Tous les articles par Caroline C

Victoire : AirBnB arrête de promouvoir des balades touristiques incluant des animaux

Après avoir été contacté par PETA États-Unis, AirBnB, géant de la location saisonnière, a accepté d’arrêter de promouvoir et de vendre des tickets pour des balades exploitant des animaux près de la pyramide de Khéops.

La vie des animaux près des pyramides

Les révélations de PETA ont montré que les dromadaires et les chevaux utilisés pour des promenades touristiques sur des sites populaires en Égypte sont battus, frappés aux testicules et privés de repos, tandis que les animaux morts sont jetés comme des ordures. Malgré ses promesses, le gouvernement égyptien n’a presque rien fait pour mettre fin à la maltraitance des animaux sur des sites touristiques populaires.

Les dromadaires considérés comme trop vieux, trop blessés ou trop malades pour être utiles sont souvent conduits à l’abattoir, où ils sont égorgés alors qu’ils sont encore conscients. Un dromadaire donnait toujours des coup de pattes jusqu’à quatre minutes après avoir été égorgé par un employé.

Voyez l’individu

Les chevaux vivent en troupeau, être contraints de vivre seuls peut être une source de stress pour eux, et ils peuvent être en deuil. Les dromadaires se saluent en se soufflant de l’air sur le visage. Ces deux espèces ressentent la douleur, la joie, la solitude et le bonheur tout comme les humains – ce ne sont pas des « taxis » ou des accessoires pour les photos de touristes, et ils méritent une vie dénuée de souffrance.

Les tour-opérateurs

D’innombrables tour-opérateurs refusent les balades à dos de dromadaire et encouragent les touristes à profiter des pyramides majestueuses sans soutenir la cruauté envers les animaux.

AirBnB rejoint des dizaines d’entreprises qui ne promeuvent et ne vendent pas de balades impliquant des animaux près des pyramides.

Ce que vous pouvez faire

Les touristes qui paient pour être tirés par des chevaux ou promenés à dos de dromadaire permettent à ces commerces de rester en activité. Si vous prévoyez un voyage en Égypte, laissez les animaux en dehors de cela.

Cela fait des années que le ministère du Tourisme et des Antiquités promet d’opérer des changements pour les animaux qui souffrent près des pyramides. Pourtant les chevaux et les dromadaires souffrent toujours. Demandez aux autorités égyptiennes d’interdire l’utilisation des chevaux et des dromadaires pour le divertissement du public près des pyramides et sur d’autres sites touristiques.

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Lyon – Une dégustation choc à base de « lait… de chienne » pour la Saint-Valentin

À l’occasion de la fête des amoureux, les promeneurs du centre-ville de Lyon ont été invités à goûter en exclusivité de nouveaux chocolats pour le moins surprenants : des ballotins de truffes confectionnées à partir de « lait… de chienne ».

Dans la vidéo du prank de PETA capturant les réactions des passants, on observe leur choc, leur dégoût et leur indignation lorsqu’ils apprennent qu’ils viennent de consommer des friandises à base de secrétions mammaires canines. Mais la surprise ne s’arrête pas là : il s’agissait en réalité d’un canular orchestré par PETA, et les chocolats étaient évidemment végans.

Michael Augustin

Derrière cette mise en scène et sa startup fictive baptisée La Bonne Truffe, l’association soulève une question dérangeante : « Lait de vache, de brebis ou de chienne… quelle différence ? » . Une manière percutante de dénoncer l’hypocrisie spéciste qui régit la consommation des produits d’origine animale.

Michael Augustin

Lait de vache, de brebis ou de chienne… quelle différence ?

Chaque année, 30 millions de vaches sont tuées dans les abattoirs.

Dans l’industrie laitière, les vaches sont inséminées de force et à répétition et se font retirer leur veau peu après la naissance. Cette séparation est déchirante, tant pour la mère que pour son petit. Lorsqu’elles ne produisent plus suffisamment de lait, elles sont envoyées à l’abattoir, souvent dès l’âge de 4 ou 5 ans, alors qu’elles pourraient vivre jusqu’à 20 ans dans des conditions naturelles.

Les vaches sont des êtres sensibles et intelligents. Elles nouent des liens forts avec leurs congénères, sont capables de résoudre des problèmes et font preuve d’une grande sociabilité. Tout comme les chiens avec qui nous partageons nos foyers, elles peuvent se montrer joueuses et affectueuses.

Dites non au spécisme, oui à la bienveillance !

Ce canulard de l’association montre à quel point il est répugnant de consommer le lait d’un autre mammifère, quelle que soit son espèce. Les humains sont la seule espèce sur la planète à boire le lait d’un autre animal, et ce même à l’âge adulte. Pourquoi est-ce que boire du lait de vache serait moins répugnant que consommer du lait de chienne ?

Nous appelons les gens à étendre leur compassion à tous les animaux en cette Saint-Valentin – vaches, chiens, poulets, chats, cochons, ils méritent tous d’être respectés, et de vivre sans être exploités.

