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Après la corrida, la chasse ! Jeremstar signe un gâteau végan avec PETA pour sa fête d’Halloween

Pour sa légendaire soirée d’Halloween, l’influenceur Jeremstar a une nouvelle fois uni ses forces avec PETA pour faire passer un message fort contre la chasse. Au cœur de la fête trônait un somptueux gâteau 100% végan à faire frissonner les chasseurs, en forme de biche, aussi délicieux que symbolique.

Présenté sur une assiette frappée du logo de PETA, le dessert portait un message clair : « La chasse n’est pas un loisir, c’est un meurtre ». Un thème cher à l’influenceur, qui souhaite utiliser sa plateforme pour dénoncer toute l’horreur de cette pratique dépassée qui tâche les forêts de France de sang innocent.


« Chaque année, ma soirée d’Halloween célèbre la créativité et le fun ; cette fois, elle rappelle aussi que le divertissement ne doit jamais être un cauchemar pour les animaux », explique Jeremstar. « La chasse est un vrai domaine d’épouvante et les chasseurs sont les véritables monstres d’Halloween. Après avoir récemment rencontré un jeune sanglier orphelin, j’ai voulu dénoncer cette pratique d’un autre temps. »

PETA salue l’engagement de Jeremstar, qui fera hurler les chasseurs plus qu’un film d’épouvante. L’association est ravie qu’il fasse de cette tradition haute en couleurs une tribune pour la cause animale. Des millions d’animaux sont traqués, épuisés et massacrés chaque année pour la chasse ; il est temps d’enterrer définitivement cette pratique macabre.

Fort de plus de 2,5 millions d’abonnés sur Instagram, Jeremstar multiplie les actions aux côtés de PETA, de la lutte contre la corrida à la dénonciation de l’utilisation de peaux d’animaux sauvages dans la mode. Cette fois, son gâteau ensorcelant prouve qu’on peut faire frissonner les invités sans faire couler le sang.

La chasse : un loisir sanglant que la France doit abolir

Chaque année, la chasse au tir cause la mort d’environ 22 à 38 millions d’animaux en France, sans compter les accidents humains : 97 incidents, dont 6 mortels, ont été recensés en 2023-2024. La chasse à courre, particulièrement cruelle, est rejetée par 79% de la population, lassée de voir des meutes de chiens poursuivre des animaux jusqu’à l’épuisement avant de les déchiqueter vivants, un passe-temps morbide qu’il est grand temps d’enterrer.

Les animaux ne demandent pas grand-chose, si ce n’est de pouvoir vivre en paix. Mais à leur lutte pour survivre s’ajoutent les chasseurs, qui prennent plaisir à les traquer ou les piéger et à les tuer, même lorsqu’ils ont élu domicile loin des villes et ne gênent personne. La chasse est cruelle et inutile.


Chaque animal compte : faites le premier pas vers une vie plus éthique

PETA rappelle que chaque animal est un individu, et fidèle à sa devise, que « les animaux ne nous appartiennent pas et nous n’avons pas à les utiliser pour nos divertissements ».

Envie de passer à une alimentation plus éthique et délicieuse ? Téléchargez gratuitement le Guide du végan en herbe de PETA ! Ce guide regorge d’astuces simples, d’infos essentielles et de recettes bluffantes pour vous aider à faire la transition vers un mode de vie sans cruauté :


Informations sur le gâteau en forme de biche, et 100% végan :

Pesant 20 kilos et mesurant plus d’un mètre de long, le gâteau en forme de biche était composé d’un biscuit et d’une ganache au chocolat et fourré d’un confit de framboise, le tout recouvert d’une pâte à sucre.

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Des chevaux morts s’entassent dans un « cimetière » près du Grand Musée égyptien

PETA Asie avait déjà rendu compte de la mort de centaines de chevaux utilisés pour des promenades en Égypte, mais le nombre de corps n’a jamais été aussi élevé. Avec l’ouverture du Grand Musée égyptien le 1er novembre, un nombre sans précédent de chevaux morts est jeté juste à côté du complexe pyramidal de Gizeh.

Avant l’ouverture officielle du nouveau Grand Musée égyptien, PETA Asie a envoyé une lettre au président Abdel Fattah El-Sisi pour l’alerter sur de nouvelles images accablantes montrant des chevaux morts – utilisés pour promener des touristes à travers les sites historiques d’Égypte – entassés dans un cimetière secret, à proximité des murs du nouveau musée.

