Tous les articles par Caroline C

Gucci poursuivi pour fausses déclarations sur le bien-être animal

Une ancienne vendeuse de Gucci poursuit en justice la maison de haute couture avec un recours collectif pour fraude à la consommation et pratiques commerciales trompeuses. Tracy Cohen, qui aurait vendu pour plus de 50 millions de dollars de marchandises au cours de ses 18 ans de carrière, affirme qu’elle avait pour instruction d’effectuer une « cérémonie de vente » élaborée lorsqu’elle présentait les sacs en peau exotiques de Gucci aux potentiels clients. Elle avait reçu l’ordre de dire à ces derniers que les produits Gucci en peau de python étaient obtenus par le « processus naturel de mue » et que les peaux sont un « sous-produit de l’industrie alimentaire ».

Elle a ensuite découvert l’enquête de PETA Asie dans les élevages de pythons liés à Kering, le propriétaire de Gucci, où les employés frappaient le crâne de pythons avec des marteaux, leur enfonçaient des crochets en métal dans la tête, puis les gonflaient avec de l’eau, alors même que certains animaux continuaient de se mouvoir.

Madame Cohen affirme qu’elle n’aurait jamais trompé une clientèle qui lui faisait confiance ou acheté elle-même des sacs et chaussures en peau de python si elle avait su que les serpents étaient violemment tués pour les produits Gucci :

« J’avais confiance dans le fait que mon employeur me fournissait une formation légitime. Mais Gucci m’a menti. Sans le savoir, j’ai dupé mes clients, dont beaucoup sont des amis des animaux. Ces animaux n’étaient pas sourcés de manière ‘éthique’, mais torturés au nom de la mode de luxe. J’espère que tous les clients qui ont fait confiance à Gucci seront indemnisés pour les mensonges de la société et que cette affaire révélera enfin la douleur et le bain de sang qui se cachent derrière chaque produit en peau de python. » – Tracy Cohen

Tuer des animaux n’a rien de chic : passez à l’action

PETA félicite Mme Cohen d’avoir révélé comment Gucci dupe ses clients et son personnel sur les méthodes cruelles et violentes utilisées pour tuer les pythons destinés à la fabrication d’accessoires. Vous aussi, vous pouvez agir !

Dites à Kering de cesser de vendre tout ce qui est fabriqué à partir de peaux de python et d’autres animaux chez Gucci et dans toutes ses autres marques. Et n’oubliez pas de sensibiliser toutes vos connaissances à ce problème, afin qu’elles n’achètent plus jamais d’articles fabriqués à partir d’animaux.

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Strasbourg : la mascotte des JO suit la Flamme Olympique pour dénoncer LVMH

Depuis plusieurs semaines, une mascotte des JO atypique suit de près la Flamme Olympique : après Marseille et Bordeaux, c’est à Strasbourg que la Phryge élaborée par PETA – qui ressemble à quelques détails près à la mascotte officielle des Jeux – est apparue. L’action visait à dénoncer les pratiques cruelles de LVMH, partenaire principal de Paris 2024. Les yeux rouge sang, la mascotte brandissait d’une main un « cadavre » de crocodile et de l’autre un « sac ensanglanté » avec le message : « Louis Vuitton : stop aux peaux exotiques ».

Cédric Deligne

Des enquêtes mettent en lumière l’horreur des abattoirs qui fournissent LVMH

Une enquête de PETA Asie dans les abattoirs qui fournissent LVMH en Indonésie montre des serpents gonflés avec de l’eau, frappés au marteau et coupés avec des rasoirs alors qu’ils sont probablement encore conscients. Les entités PETA ont également rendu compte de la manière dont l’industrie de la mode tranche le cou des crocodiles et enfonce des tiges en métal dans leur colonne vertébrale, décapite des lézards encore conscients à la machette et étourdit électriquement des autruches avant de les égorger devant leurs congénères terrifiés.