Opter pour les laits végétaux est aujourd’hui plus simple que jamais

Les boissons véganes fabriquées à partir de soja, de noisettes, de céréales et d’autres plantes sont délicieuses, et contrairement au lait de vache, elles ne contiennent pas de cholestérol contribuant à boucher vos artères. En outre, elles sont de plus en plus commercialisées par les supermarchés partout en France. Découvrez notre sélection de laits végétaux et d’autres « laitages » végans :

Vous souhaitez en faire encore plus ?

Partagez cette vidéo avec vos amis, votre famille et vos abonnés sur les réseaux sociaux.

Parlez autour de vous des souffrances infligées aux vaches par l’industrie des produits laitiers. Et si vous cherchez d’autres moyens de venir en aide aux animaux, demandez sans plus attendre notre « Guide du végan en herbe », qui contient de nombreuses recettes et astuces qui vous permettront de révolutionner votre mode de vie :

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Balades en chiens de traîneaux : cinq choses à savoir

Si vous prévoyez vos vacances d’hiver, évitez les excursions et les activités avec des chiens de traîneaux. Cette pratique cruelle soumet les chiens à des conditions difficiles dans lesquelles ils risquent de se blesser et sont poussés au-delà de leurs limites physiques. Des milliers de chiens utilisés pour des « balades » en traîneau dans les Alpes, en Scandinavie, en Alaska, au Canada et ailleurs endurent une vie misérable.

Voici cinq raisons de ne jamais participer à une balade en chiens de traîneaux :

Les chiens subissent blessures, stress et privation

Les chiens se blessent régulièrement lorsqu’ils tirent des traîneaux de touristes sur des terrains irréguliers. Les canidés utilisés étant souvent jeunes et en pleine croissance, cela présente de graves risques pour leurs ligaments, leurs tendons et leurs articulations. Être étroitement attachés au traîneau et bénéficier d’un espace limité pour bouger peut provoquer de la frustration chez les chiens qui ne peuvent pas se distancer des autres. Cela peut entraîner bagarres et morsures, et donc d’autres blessures (parfois graves).

Ces images montrent des chiens enchaînés et exploités dans des élevages de chiens de traîneau en France et en Norvège. Ils dorment dans des cabanes en bois souvent mal isolées, et sont privés de tout semblant de vie normale. Lorsque les températures sont inférieures à zéro, leurs abreuvoirs sont souvent gelés.

Les balades en chiens de traîneaux soutiennent la cruelle industrie des courses

L’industrie des courses de chiens de traîneaux soumet les chiens à des courses exténuantes sur des centaines de kilomètres. Lorsqu’ils ne sont pas forcés de courir, les chiens sont souvent utilisés pour promener les touristes.

La course la plus cruelle au monde est l’Iditarod, en Alaska, où les chiens sont poussés à bout pour parcourir près de 1 600 kilomètres en moins de deux semaines. Jusqu’à la moitié des chiens au départ de l’Iditarod ne passeront jamais la ligne d’arrivée pour cause de blessure, de maladie ou d’épuisement, et jusqu’à 80 % de ceux qui la terminent souffrent de lésions pulmonaires permanentes. Leurs pattes sont meurtries, coupées ou à vif à cause de la friction à cause du terrain glacé et piégeux, et de nombreux chiens déchirent des muscles, subissent des fractures dues au stress, développent une pneumonie, souffrent de diarrhée ou sont atteints de virus ou d’ulcères hémorragiques. L’Iditarod a tué plus de 150 chiens depuis sa création en 1973.

Les chiens sont laissés dehors dans des conditions rudes

Lorsqu’ils ne font pas office de machines à sous, les chiens dans cette industrie mènent souvent une existence morne. Ils peuvent passer des mois au bout d’une courte chaîne, privés d’exercice et de la compagnie d’humains ou d’autres chiens. Sans la possibilité de jouer ou de socialiser, ils développent parfois des comportements stéréotypés et névrotiques, que ce soit le fait d’aboyer en permanence, de hurler ou de tourner en rond. Aboyer constamment n’est pas normal pour un chien : c’est un symptôme de frustration et de désespoir.

Une enquête menée par PETA États-Unis dans des chenils gérés par d’anciens champions de l’Iditarod révèle des souffrances endémiques et des conditions de vie atroces : les chiens sont enchaînés à l’extérieur et ont des caisses en bois ou des barils en plastique délabrés pour tout abri. D’autres enquêtes sur des exploitations de chiens de traîneaux ont révélé que des canidés blessés se voyaient refuser des soins vétérinaires et que certains étaient morts de complications dues à l’ingestion de pierres. Des centaines de chiens jugés inaptes à la course ont été matraqués ou tués par balle.

Au Tromsø Wilderness Centre, en Norvège, les chiens sont enchaînés en plein air et n’ont qu’une petite cabane en bois pour s’abriter. Tout comme les chenils en Alaska, le centre ressemble à un camp de prisonniers en plein air.