Des animaux morts ont été aperçus entourés de déchets.

Blessés, émaciés et laissés pour morts

Regardez la nouvelle vidéo : on y voit des chevaux et des dromadaires forcés de transporter des touristes près des pyramides, mourir en nombre record, beaucoup étant extrêmement amaigris et souffrant de blessures non traitées.

Ces nouvelles images ont été tournées six ans après que PETA Asie a pour la première fois révélé les conditions de vie des chevaux et des dromadaires en Égypte. Chaque jour, ces animaux sont forcés de transporter des touristes sous une chaleur écrasante, sans ombre ni suffisamment d’eau. Ils sont frappés du poing, du pied, au fouet, et battus pour les faire obéir, vivant en permanence dans la faim, l’épuisement et la souffrance.

Les chevaux sont contraints de tirer des calèches sous une chaleur torride.

Les animaux émaciés en sont réduits à fouiller les déchets dans une tentative désespérée de trouver de la nourriture. Ils sont privés de soins vétérinaires et peuvent passer toute leur vie dans une agonie constante à cause de leurs blessures. Lorsqu’ils sont trop vieux, malades ou blessés pour être rentables, ils sont laissés pour morts et certains dromadaires sont envoyés à l’abattoir.

Une réalité tenue secrète derrière les sites touristiques

Au lieu de mettre fin à cette maltraitance honteuse, la police et les autorités gouvernementales coopèrent ouvertement avec les dresseurs pour intimider les visiteurs inquiets sur les sites touristiques. Dans un cas, la police et un représentant du ministère du Tourisme et des Antiquités ont détenu un visiteur du parc qui prenait des photos près des pyramides et ont exigé qu’il efface toutes les photos et vidéos des dromadaires et des chevaux, prétendant que les prendre en photo était illégal. Ils ont ensuite confisqué et effacé la carte SD du visiteur. Les chevaux étaient violemment fouettés autour d’eux, mais les autorités s’en moquaient.

Une demande urgente adressée au président égyptien

Le nouveau Grand Musée égyptien se situe à un peu plus d’un kilomètre des pyramides et du Grand Sphinx de Gizeh. Il est destiné à devenir le plus grand musée au monde consacré à une seule civilisation, avec plus de 5 000 pièces exposées. Son ouverture représente un moment majeur pour le pays. L’Égypte a aujourd’hui la possibilité d’en faire également un tournant pour les animaux, en mettant fin aux attractions touristiques cruelles qui les exploitent.

Le président égyptien doit profiter de ce moment historique pour honorer le passé du pays, mais aussi sa capacité à évoluer et à faire preuve de compassion. PETA Asie l’a appelé à consacrer une partie des bénéfices du musée à la création d’un sanctuaire permettant de reloger et de mettre à la retraite tous les chevaux et dromadaires de la région des pyramides. Cela offrirait à ces êtres sensibles et intelligents – qui ont travaillé et souffert en ce lieu – la possibilité de vivre enfin libres et en paix.

Les agences de voyage abandonnent les cruelles balades à dos de dromadaires

En prenant enfin les mesures nécessaires pour protéger les chevaux et les dromadaires, le gouvernement égyptien s’alignerait sur l’évolution actuelle du secteur du voyage. Après avoir été sensibilisés par les entités de PETA, plus de 50 voyagistes et agences touristiques – dont Airbnb, Marriott, British Airways Holidays, Scott Dunn et Travel Republic – ont confirmé qu’ils ne proposeraient plus de balades à dos de dromadaires aux pyramides.

Dites au président égyptien d’agir maintenant !

Les dromadaires et les chevaux ont besoin de VOTRE aide

Joignez-vous à nous pour demander aux autorités égyptiennes de se mettre au diapason de l’opinion publique et de mettre fin à cette cruauté en interdisant les promenades touristiques à cheval et à dos de dromadaire aux pyramides et dans d’autres sites touristiques.

