice

Des documents ont été déposés auprès de la Cour de justice de l’Union européenne au Luxembourg pour démontrer que la Commission européenne n’a pas tenu sa promesse d’introduire une législation pour aider les animaux qui souffrent en cage.

La campagne End the Cage Age

Celle-ci marqué l’histoire en étant la première initiative citoyenne européenne (ICE) à réussir à obtenir un engagement réel de la part de la Commission. PETA a travaillé avec Compassion in World Farming et avec une coalition de 170 organisations de défense des droits des animaux, du bien-être animal et de l’environnement en Europe pour recueillir près de 1,4 million de signatures en faveur de l’interdiction de l’utilisation des cages dans l’agriculture animale. La Commission s’était clairement engagée à présenter des propositions législatives visant à interdire l’élevage en cage dans l’UE avant la fin de l’année 2023, mais elle n’a pas tenu sa promesse.

Le comité des citoyens de l’ICE End the Cage Age, financé par Compassion in World Farming, est malheureusement contraint d’essayer d’entrer une nouvelle fois dans l’histoire en étant le premier à demander à la Commission de rendre des comptes sur son inaction dans le cadre d’une ICE. Si l’action en justice est couronnée de succès, le tribunal contraindra la Commission à publier ses propositions dans un délai clair et raisonnable et à autoriser l’accès à son dossier sur l’initiative.

Compassion in World Farming

Plus de 300 millions de cochons, de poules, de lapins, de canards, de cailles et d’oies

C’est nombre d’animaux souffrant dans des cages à travers l’Union européenne, tous en proie à la cruauté et à la misère. Les truies sont forcées d’allaiter leurs porcelets dans une cage si petite qu’elles ne peuvent même pas se retourner. Les lapins et les cailles sont enfermés à vie dans des cages vides. Les canards et les oies sont confinés et gavés pour produire du foie gras.

La meilleure façon d’empêcher que les animaux ne souffrent dans des cages est de devenir végan. Rejeter la cruauté quotidienne qui sévit dans les élevages et les abattoirs de France et d’Europe. C’est aussi simple qu’opérer quelques changements simples et délicieux lorsque vous vous mettez à table. Commandez le « Guide du végan en herbe » gratuit de PETA pour obtenir des astuces, des recettes et des conseils.

Les personnes en faveur de la campagne #EndTheCageAge peuvent également manifester leur soutien en partageant la nouvelle de l’action en justice sur les réseaux sociaux et en mentionnant la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen (@vonderleyen).

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Nouvelle vidéo : les civettes sont toujours exploitées pour le « café de crotte » à Bali

Les civettes à Bali sont encore maltraitées pour du « café de crotte », aussi connu sous le nom de kopi luwak, qui provient des excréments des animaux. Regardez ces nouvelles images de PETA Asie pour savoir d’où il provient vraiment :

Les civettes dépérissent dans des cages

Les enquêteurs ont découvert que les touristes à Bali visitent souvent des plantations de café où les guides leur mentent, prétendant que les excréments utilisés pour le café proviennent d’animaux sauvages alors qu’ils proviennent en réalité de civettes en cages.

La dernière enquête de PETA Asie sur le café de civette en 2022 a montré qu’il est fabriqué en capturant des civettes dans leur habitat naturel, en les confinant dans des cages minuscules et en les nourrissant d’un régime malsain et artificiel de cerises de café. Ce café est fait de grains partiellement digérés extraits des excréments des animaux.

Les mensonges derrières le « café de crottes de civette »

Les enquêteurs ont documenté la maltraitance des civettes dans un élevage à Bali et suivi le café produit jusqu’à un café fréquenté par les touristes comme il y en a des dizaines sur l’île. Dans l’élevage, les civettes étaient enfermées dans des cages vides au sol recouvert d’excrément, de saleté et de cerises en décomposition. Elles tournaient en rond et avaient des plaies ouvertes douloureuses.

Un représentant a affirmé à un enquêteur que les touristes seraient furieux s’ils connaissaient la vérité sur l’origine du kopi luwak. Lorsque les enquêteurs ont visité la plantation, un guide a menti, niant l’utilisation de civettes en captivité, même une fois confronté à la vérité.

Ce que vous pouvez faire

Ne vous laissez pas duper. Ne soutenez jamais le confinement, la souffrance et la tristesse endurée par les civettes pour le kopi luwak. N’achetez pas de café de civette, que ce soit chez vous ou en vacances, et faites circuler ces images.

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