Les chiens méritent mieux

Les chiens qui tirent les traîneaux ne sont pas différents de ceux avec lesquels nous partageons notre foyer. Ils ont besoin d’exercice, de jeux, d’enrichissement et de compagnie et veulent dormir dans un lit chaud et moelleux à la fin de la journée. Les chiens ne nous appartiennent pas et nous n’avons pas à les exploiter à des fins lucratives. Si vous avez déjà passé du temps avec un chien vous savez qu’il s’agit d’animaux sensibles dotés de leur propre personnalité. Ce sont des compagnons sociaux et affectueux, anxieux lorsqu’ils sont isolés et insuffisamment socialisés. Ils n’endurent jamais volontairement des épreuves et ne se dépassent pas jusqu’à se blesser, voire jusqu’à la mort. Si vous aimez les chiens, tenez-vous à l’écart des cruelles courses et balades en chiens de traîneaux.

Vous pouvez pratiquer des activités respectueuses des animaux dans la neige

Souvent, les touristes ne se rendent pas compte des dommages que leurs choix financiers peuvent causer. Mais une fois le prix payé, il est trop tard. Si vous vous rendez dans un de ces lieux hivernaux féériques, ignorez donc toutes les activités impliquant des animaux qui y sont promues.

Au lieu de faire du chien de traîneau, explorez les paysages locaux en faisant de la randonnée, de la motoneige, du ski ou du kayak. N’allez observer des baleines ou des animaux sauvages que si vous choisissez une structure avec une bonne réputation qui observera les animaux à distance et évitera au maximum de les perturber. Évitez toute entreprise proposant des interactions avec les animaux.

Les animaux ont besoin de vous

Les animaux méritent mieux que faire office de taxis ou d’accessoires touristiques. Ne réservez jamais une excursion en chiens de traîneaux ou toute autre activité où les animaux sont exploités à des fins touristiques et partagez cet article avec vos amis. Prenez également un moment pour agir en faveur des animaux maltraités pour le tourisme :

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Le gouvernement refuse d’envoyer Wikie et Keijo dans un sanctuaire

Le Ministère de la transition écologique rejette la proposition d’accueillir les deux orques survivantes du Marineland dans un sanctuaire en Nouvelle-Écosse.

Il est déplorable que le gouvernement néglige ses responsabilités envers Wikie et Keijo, les deux dernières orques survivantes du Marineland d’Antibes, en refusant leur transfert vers un sanctuaire adapté à leurs besoins. Ces orques risquent d’être envoyées au Loro Parque de Tenerife, un delphinarium où quatre orques sont mortes depuis 2021, dont Keto, décédée en novembre dernier après près de trente ans en captivité à se morfondre.

Alors que le sanctuaire prévoyait de prendre soin de Wikie et Keijo, le Loro Parque leur fera faire des tours et les soumettra à la reproduction, une pratique pourtant interdite en France. Notre gouvernement a la responsabilité de faire en sorte que Wikie et Keijo trouvent place dans un sanctuaire, comme le prévoyaient les annonces de Barbara Pompili en 2020, afin qu’elles puissent enfin bénéficier d’un semblant de la qualité de vie qu’elles méritent après toute une vie d’exploitation.

La France doit offrir à Wikie et Keijo un sanctuaire

Depuis la sortie du documentaire Blackfish, le public est plus conscient que jamais de la souffrance des orques et des dauphins dans les parcs marins. Cette prise de conscience a conduit de nombreuses personnes à boycotter ces établissements, entraînant une baisse significative de leurs revenus à travers le monde.

À l’état sauvage, les orques développent des liens sociaux forts, coopèrent pour trouver de la nourriture et parcourent jusqu’à 140 km par jour dans l’océan. En captivité, elles sont confinées dans des bassins exigus, souvent en compagnie de congénères incompatibles. Ce mode de vie artificiel entraîne de graves souffrances physiques et psychologiques, réduisant drastiquement leur espérance de vie : alors que les mâles peuvent vivre entre 60 et 70 ans et les femelles entre 80 et 90 ans dans la nature, leur durée de vie en captivité est bien plus courte.

Bien que les dommages infligés aux animaux par les parcs marins ne puissent être effacés, il est encore possible d’améliorer leurs conditions de vie. Le transfert des orques et dauphins captifs vers des sanctuaires côtiers permettrait de leur offrir un environnement plus proche de leur habitat naturel et de leur rendre une part de la liberté qui leur a été injustement retirée.

Jusqu’à ce que tous les orques et les dauphins nagent librement, PETA continuera à faire campagne contre les delphinariums et toute autre structure qui enferme des animaux sauvages pour le divertissement.

Aidez-nous à faire monter la pression pour les parcs marins qui maltraitent les animaux en demandant à TUI d’arrêter de vendre des billets pour ces établissements cruels :

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Nouvelles images : des pythons écorchés pour des accessoires en peau de serpent

Ces pratiques sont courantes dans l’industrie de la peau de python. De nouvelles images de PETA Asie montrent la souffrance des serpents lorsque les employés les découpent pour leur peau.