La torture des animaux n’est pas conforme aux valeurs olympiques de respect et d’excellence

Le groupe LVMH tente de cacher qu’il tire profit de l’écorchage à vif d’êtres sensibles, espérant que le grand public n’y verra que du feu. Or, si LVMH veut réellement faire valoir son « esprit d’innovation exceptionnel » et être digne de son rôle de sponsor olympique, le groupe doit renoncer aux peaux exotiques pour privilégier des textiles végans durables, éthiques et chics.

De grands créateurs de mode comme Mulberry, Victoria Beckham, Chanel, Burberry, Diane von Furstenberg et Vivienne Westwood ont déjà abandonné l’utilisation de peaux de reptiles ou d’autres animaux sauvages, et il est temps que LVMH fasse de même.

Les pythons et les crocodiles ont besoin de votre aide

Joignez-vous à PETA pour presser LVMH de supprimer dès maintenant les peaux exotiques et la fourrure de Louis Vuitton et de ses autres marques :

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Des crocodiles en sang projetés sur les monuments de Paris pour dénoncer LVMH

Alors que la capitale française se prépare à accueillir les Jeux Olympiques de 2024, PETA a mis en lumière la cruauté perpétuée par le partenaire olympique LVMH en projetant une vidéo choc sur certains des sites les plus emblématiques de la ville. Afin de dénoncer l’utilisation de peaux exotiques par le groupe de mode, la projection présentait des images choquantes de l’abattage de crocodiles avec le message « Louis Vuitton : stop aux peaux exotiques ».

La première projection a eu lieu place Vendôme où elle a volé la vedette à l’événement Vogue World de dimanche soir, une manifestation célébrant la mode et le sport, et à laquelle ont participé des célébrités et des créateurs de mode, dont Pharrell Williams, directeur de la création masculine de la marque Louis Vuitton, qui appartient à LVMH.

 

Des projections ont également illuminé la tour Eiffel, l’hôtel Louis Vuitton sur les Champs-Élysées et le Pont Neuf. Avec cette intervention, PETA a mis sous le feu des projecteurs le fait que la torture des animaux n’est ni chic, ni conforme aux valeurs olympiques d’amitié, de respect et d’excellence.

Les JO de Paris sont sponsorisés par la cruauté animale

Si l’extrême cruauté envers les animaux était un sport olympique, le partenaire principal de Paris 2024, LVMH, pourrait bien remporter une médaille d’or pour avoir utilisé des peaux de crocodile, de serpent, d’autruche et d’autres animaux sauvages violemment abattus.

Les images de l’enquête de PETA Asie présentées lors de la projection montrent des crocodiles ruisselant de sang lorsque les employés d’un abattoir lié à Louis Vuitton leur tranchent le cou et leur enfoncent des tiges métalliques dans la colonne vertébrale, alors que les animaux bougent, toujours en vie. Les crocodiles peuvent rester conscients jusqu’à une heure après que leur moelle épinière a été sectionnée.

D’autres enquêtes de PETA ont révélé que, dans les abattoirs liés à LVMH, des serpents étaient frappés à coups de marteau, remplis d’eau et écorchés, probablement alors qu’ils étaient encore vivants. Par ailleurs, des autruches terrifiées étaient frappées au visage, placées de force dans des boxes d’étourdissement et abattues sous les yeux de leurs congénères.

Les crocodiles et les autruches ont besoin de votre aide

Torturer des animaux pour fabriquer des sacs à main ou des manteaux est archaïque et inacceptable, surtout lorsque des options véganes haut de gamme sont disponibles. De plus en plus de créateurs comme Mulberry, Victoria Beckham, Chanel, Burberry, Diane von Furstenberg et Vivienne Westwood ont abandonné l’utilisation de peaux de reptiles ou d’autres animaux sauvages, il est temps que LVMH fasse de même.