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Victoire : Vogue dit adieu à la fourrure animale

On dirait bien que la fourrure n’est plus en vogue. Dans une grande victoire pour la mode éthique, Condé Nast – le géant des médias derrière Vogue, Vanity Fair, GQ, Allure et Glamour – a adopté une nouvelle politique interdisant la fourrure animale : le groupe ne présentera plus de fourrure animale dans ses contenus éditoriaux et publicitaires à l’internationale.

Grâce au travail de PETA et des défenseurs des animaux du monde entier, la fourrure n’est plus à la mode depuis longtemps – mais cette dernière déclaration marque un coup de grâce pour cette industrie cruelle, montrant une fois de plus que la fourrure est morte.

L’histoire de PETA avec Vogue

PETA États-Unis a lancé le mouvement contre l’industrie de la fourrure, qui exploite les animaux de manière atrocement cruelle, dans les années 90. Ce mouvement a conduit la plupart des grands créateurs à se détourner de cette matière et à la fermeture d’élevages d’animaux pour la fourrure à l’échelle mondiale.

Les campagnes emblématiques de PETA contre la cruelle industrie de la fourrure ont connu un immense succès – notamment la célèbre campagne « I’d Rather Go Naked Than Wear Fur », mettant en vedette des stars et des supermodèles comme Pamela Anderson, Christy Turlington, Gillian Anderson et P!nk – au point que d’innombrables marques ont fini par abandonner totalement la fourrure.

Bien que PETA ait recentré ses efforts sur la dénonciation de la cruauté systémique dans les filières du cuir, de la laine et des plumes, l’organisation n’a jamais relâché sa lutte pour bannir la fourrure des magazines de mode – en particulier des pages de Vogue.

Ebert Roberts

La fourrure est morte – il est temps que le cuir suive le même chemin.

Personne ne veut être tué pour sa peau. Les vaches tissent des amitiés qui durent toute leur vie et pleurent la perte de leurs proches. Les moutons sont des animaux très sociaux qui nouent entre eux des liens forts. Les alligators sont des mères dévouées qui veillent attentivement sur leurs œufs. Comme tous les animaux, ils ne veulent ni souffrir ni être tués pour devenir des manteaux, des sacs ou des chaussures – ils veulent simplement vivre.

Christian Faesecke / We Animals

Les « cuirs » végans sont chics, durables et, surtout, ils ne nuisent pas aux animaux. Les créateurs innovants d’aujourd’hui créent de magnifiques modèles à partir de feuilles d’ananas, de champignons, de pommes, de liège et d’autres matières végétales, ainsi que des cuirs véganes durables et de haute qualité, fabriqués à partir de fibres synthétiques et recyclées. Les vêtements et accessoires végans offrent une alternative plus éthique et avant-gardiste à tout ce qui est arraché du dos d’un animal.

Agissez : il est temps de bannir toutes les peaux animales

Des icônes de la mode comme Stella McCartney ont déjà prouvé que le véritable style n’a pas besoin de peaux d’animaux. Il est désormais temps pour les éditeurs de magazines de mode, les créateurs et les détaillants d’aller encore plus loin et d’étendre ces politiques aux autres peaux animales (tel que le cuir), celles-ci ne sont rien d’autre que de la fourrure sans poils, également volée à des animaux qui souffrent et meurent dans des conditions atrocement cruelles.

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Action de PETA devant l’ambassade d’Égypte pour dénoncer les promenades impliquant des animaux

Aujourd’hui, à Paris, des militantes de PETA déguisées en chevaux, ont été fouettées devant l’ambassade d’Égypte, dans le cadre de la campagne de l’association appelant le gouvernement égyptien à mettre fin à l’utilisation d’animaux pour transporter les touristes vers les pyramides de Gizeh.

En Égypte, les touristes bienveillants sont dupés et encouragés à soutenir une industrie où les animaux sont battus, traînés dans les rues et forcés à travailler jusqu’à l’épuisement. PETA appelle le gouvernement égyptien à mettre fin à cette exploitation et demande aux visiteurs et visiteuses de ne jamais faire de promenades impliquant ces animaux maltraités.