Les pythons sont des êtres complexes qui aiment se prélasser au soleil pour profiter de la chaleur, mais les serpents condamnés à mourir pour des sacs à main et des accessoires de marques comme Louis Vuitton et Gucci sont confinés dans de minuscules boîtes insalubres avant qu’on les frappe avec un marteau, qu’on leur transperce la tête avec un clou et qu’on les écorche.

Comme le montre la vidéo, certains se débattent, impuissants, tandis que leur peau est arrachée, et de nombreux pythons sont même écorchés vifs.

L’année du serpent

L’année du serpent commence le 29 janvier. Faisons également de 2025 une année positive pour les serpents.

Pendant la période précédant le Nouvel An chinois (la plus active en termes de shopping), des sympathisantes et des sympathisants de PETA Asie se rassemblent devant les boutiques phares de Gucci, arborant une pancarte : « Gucci : tuer des serpents porte malheur ». Cette action s’inscrit dans le cadre de la campagne de PETA qui exhorte Gucci à cesser de vendre des accessoires fabriqués à partir de la peau de pythons tourmentés et invite les consommatrices et consommateurs à ne pas acheter de peau de reptiles pendant la période du Nouvel An chinois et après.


Les enquêtes de PETA Asie ont révélé que les employés de deux élevage de pythons qui fournissent des peaux à une tannerie appartenant à Kering (propriétaire de Gucci et d’Yves Saint Laurent) immobilisent les animaux qui se débattent en les tenant par le cou avant de les frapper à la tête avec un marteau et de les empaler sur des crochets alors qu’ils bougent encore.

Les serpents sont des animaux remarquables, souvent timides et généralement passifs. Ils sentent avec leur langue et peuvent même déterminer de quelle direction provient une odeur. Ils sont intelligents et sensibles. Et nous savons que les serpents ressentent la douleur de la même manière que les humains. Ne soutenez pas leur souffrance. N’achetez et ne portez jamais d’accessoires fabriqués à partir de la peau d’un animal.

Ensemble, demandons à Gucci d’arrêter de vendre la peau des pythons et demandons aux acheteuses et aux acheteurs de célébrer l’année du serpent en laissant les reptiles en paix.

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À voir : ce dessin animé vous fera voir le saucisson d’un nouvel œil

La prochaine fois que quelqu’un vous dit « non mais moi je ne pourrais pas arrêter le saucisson… », montrez-lui cette vidéo. Un père rayonnant et ses petites filles sont sur le point d’attaquer leurs assiettes débordantes de viande lorsque les enfants demandent à leur père quel est son travail. Il se lance dans une chanson entraînante sur son emploi d’éleveur de cochon, mais elle devient vite sinistre. Tout n’est que danse et couleurs chatoyantes jusqu’à ce que la vidéo révèle l’atroce réalité : ce qu’implique réellement la transformation de doux cochons en saucisses, bacon et jambon.

Nous n’en dirons pas plus, regardez ça par vous-même :

PETA a publié cette vidéo en animation rubber hose (qui rappelle des dessins animés populaires tels que Popeye) en collaboration avec Grey, une agence de publicité londonienne très populaire. Et c’est Melopheelo, le co-fondateur du groupe de rap les Sages Poètes de la Rue, qui interprète cette chanson entraînante et satirique pour sa version française.


Les cochons aiment la musique

Les cochons sont des individus sensibles et intelligents qui aiment la musique et jouer, tout comme les humains. Les truies chantent même pour leurs petits.

Tout comme nous, ils veulent vivre et non être transformés en bacon.


Les fermes de cochons « heureux » ? Un mythe

La majorité des vingt millions de cochons tués pour leur chair chaque année sont entassés dans des enclos en béton sans aménagement et privés d’air frais et de soleil.

Les éleveurs font régulièrement subir des mutilations douloureuses aux animaux, par exemple en leur coupant la queue et en leur limant les dents, généralement sans antidouleurs.

Dans les abattoirs, les animaux sont hissés par les pattes arrière et égorgés, souvent sans étourdissement efficace préalable.




Manger des saucisses provoquerait des problèmes de santé

Des études montrent que même une consommation modérée de viande industrielle augmente les risques de cancer de l’intestin. À l’inverse, une alimentation végane réduit les risques de maladies cardiaques, de certains types de cancer, de diabète et d’attaque cérébrale.

La production de viande a un coût pour la planète

Le programme pour l’environnement de l’ONU a qualifié la production de viande de « problème le plus urgent » au monde en raison des énormes quantités de gaz à effet de serre produites par l’industrie et contribuant à la catastrophe climatique.

Les régimes végans, en revanche, génèrent 75 % d’émissions de gaz à effet de serre en moins que les régimes contenant plus de 100 grammes de viande par jour.


Aidez vos proches à ouvrir les yeux sur la souffrance des cochons

Vous pouvez aider les cochons rien qu’en partageant cette vidéo.