Joignez-vous à PETA pour presser LVMH de supprimer dès maintenant les peaux exotiques et la fourrure de Louis Vuitton et de ses autres marques :

 

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Dans l’enfer des fermes laitières japonaises

Que ce soit au Japon ou ailleurs, l’industrie laitière reste un enfer où les vaches souffrent. Aussi, plutôt que de consommer du lait de vache, optons pour du lait végan, une alternative saine, sans cruauté et écologique.

Au cours d’une récente enquête dans un élevage, un tiers des vaches se sont révélées boiteuses, et certaines étaient contraintes de se coucher dans leurs propres excréments, incapables de se lever. Aucun traitement n’était proposé aux vaches qui boitaient dont l’abattage était prévu sous peu. Un employé a été vu en train de frapper une vache à coups de pied car celle-ci ne parvenait pas à se déplacer vers la salle de traite après sa mise bas. D’autres vaches recevaient régulièrement des coups ou étaient violemment frappées avec des pelles, des barres en métal ou des bâtons en bois. Des vaches épuisées ont également été arrosées avec de l’eau ou leur queue était tordue afin d’essayer de les forcer à entrer dans la salle de traite. Les vaches souffraient également de déplacement de caillette, une maladie douloureuse qui peut être mortelle. Quel que soit l’état des vaches, elles étaient continuellement traitées pour maximiser les profits.

Des cris endeuillés résonnent dans l’élevage

Dans le même élevage, une mère vache appelait désespérément son petit, qui lui avait été arraché une heure après la naissance. Ses cris endeuillés résonnaient dans l’élevage, témoignant du lien émotionnel profond entre la mère et son petit. Mais ce lien est complètement ignoré par l’industrie laitière.

Tout comme les humains, les vaches nouent des liens forts avec leur famille et leurs amies, elles versent même des larmes lorsque l’une de leurs proches meurt. Le lien entre une mère et son veau est d’une force exceptionnelle. Mais pour voler leur lait, les employés séparent la vache et son petit juste après la naissance.

Les vaches restent debout de manière prolongée et meurent prématurément

La durée de vie d’une vache est d’environ 20 ans. Pourtant, celles qui sont exploitées dans l’industrie laitière sont souvent tuées à seulement cinq ans en raison de la pression exercée par la grossesse et la lactation constantes. Des recherches montrent que près de la moitié de ces vaches sont estropiées avant de mourir prématurément, principalement à force de rester debout sur du béton et à cause de leurs conditions de vie insalubres.

Le Japon dénoncé une fois de plus

Ces découvertes reflètent celles effectuées en 2022 au centre de recherche sur le bétail de la préfecture d’Ibaraki (l’Ibaraki Prefectural Livestock Research Centre ou IPLRC). Une enquête de PETA Asie avait révélé des scènes glaçantes : des employés pressaient un fer brûlant contre le crâne de veaux et donnaient des coups de pieds, des coups de poing et des gifles aux vaches. Suite à cela, une plainte auprès des autorités fédérales avait été déposée. Peu importe l’élevage ou le pays dans lequel il se trouve, la souffrance des vaches dans l’industrie laitière persiste.

Vous avez le pouvoir d’épargner les vaches

Nous devons cesser de soutenir l’industrie laitière, pas seulement au Japon mais partout dans le monde. Peu importe le pays ou le terme de « bien-être animal » qui induit les consommateurs en erreur, l’industrie laitière continuera à exploiter des vaches pour leur chair et leur lait, à moins que vous n’agissiez contre cela. Le moyen le plus efficace d’épargner ces animaux est d’opter pour un mode de vie végan dès aujourd’hui.

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Pourquoi PETA veut interdire les corridas aux enfants

Saviez-vous qu’une société espagnole de gestion de corridas propose des billets gratuits pour les enfants de moins de 8 ans ? Il s’agit d’une tentative désespérée d’attirer plus de spectateurs au massacre barbare des taureaux à la Maestranza de Séville.