Derrière les balades touristiques en Égypte, la cruauté infligée aux chevaux

De nombreuses enquêtes menées par PETA révèlent que des chevaux sont contraints de transporter des touristes sous un soleil de plomb, sans accès suffisant à la nourriture, au repos, à l’ombre ou aux soins vétérinaires appropriés. Les dresseurs fouettent violemment les animaux épuisés pour les forcer à se lever ou à continuer à avancer. Des chevaux blessés et mal nourris ont été aperçus en train de manger des ordures pour survivre, et des cadavres ont été retrouvés abandonnés dans des décharges à l’extérieur des pyramides. PETA Asie a partagé plusieurs vidéos comme celles-ci avec le ministère égyptien du Tourisme et des Antiquités, dont une montrant une jument à Gizeh s’effondrant alors qu’elle tire une calèche et battue jusqu’à ce qu’elle parvienne à se relever.

Passez à l’action pour les chevaux et les dromadaires maltraités en Égypte

Les touristes qui paient pour faire des promenades en calèche permettent à ces commerces de rester en activité. Si vous prévoyez de visiter l’Égypte, ne participez pas à l’une de ces promenades.

Veuillez presser le ministre égyptien du Tourisme et des Antiquités de mettre fin à ces agissements en interdisant les promenades impliquant des animaux :

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Journée d’action nationale : des activistes de PETA protestent devant des magasins Printemps partout en France pour dire « STOP à la fourrure »

Journée d’action contre la cruauté : des activistes de PETA se sont rassemblés aujourd’hui devant plusieurs magasins Printemps partout en France pour exiger que l’enseigne interdise enfin la vente de fourrure.

Brandissant des pancartes proclamant « Les animaux souffrent et meurent pour la fourrure » et « Printemps : STOP à la fourrure ! », les militants et militantes ont également montré des visuels d’animaux exploités pour cette matière sanglante. Ces mobilisations s’inscrivaient dans une action nationale, avec des manifestations organisées devant les boutiques Printemps de Paris, Lyon, Lille, Marseille, Tours, Rennes, Caen et du Havre.

LYON

PARIS

LILLE

CAEN

LE HAVRE

MARSEILLE

TOURS

RENNES

Malgré les multiples sollicitations de PETA, le Printemps s’obstine à proposer dans ses rayons des marques ayant recours à la fourrure volée et arrachée à des animaux torturés. Alors que de nombreuses entreprises de mode dédaignent déjà cette matière cruelle, le Printemps demeure à la traîne. Quand est-ce que le groupe tournera enfin le dos à la fourrure animale ?

Cages, mutilations, mises à mort : la réalité sanglante de la fourrure

Des enquêtes sur l’industrie de la fourrure ont révélé que des renards, des lapins, des visons, des chinchillas, des ratons laveurs et d’autres animaux étaient confinés à l’étroit dans des cages grillagées, insalubres et sans aucun aménagement. Beaucoup souffrent de graves blessures non traitées, et le stress de la captivité pousse parfois les animaux à l’automutilation. À la fin de leur vie de calvaire, ils sont généralement tués par gazage, empoisonnement, électrocution ou noyade. Cette industrie est si cruelle qu’elle est interdite en France, et le dernier élevage de vison français a fermé ses portes en 2021.

Derrière chaque article en fourrure se cache un animal qui a souffert.


Dites NON à la fourrure : demandez au Printemps de rejoindre les enseignes responsables

Des centaines d’autres entreprises ont déjà arrêté la fourrure, y compris des grands magasins partout dans le monde comme Selfridges, Holt Renfrew, Harvey Nichols, Max Mara, Saks Fifth Avenue, David Jones, Neiman Marcus et bien d’autres. En tant qu’entreprise qui valorise son attitude pionnière, il est grand temps que le Printemps se mette à la page et PETA demande à toute personne choquée par la décision du groupe de continuer à vendre de la fourrure de l’interpeller via cette pétition.

Aidez-nous à faire pression sur l’entreprise en partageant cette page avec vos amis et votre famille et en les encourageant à signer en solidarité avec notre journée d’action :

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Saint-Étienne : une mère « orque » et son bébé confinés dans un « bassin » pour dénoncer l’agence de voyage TUI

Ce matin, une militante de PETA et sa fille, déguisées en « orques », ont été « confinées » dans un minuscule bassin devant l’agence de voyage TUI de Saint-Étienne. Leur action visait à dénoncer la vente de billets pour des parcs marins par le voyagiste, notamment le Loro Parque à Tenerife, où plusieurs orques sont mortes prématurément. Le bébé, âgé de près de six mois, incarnait symboliquement le jeune orque né fin mars dans ce delphinarium cruel, et donc d’un âge similaire.