Vous aimez les cochons et les dessins animés ? Cette vidéo est pour vous !

Optez pour le véganisme pour les cochons

La meilleure façon d’épargner aux cochons souffrance et mort douloureuse est d’adopter une alimentation végane. Procurez-vous notre « Guide du végan en herbe » gratuit pour en savoir plus :

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La légende du rock Joan Jett demande au public de respecter TOUTES les femmes

À l’heure où les discussions sur les droits des femmes, l’égalité salariale, l’accès à l’avortement et bien d’autres sujets occupent une place centrale dans l’actualité, la légende de la musique Joan Jett lance un appel à dépasser les frontières des espèces et à faire preuve de solidarité envers toutes les femelles, qu’elles soient humaines ou animales. Dans une vidéo percutante réalisée par PETA, qu’elle narre, la star du rock – végane de longue date – se transforme en images de femmes humaines et d’autres espèces, soulignant ainsi l’unité fondamentale qui les lie. « Au fond, nous sommes toutes sœurs. STOP au spécisme », déclare-t-elle avec conviction.

Cette nouvelle campagne invite chacun à remettre en question les pratiques de l’industrie animale, qui exploite les systèmes reproductifs des vaches, des poules et d’autres animaux. À travers son engagement, Joan Jett incite son public à reconnaître l’importance de l’égalité non seulement entre les êtres humains, mais également envers tous les êtres-vivants.

« Nous sommes des filles, des sœurs et des mères, » déclare la chanteuse dans la vidéo. « Et si l’une d’entre nous était forcée de se reproduire, si son lait maternel ou ses œufs lui étaient dérobés pour être vendus, ou si ses enfants lui étaient volés pour subir des expérimentations, nous nous sentirions toutes violées et en colère, cela nous briserait le cœur. »

L’horrible exploitation des femelles dans l’industrie de la viande, du lait et des œufs.

Les femelles d’autres espèces ressentent la douleur et la peur avec autant d’intensité que les femmes humaines. Elles sont pourtant communément exploitées.

Dans l’industrie de la viande, les truies passent l’intégralité de leur vie adulte confinées dans des cages en métal bondées, et une enquête de PETA États-Unis dans un élevage de cochons a révélé que les porcelets meurent lentement hors de portée de leurs mères désemparées.

Dans l’industrie laitière, les vaches sont régulièrement inséminées de force (violées) – les employés enfoncent un bras dans le rectum de la vache et une tige métallique pour introduire le sperme dans son vagin – et leurs nouveau-nés leur sont arrachés dans la journée qui suit la naissance.

Dans l’industrie des œufs, les poules sont généralement confinées dans moins de 0,1 mètre carré, une partie de leur bec est coupé et elles sont envoyées à l’abattoir lorsque leur corps lâche.

« Posez-vous la question, » conclu Joan Jett. « Est-ce que je souhaiterais ça à ma mère, à ma sœur ou à moi-même ? »

Rejoignez Joan Jett et aidez-nous à mettre fin à cette cruauté

Joan Jett rejoint la liste de plus en plus longue de célébrités (y compris Stomy Bugsy et RZA de Wu-Tang Clan) qui se sont alliées aux entités PETA pour créer des vidéos dans lesquelles leurs visages se transforment en différents animaux pour promouvoir la compassion avec chaque être vivant.

Chaque animal est un individu. Vous pouvez défendre tous les animaux sensibles utilisés et tués pour leur chair, leurs œufs et leur lait en devenant simplement végan. Commandez dès aujourd’hui un kit de démarrage végan gratuit :

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Votre café est-il le produit d’une grande cruauté ? Le kopi luwak dénoncé

Encore une enquête de PETA Asie sur la cruelle industrie du kopi luwak qui dénonce la souffrance des civettes. Malgré le tollé international suscité par les enquêtes menées pendant une décennie, rien n’a changé. Le kopi luwak (également appelé café de civette ou café de crottes de chat) est produit à partir de grains excrétés par des civettes. Il est vendu à l’international, malgré les conditions atroces dans lesquelles ces animaux sont détenus.




La dernière enquête de PETA Asie chez des producteurs à Java, en Indonésie, a découvert des civettes malades, blessées et mourantes qui souffraient dans de petites cages crasseuses au sol jonché de leurs excréments. Certains animaux mal nourris présentaient des plaies ouvertes non traitées et des infestations parasitaires et étaient trop malades pour se déplacer. Un enquêteur de PETA Asie a filmé une civette gravement malade qui était trop faible pour se lever et restait immobile dans sa cage sordide. L’enquêteur a prévenu producteur (qui a dit vouloir la « jeter ») puis a précipité l’animal dans une clinique vétérinaire, mais il n’a pas pu être sauvé.