Jo-Anne McArthur / We Animals Media

Alors que des entreprises sans scrupules s’attaquent aux jeunes, PETA exhorte le maire de Séville, José Luis Sanz Ruiz, d’assurer la sécurité des enfants en leur interdisant d’assister aux corridas.

Les enfants ne devraient PAS être témoins de la violence

Le Comité des droits de l’enfant des Nations Unies, dont la convention a été ratifiée par l’Espagne, reconnaît l’impact qu’être témoin de violences à l’encontre d’animaux peut avoir sur les enfants :

« Les enfants doivent être protégés contre toutes les formes de violence physique et psychologique et contre l’exposition à la violence, comme la violence domestique ou la violence infligée aux animaux. »  Comité des droits de l’enfant des Nations Unies

Le fait d’assister à la mise à mort d’animaux à des fins de divertissement humain perturbe profondément les jeunes impressionnables, mais les désensibilise également à la souffrance animale. Ils apprennent ainsi que la vie d’autrui n’a pas de valeur et qu’il est acceptable (voire agréable) de lui infliger douleur et tourments.

Lors d’une corrida typique, des assaillants à cheval enfoncent des lances dans le dos et le cou du taureau avant que d’autres lui plantent des banderilles dans le dos, lui infligeant une douleur aiguë et réduisant l’amplitude de ses mouvements.

Pour finir, lorsque le taureau s’affaiblit à cause de la perte de sang, un matador apparaît et tente de tuer l’animal en lui plongeant une épée dans les poumons ou, en cas d’échec, en lui coupant la moelle épinière avec un couteau.

Ce que vous pouvez faire

N’assistez jamais à une corrida et demandez à tous ceux que vous connaissez de se tenir à l’écart de ces spectacles sanglants et archaïques.

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Avancée historique : la Colombie interdit la corrida

Après des années de lutte de PETA Latino et d’autres associations de protection animale, nous avons une belle victoire à saluer en Colombie : le parlement du pays a voté en faveur de l’interdiction de la corrida ! Ce vote historique reflète un fait simple, aussi vrai en Colombie qu’en France et dans tous les pays où la corrida a encore lieu : la majorité des gens considèrent la corrida comme une forme ignoble de maltraitance animale, et non comme une tradition culturelle.

Même si l’interdiction n’entrera pleinement en vigueur qu’en 2027, cette décision atteste de l’imminence de la fin de la corrida partout dans le monde. Les départements taurins français qui organisent encore ces spectacles barbares doivent en prendre note et emboîter le pas à la Colombie au plus vite.

La corrida : de la torture, pas de la culture

Environ 700 taureaux et taurillons sont massacrés à l’arme blanche dans des arènes chaque année en France. Lors d’une corrida, plusieurs taureaux terrifiés sont torturés les uns après les autres pendant une vingtaine de minutes chacun. Des cavaliers leur enfoncent d’abord des piques dans les vertèbres dorsales et cervicales, puis des individus à pied leur plantent des harpons dans le dos. Enfin, après avoir fait durer l’agonie de la victime, le matador (« tueur » en espagnol) tente de l’achever à l’épée ou au couteau.

Il n’est pas rare que les taureaux meurent noyés dans leur propre sang lorsque le matador rate sa cible et que l’épée transperce les poumons au lieu du cœur. Souvent, les animaux traînés par des chaînes hors de l’arène sont paralysés mais toujours conscients.

Agissez pour la fin de la corrida en France

Vous pouvez agir pour mettre fin à cette souffrance extrême. La loi française interdit partout les sévices graves sur les animaux, mais une exception est prévue dans certaines communes où ont lieu ces supplices ignobles. Ces vingt dernières années, des dizaines de ces villes ont pourtant cessé les corridas, comme par exemple Floirac, Fréjus, le Grau-du-Roi, Rodilhan et plus récemment Carcassonne.

Signez ces actions pour que la corrida appartienne bientôt aux livres d’histoire :

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