Dans le bassin de verre où la maman et sa petite fille étaient enfermées, un boulet accroché à une chaîne symbolisait le sort des animaux marins prisonniers des delphinariums. La mère brandissait une pancarte au message fort : « TUI : je ne veux pas être séparée de mon bébé ». Autour du bassin, les passantes et passants pouvaient également lire : « Des mamans et leurs bébés emprisonnés à vie. TUI : STOP aux parcs marins ! »

Le Loro Parque cherche à tirer profit d’un bébé orque né dans un bassin semblable à une prison. Privé de tout ce qui est naturel et essentiel à son bien-être, l’animal est condamné à passer ses journées à exécuter des numéros humiliants pour divertir les touristes. Comme d’autres avant lui, il sera un jour arraché à sa mère – une séparation aussi cruelle et déchirante que celle d’une mère humaine et de son enfant – pour être troqué à un autre delphinarium. PETA appelle TUI à mettre un terme à la vente de billets pour ces parcs marins et à cesser de soutenir ces structures déplorables et cruelles.

De l’océan infini aux bassins étroits : la tragédie des orques en captivité

Dans leur habitat naturel, les orques vivent au sein de sociétés matrilinéaires complexes, où les liens familiaux sont solides et durables. Elles coopèrent pour trouver de la nourriture , communiquent grâce à des vocalisations sophistiquées et parcourent jusqu’à 240 kilomètres par jour dans l’océan. En captivité, dans les prisons aquatiques comme Loro Parque, leur réalité est tout autre : ces cétacés intelligents sont confinés à vie dans des bassins en béton étroits, dénués de toute stimulation naturelle. Incapables d’exprimer leurs comportements les plus fondamentaux, ils tournent en rond sans but, et doivent souvent cohabiter avec d’autres individus frustrés et stressés, ce qui mène fréquemment à des conflits, des blessures, et un profond stress psychologique.

TUI : il est temps d’arrêter de soutenir les parcs marins

Club Med, Michelin, Airbnb, Booking.com, easyjet holidays, Jet2holidays, Expedia, Tripadvisor et de nombreuses autres entreprises de voyage ont d’ores et déjà cessé de promouvoir et de vendre des billets pour les parcs marins. Les entités PETA mènent campagne contre TUI pour appeler l’agence de voyage à faire de même.

En France, la réglementation visant à terme à mettre fin à la détention de cétacés en captivité entrera en vigueur fin 2026, et le Marineland d’Antibes a déjà fermé ses portes, bien que le sort de ses dauphins et de ses deux orques survivantes reste très incertain.

Il est temps pour TUI de mettre fin à son partenariat avec SeaWorld ! Dites à l’agence de voyage TUI de cesser de soutenir la maltraitance d’orques et d’autres dauphins : 

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Les modifications apportées au programme Beauty Without Bunnies de PETA États-Unis

Si vous achetez des cosmétiques, des produits pour le bain, du maquillage ou des produits d’hygiènes, vous avez déjà aperçu le logo Beauty Without Bunnies. Né d’une campagne avant-gardiste lancée par PETA États-Unis dans les années 80, Beauty Without Bunnies est un programme cruelty-free répertoriant les entreprises et si elles testent leurs produits sur les animaux ou non. Son objectif est simple : permettre aux consommateurs et consommatrices d’avoir facilement accès à cette information. La liste d’entreprises certifiées a grandi exponentiellement au fil des années, passant de moins d’une dizaine à une base de données en ligne répertoriant plus de 6 300 sociétés à travers le monde.

Au cours des décennies qui ont suivi sa création, des entreprises britanniques, australiennes ou encore européennes ont rejoint le programme. Cependant, les entreprises qui vendent leurs produits dans certains pays ne pourront désormais plus être répertoriées comme cruelty-free en raison des exigences en matière de tests dans l’UE.

Les réglementations concernant les produits chimiques et les cosmétiques se contredisent

Le problème est dû à la divergence d’objectif entre la réglementation européenne sur les produits cosmétiques et le règlement concernant l’enregistrement, l’évaluation et l’autorisation des substances chimiques, ainsi que les restrictions applicables à ces substances (REACH), le programme de tests de produits chimiques industriels à grande échelle de l’UE.