Des binturongs détenus illégalement et exploités pour du café

La dernière enquête de PETA Asie a également révélé que l’un des producteurs de kopi luwak donnait des cerises de café à des binturongs (un animal classé « vulnérable » sur la liste rouge mondiale des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature) détenus illégalement en cage et que les grains excrétés étaient étiquetés frauduleusement puis vendus sous le nom de « café de civette ».


Une décennie passée à dénoncer la cruauté pour du kopi luwak – et la maltraitance continue

De nombreuses enquêtes de PETA Asie ont montré à maintes reprises les ravages causés par le confinement permanent sur les civettes palmistes hermaphrodites sensibles. Dans les élevages, on les voit généralement faire les cent pas et tourner en rond dans leurs minuscules cages sans aménagements, souvent grillagées. Ce sont les signes d’une détresse psychologique extrême causée par l’angoisse et par la frustration dues à l’emprisonnement.

L’animal stressé et terrifié fait les cent pas et tourne en rond, cherchant désespérément à s’échapper de la cellule de prison insalubre dans laquelle il est forcé de manger des quantités anormales de baies de café pour que ses excréments puissent être vendus sous le nom de kopi luwak ou « café de crottes de chat ». Après avoir été arrachée à sa nature natale et contrainte d’endurer un contact permanent avec les humains qu’elle craint naturellement, cette civette a été poussée à la folie. Il s’agit de l’un des nombreux animaux en souffrance que les enquêteurs ont filmés au cours de leurs multiples enquêtes chez les producteurs de kopi luwak en Indonésie, premier producteur mondial de café de civette.

Le café « sauvage » est un mensonge éhonté

Depuis la publication des multiples enquêtes menées par PETA Asie sur cette industrie, de nombreuses entreprises ont pris la décision de retirer le kopi luwak de leurs rayons et de couper les liens avec cette industrie cruelle. D’autres, y compris des distributeurs au Japon, l’un des marchés principaux pour le kopi luwak, ainsi que des détaillants à Taïwan et au Royaume-Uni, choisissent de continuer à tirer profit de la misère des animaux pour un produit fantaisiste, bien que nous les ayons informés de la cruauté omniprésente dans cette industrie.

Clients et détaillants sont dupés par des producteurs qui étiquettent délibérément les grains provenant de civettes captives comme étant d’origine « sauvage ». Depuis plus d’une décennie, les enquêteurs de PETA Asie sont confrontés à tous les stratagèmes utilisés par l’industrie du kopi luwak pour tromper le public. Un employé a même déclaré à un enquêteur que « nous l’étiquetons comme « sauvage » même si les animaux sont désormais en cages, car ils ont été attrapés dans la nature. » D’autres producteurs ont ouvertement admis que récolter suffisamment d’excréments de civettes sauvages serait presque impossible. Pour dissimuler cette situation, certains producteurs prélèvent une petite partie des grains de civettes en liberté, les mélangent à des grains provenant d’animaux en cage et étiquettent le produit comme étant d’origine « sauvage ». D’autres ont éhontément déclaré aux enquêteurs qu’ils étiquetaient le café d’animaux en cage comme étant d’origine « sauvage ». L’industrie obtient sciemment de fausses certifications ou du café mal étiqueté provenant d’animaux captifs, qui peut ensuite être exporté dans le monde entier et vendu comme étant d’origine « sauvage ».




La prochaine pandémie se prépare

Les animaux stressés et enfermés en cage dans leurs propres excréments ont un système immunitaire affaibli, ce qui fait de ces structures un vivier pour les zoonoses. Le SRAS, dont le taux de létalité chez l’humain est estimé à environ 15 %, a été transmis aux humains par les civettes. Les scientifiques ont également identifié les civettes comme « hôtes intermédiaires » potentiels pour le COVID-19 : elles ont pu permettre au virus de muter et de passer de la chauve-souris à l’humain.

Les civettes suffisamment « chanceuses » pour survivre jusqu’à ne plus être utilisées à l’industrie du kopi luwak sont parfois vendues sur des marchés d’animaux vivants, comme celui d’où le nouveau coronavirus serait originaire. Cela les met en contact direct avec les humains et crée l’opportunité parfaite pour que le SRAS ou un autre virus mute et passe d’un hôte à l’autre.

Il est temps d’en finir

Le kopi luwak est une honte, et non un mets délicat. Peu importe le pays dans lequel vous vous trouvez et ce que l’on vous garantit, n’en achetez ou n’en buvez jamais.

Demandez à ces entreprises d’arrêter de financer la cruauté envers les civettes en mettant fin à la vente de kopi luwak dès aujourd’hui.

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Michelin s’engage à ne plus faire la promotion des delphinariums dans ses guides

C’est une excellente nouvelle pour entamer l’année : Michelin, célèbre éditeur de guides de voyages, a pris la décision louable d’exclure les delphinariums et autres spectacles impliquant des animaux marins en captivité de ses publications. Cet engagement auprès de PETA lui vaut de recevoir un « Prix de l’entreprise respectueuse des animaux » de l’association. La nouvelle politique des guides Michelin est clairement dans l’air du temps, coïncidant en effet avec la fermeture définitive cette semaine du parc marin polémique le Marineland d’Antibes.

« Après nos récents échanges, une analyse rigoureuse et une consultation avec des experts en éthique animale, nous avons pris la décision d’exclure de nos recommandations les delphinariums et autres spectacles impliquant des animaux marins en captivité. Nous estimons que ces pratiques ne reflètent plus les valeurs de respect et de responsabilité qui guident nos publications. » confirme la directrice de Michelin, auprès de PETA.

Une prise de conscience salvatrice

La présence de lieux exploitant des animaux marins en captivité dans les guides Michelin a choqué le grand public qui est de plus en plus conscient de la souffrance des animaux dans ces parcs. C’est ainsi que le delphinarium d’Harderwijk notamment ne fait plus partie de la sélection 2025 du guide Pays-Bas.

Contrairement aux voyageurs, les animaux exploités pour le divertissement n’ont jamais l’occasion de se détendre, ni de partager des moments privilégiés avec leurs proches. PETA célèbre l’engagement du groupe et appelle tous les autres guides de voyage à suivre l’exemple de Michelin et à explorer les manières de promouvoir un tourisme responsable et respectueux en ne soutenant plus les activités ni lieux qui exploitent les animaux, tels que les parcs marins.

Une vie entière de souffrance

Dans leur milieu naturel, les orques et les dauphins nouent des relations proches avec leurs familles et parcourent de vastes distances dans l’océan chaque jour. En revanche, dans les delphinariums tels que SeaWorld, Loro Parque ou encore Planète sauvage, ces animaux vivent confinés dans de minuscules bassins où ils souffrent de détresse psychologique et de maladies liées à leurs conditions de détention. Ils ne peuvent pas se livrer aux comportements naturels et importants pour eux et meurent bien en deçà de leur espérance de vie dans l’océan.

Dans les parcs marins, les animaux sont non seulement enfermés dans des bassins sans aucun aménagement, nourris avec des aliments de mauvaise qualité et contraints de subir des entraînements sans fin, mais ils sont aussi souvent forcés de partager leur bassin avec des congénères avec lesquels ils sont incompatibles, ce qui entraîne attaques, blessures et même décès.

Partout dans le monde, le public demande la fin de la captivité des animaux marins, et la France ne fait pas exception. Selon un sondage de 2018, 70 % de la population française est opposée à la captivité des cétacés pour le divertissement des humains.

Vous pouvez agir maintenant

Michelin rejoint une longue liste d’entreprises dont le Club Med, TripAdvisor, Booking.com et Virgin Holidays, qui ont cessé de promouvoir les parcs marins. L’association envoie un certificat encadré à Michelin ainsi que des chocolats végans pour saluer cette décision éthique.

Si vous voyez une agence de voyage faire la promotion de billets pour Planète Sauvage, SeaWorld, Loro Parque ou d’autres parcs marins, écrivez-leur pour leur demander de prendre exemple sur Vente Privée, STA Travel, Virgin America et bien d’autres et d’arrêter de faire de la publicité à ces entreprises cruelles.

Merci de ne visiter aucun parc aquatique, aquarium ou toute autre attraction touristique qui exploite les animaux à des fins commerciales. Au lieu de ça, vous pouvez vous renseigner sur ces mammifères marins majestueux et fascinants en regardant des documentaires sur leur manière de vivre dans leur habitat naturel.

Aidez-nous à faire monter la pression pour les parcs marins qui maltraitent les animaux en demandant à TUI d’arrêter de vendre des billets pour ces établissements cruels.

L’article Michelin s’engage à ne plus faire la promotion des delphinariums dans ses guides est apparu en premier sur PETA France.

Première enquête mondiale sur la laine en Nouvelle-Zélande : des employés qui frappent, donnent des coups de pied et tuent des moutons

De 2023 à la fin de 2024, PETA Asie est entré dans 11 élevages et hangars de tonte en Nouvelle-Zélande qui produisent de la laine certifiée ZQ, une fausse certification développée et appartenant à The New Zealand Merino Company. La société s’autoproclame « la première marque de laine éthique au monde » et affirme que « les moutons produisant la laine sont traités de manière humaine » – mais comme le révèle cette enquête, la laine « éthique » ou « humaine » n’existe pas.

Regardez les images, puis agissez pour les moutons en demandant à Allbirds, Fjällräven, Helly Hansen, icebreaker, Smartwool et Loro Piana (appartenant à LVMH) de cesser de se cacher derrière des normes ZQ dénuées de sens et de mettre fin à leur utilisation de la laine.