Les producteurs d’ingrédients de cosmétiques sont soumis à de nombreuses exigences règlementaires, dont REACH. Si la réglementation sur les produits cosmétiques vise à assurer la sûreté des produits et ingrédients en comptant sur des méthodes de tests pertinentes pour l’humain et n’impliquant pas d’animaux, REACH mandate une liste prescrite de données, qui requièrent souvent des tests sur des animaux.

Ce décalage a mené au test d’ingrédients cosmétiques sur des animaux dans le but de se conformer à REACH, compromettant le statut « non testé sur les animaux » de ces produits et créant une faille que PETA s’efforce de combler.

Ce que cela implique pour les fabricants de cosmétiques

Le nombres d’ingrédients concernés par les mesures relatives aux essais dans le cadre de REACH est en augmentation, imposant que des milliers d’animaux soient contraints d’ingérer certaines substances pendant des semaines, voire des mois. Les entreprises risquent donc d’être impliquées dans des tests sur les animaux, et ce même si elles ne le souhaitent pas, en raison des exigences légales imposées aux fournisseurs d’ingrédients de cosmétiques.

Il devient de plus en plus difficile pour les entreprises soucieuses du bien-être animal de trouver des alternatives ou de nouvelles formules pour leurs produits cosmétiques afin d’éliminer tout ingrédient devant être testé sur des animaux dans le cadre de REACH.

Ce que cela implique pour la liste de marques non testées sur les animaux

Historiquement, pour être répertoriée comme « ne testant pas sur les animaux » par PETA États-Unis, une entreprise ou marque devait soumettre une déclaration d’assurance juridiquement contraignante confirmant qu’elle et les fournisseurs de ses ingrédients ne mènent, commandent, financent ou ne permettent aucun test sur les animaux, que ce soit pour les ingrédients, la formule ou le produit finit, et ce où que ce soit dans le monde, maintenant ou à l’avenir.

Les entreprises candidates au programme doivent également justifier du processus de test de leurs produits, des endroits où ils sont commercialisés, et du type de produits proposés et d’ingrédients utilisés. PETA États-Unis exige également de toutes les entreprises qu’elles aient des accords avec leurs fournisseurs stipulant qu’aucun test sur les animaux n’est effectué à aucun stade sur les ingrédients ou les matières premières qu’ils leur procurent.

Ce processus strict assure la protection des animaux contre les horreurs de l’expérimentation, et PETA refuse tout compromis quant à ces valeurs. Pour qu’une entreprise soit répertoriée comme « ne testant pas sur les animaux », elle ne doit en aucune manière participer à des tests douloureux et cruels sur les animaux, quelle qu’en soit la raison. Cela inclut le fait de se soumettre aux tests archaïques mandatés par REACH.

Les exigences de la liste évoluent

Au vu du caractère changeant et déconcertant de ces exigences règlementaires pour les ingrédients de produits cosmétiques et d’hygiène dans l’UE, le programme Beauty Without Bunnies de PETA États-Unis va être revu dans sa totalité.

Seules les entreprises dont les produits sont commercialisés aux États-Unis, au Canada, en Inde ou en Allemagne seront désormais répertoriées sur crueltyfree.PETA.org. Les entités PETA dans ces pays acceptent les demandes de certification cruelty-free et tiennent leur propre liste. PETA peut communiquer avec ces entreprises et s’assurer que leur engagement à supprimer les tests sur les animaux de leur chaîne d’approvisionnement reste intact.

PETA États-Unis suspend la candidature au programme Beauty Without Bunnies de toute entreprise dont les produits sont commercialisés dans le reste du monde, et ce jusqu’à ce que la lacune réglementaire du REACH concernant les cosmétiques soit comblée.

À mesure que PETA États-Unis modifie les critères d’éligibilité pour les nouvelles candidatures, les entreprises déjà présentes sur la liste Beauty Without Bunnies ne seront pas affectées et conserveront leur statut tant qu’elles respecteront les conditions du programme.

Ce que vous pouvez faire

En ce moment-même, des millions de souris, de poissons, de rats, de lapins et d’autres animaux souffrent dans des laboratoires partout en Europe et sont contraints d’ingérer et d’inhaler des produits chimiques.