Voici ce que les enquêteurs ont découvert :

  • Des tondeurs qui donnaient des coups de pied, frappaient et jetaient des moutons sur des rampes. Un tondeur qui frappait la tête d’un mouton à trois reprises contre une planche en bois solide.
  • Des employés en train de fouetter, de plaquer et de frapper des moutons avec différents objets, y compris la pointe métallique d’un bâton de ski.
  • Plusieurs moutons laissés avec des plaies béantes grossièrement recousues, tout cela sans antidouleur. Un employé vu en train de rire d’un mouton alors que du sang coulait sur le visage de l’animal, blessé à l’œil.
  • Des moutons poussés dans des enclos particulièrement bondés et tellement entassés qu’une brebis a été retrouvée asphyxiée. Sa laine a quand même été tondue pour être mise en vente.
  • Un éleveur qui a égorgé une brebis encore consciente. Quelques jours avant, celle-ci peinait à rester debout. Son corps a été jeté dans une fosse à ordures. Les enquêteurs trouvaient fréquemment des moutons morts dans les élevages.
  • Des éleveurs qui utilisaient des chiens qui attaquaient parfois les moutons afin de les contrôler et les terroriser. Et même ces chiens n’ont pas échappés à la maltraitance. Un éleveur les a frappés à la tête tandis qu’un autre a piqué un chien plusieurs fois avec un bâton.


Des employés donnant des coups de pied, frappant et jetant des moutons

Les enquêteurs ont rendu compte d’employés en train de donner des coups de pied et de poing et de frapper des moutons avec différents objets, y compris la pointe métallique d’un bâton de ski. Certains employés semblaient être volontairement agressifs et riaient pendant qu’ils attrapaient les moutons et les jetaient sur le dos ou bien disaient : « Va te faire f**, c** », avant de jeter violemment leurs corps le long d’une rampe.


Des gorges tranchées et des fosses

En l’espace de deux jours, une brebis s’est effondrée plusieurs fois et un employé l’a égorgée avant de jeter son corps dans une fosse pleine de corps démembrés. Un éleveur a déclaré qu’il laisse les corps se décomposer dans le champ ou les jette dans une fosse à ordures mais qu’il pourrait être « signalé » car il avait « des animaux morts sur les lieux ». Les enquêteurs ont vu de nombreux moutons morts dans les élevages, y compris certains jetés dans des fosses à ordures.

Un employé a dit froidement que, au lieu de fournir des soins aux moutons malades ou en difficulté, « c’était plus facile » quand ils mouraient « loin des yeux, loin du cœur. »




La violente tonte des moutons

La tonte est une épreuve douloureuse et effrayante pour les moutons sensibles et attentifs. Les tondeurs sont souvent rémunérés au volume et non à l’heure, donc la rapidité avec laquelle la tonte est effectuée laisse la plupart des moutons meurtris et ensanglantés. Pourtant, l’enquêteur n’a vu personne administrer des antidouleurs, même aux moutons avec des plaies béantes.






Des moutons entassés et tellement à l’étroit qu’ils en suffoquent

Durant la mise en enclos, les employés entassent les moutons et ceux-ci sont tellement à l’étroit qu’un employé a admis que les moutons risquaient d’être étouffés. Un enquêteur a trouvé une brebis qui est morte après avoir été étouffée par ses compagnons dans l’enclos. Les employés ont quand même tondu son corps sans vie pour en prendre sa laine et l’ont mise avec celle des autres.




Les moutons ont besoin de leur laine, pas nous

Les moutons sont des animaux doux, curieux, émotionnellement complexes et très intelligents. Ils peuvent faire la distinction entre différentes expressions chez les humains et détecter les changements sur les visages des moutons anxieux. Ces animaux avenants peuvent reconnaître le visage d’au moins 50 autres moutons et peuvent se souvenir de 50 images différentes pendant deux ans.


Un autre endroit, une même souffrance

Les entités PETA ont désormais rendu publiques 15 enquêtes accablantes de plus de 150 structures de l’industrie de la laine sur quatre continents et ont révélé la souffrance endémique dans chacune d’elles. Les entreprises savent qu’en apposant des étiquettes comme « humaine », « éthique » ou « responsable » sur les produits qu’elles vendent, elles tromperont les consommateurs en leur faisant croire qu’ils achètent des produits fabriqués avec compassion alors que ce n’est pas le cas.

Portez-vous encore de la laine ? Si c’est le cas, arrêtez. Nous pouvons aider à mettre fin à leur souffrance en refusant d’acheter des produits en laine et en choisissant uniquement des matières sans origine animale, telles que l’acrylique, le bambou, le coton, le chanvre, le modal, le polyester, la rayonne, le TENCEL et la viscose.

Demandez aux marques d’abandonner la laine

Les révélations de PETA, de l’Australie à l’Angleterre, en passant par l’Argentine et les États-Unis, et maintenant la Nouvelle-Zélande, ont prouvé que la violence contre les moutons dans l’industrie de la laine est omniprésente, et nous devons tenir les entreprises responsables de soutenir une telle cruauté. Des marques comme Allbirds, Fjällräven, Helly Hansen, icebreaker, Smartwool, et Loro Piana (appartenant à LVMH) utilisent la certification ZQ pour commercialiser la laine – demandez-leurs d’arrêter de vendre de la laine dès maintenant !

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