Ils ont besoin de vous : aidez PETA à combler la lacune qui menace actuellement cette interdiction cruciale de tester les cosmétiques sur les animaux.

L’avenir des produits cosmétiques cruelty-free est en jeu. Signez notre pétition dès maintenant afin d’exhorter les responsables à profiter des révisions de la loi à venir pour protéger et renforcer l’interdiction de tester les cosmétiques sur les animaux.

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Bretagne : des annonceurs refusent une campagne antispéciste de PETA comparant la consommation de poisson à celle de chat

Côtes-d’Armor, Morbihan et Ille-et-Vilaine – À l’occasion de la Journée mondiale pour la fin du spécisme, PETA avait prévu de déployer en Bretagne, première région française de pêche, une campagne d’affichage choc. Mais l’entreprise publicitaire a refusé de la diffuser, alors même que des publicités montrant des animaux morts destinés à la consommation sont régulièrement visibles dans l’espace public.

L’affiche de PETA montre une poissonnière tenant un poisson mort, puis la même scène avec un chat ; le slogan interpelle : « Vous voyez une différence ? Ouvrez les yeux. Chaque animal est un individu. Devenez végan. » L’objectif : rappeler que la valeur d’une vie ne dépend pas de l’espèce à laquelle appartient un animal. La campagne visait à encourager les habitants à considérer les poissons comme les êtres intelligents et sensibles qu’ils sont et à opter pour une alimentation végane.

Les affiches avaient été acceptées par la régie publicitaire et devaient être érigées dans plusieurs villes bretonnes dont Saint-Brieuc, Saint-Grégoire, Lorient et Lanester. Mais l’entreprise a bloqué sa diffusion, sans fournir de motif valable. Ce visuel bouleverse car il met en lumière l’hypocrisie du spécisme qui régit notre vision des différentes espèces. Qu’il s’agisse d’un chat ou d’un poisson, chacun est un individu sensible, capable de ressentir la douleur, la peur et le stress.

Poissons, chats, chiens : quelle différence ?

PETA rappelle que les poissons possèdent des facultés remarquables : ils partagent des connaissances, ont une mémoire longue, développent des traditions culturelles et ressentent la douleur tout autant que les animaux qui vivent à nos côtés. Certains vont même jusqu’à séduire leur partenaire en créant de véritables œuvres d’art dans le sable des fonds marins. Pourtant, les pêcheurs les arrachent brutalement à leur milieu naturel et ils meurent étouffés, écrasés dans les filets ou éventrés sur les ponts des bateaux, alors qu’ils sont encore conscients. Chaque année, plus de poissons sont tués pour la consommation que tous les autres animaux réunis. À cela s’ajoutent près de 38 millions de tonnes d’animaux aquatiques capturés involontairement — dauphins, tortues, requins ou oiseaux marins. Remettre en cause le spécisme, c’est reconnaître le droit de tous les animaux à vivre et refuser de les réduire à de simples marchandises, en choisissant un mode de vie végan, respectueux de toutes les espèces.

Ouvrez les yeux. Chaque animal est un individu.

Nous demandons à quiconque se sent écœuré à l’idée de consommer un chat de remettre en question sa consommation de tout individu tout aussi sensible et de faire la transition vers une alimentation végane, respectueuse de tous :

Avec les alternatives véganes au poisson disponibles aujourd’hui, il est plus facile que jamais de se nourrir avec compassion et même de faire un repas savoureux et végan sans contribuer au massacre d’animaux. Montrez votre compassion pour les poissons et découvrez d’ores et déjà comment remplacer simplement le poisson par des produits végétaux dans votre alimentation :

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Le Carême, un moment idéal pour vous essayer au véganisme

Pour plus de 40 millions de chrétiens et chrétiennes en France, le Carême, qui commence mercredi des Cendres et dure environ 40 jours, est une pratique d’abnégation visant à honorer les sacrifices faits par Jésus.

Traditionnellement, le Carême est une période d’introspection que beaucoup observent en s’abstenant d’aliments tels que les œufs, la viande et le poisson. Plus récemment, cette pratique a évolué pour inclure des vices tels que les réseaux sociaux et l’alcool, mais avec plus de trois millions d’animaux terrestres tués chaque année en France et l’aggravation de la catastrophe climatique, c’est le moment parfait pour célébrer le Carême en laissant les animaux (poisson compris) hors de votre assiette !

Il s’agit de l’occasion idéale d’adopter un mode de vie qui protège les animaux de la maltraitance et diminue votre empreinte carbone et risques de cancer et d’autres maladies !

poisson animaux sensibles

Les animaux sont avec nous, et non à notre disposition

Que vous soyez chrétien(ne) ou non, la compassion est essentielle à une vie pleine de joie sur une planète en paix. Même si vous n’êtes pas pratiquant ou pratiquante, le Carême est un excellent moment pour réfléchir à la manière dont vous pouvez faire preuve de compassion et faire passer les autres en premier.

Si vous croyez en Dieu, vous savez qu’Il a créé toutes les espèces et a chargé les humains de gérer les autres animaux. Les animaux ne sont pas sur Terre pour nous divertir, nous servir de viande ou être empoisonnés dans des laboratoires, écorchés, tondus ou plumés. Ils existent en tant qu’individus qui aiment et sont aimés, fondent une famille et profitent de ce que le monde a à leur offrir.

Tout comme nous aimons profiter du soleil et comme les chiens avec qui nous partageons notre vie aiment jouer dans la mer, les dindes aiment se faire des câlins et les vaches apprécient la musique.

Le Carême a peut-être commencé comme une période de renoncement, mais il peut devenir le moment où nous cessons de priver les animaux de leur liberté.

« Toute cruauté sur une quelconque créature est contraire à la dignité humaine. »
~ Sa Sainteté le pape François, Laudatosi’

Les poissons sont des individus eux-aussi

On mange traditionnellement des poissons le vendredi pendant le Carême, mais cette pratique évolue même parmi les chefs d’Église alors que de plus en plus d’individus réalisent que les poissons sont intelligents, uniques et complexes.

Les poissons sont des individus fascinants aux relations sociales complexes. Ils ont prouvé leur capacité à passer le « test du miroir » qui témoigne d’une conscience de soi, et reconnaissent les autres individus de leur banc. Certains poissons utilisent des outils, et d’autres réalisent des œuvres d’art complexes pour séduire leur bien-aimée.

Ils souffrent peut-être en silence, mais ils souffrent. Les poissons sont malheureusement les animaux les plus exploités sur Terre : attrapés au visage avec des crochets ou étouffés dans des filets, des milliards d’entre eux sont arrachés à leur océan natal et agonisent lorsqu’ils subissent ce que les experts appellent « des accidents de décompression sous stéroïdes » avant d’être matraqués, décapités et éviscérés.

Mener une vie végane est loin d’être un sacrifice

La compréhension la plus rudimentaire du Carême est qu’il s’agit de « renoncer » à quelque chose, mais lorsque nous choisissons de ne pas manger d’animaux, nous cessons simplement de prendre ce qui ne nous a jamais appartenu !

Grâce à l’éventail de produits sans animaux disponibles, « abandonner » la viande et d’autres produits d’origine animale n’est pas une contrainte mais un plaisir. Vous pouvez toujours savourer du chocolat crémeux, du « poisson », des nuggets de « poulet », ou même du « caviar » salé, tout cela en protégeant les animaux et en contribuant à soulager la planète !

« Choisir de ne pas manger de poisson (et d’autres animaux) est le moyen le plus simple de protéger et de prendre soin de l’ensemble de la création de Dieu, une tâche à laquelle est appelée chaque chrétien et chaque chrétienne. »

~ Père Terry Martin, prêtre catholique végan et auteur 

Prêts à opter pour le véganisme, pour le Carême et après ?

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« STOP à la fourrure, sortez de l’âge de pierre » : des activistes de PETA ont manifesté devant la Cité de la mode et du design à Paris

La Fashion Week de Londres a déjà banni la fourrure – alors pourquoi son équivalent parisien tarde-t-il à suivre cette évolution ? Devant la Cité de la mode et du design, qui accueille l’Institut français de la mode et le défilé de lancement de la Paris Fashion Week, une poignée de militantes et militants déguisés en hommes et femmes des cavernes ont manifesté pour réclamer l’interdiction de la fourrure. Vêtus de « peaux animales » et munis de gourdins, ils brandissaient des pancartes proclamant : « Paris Fashion Week : STOP à la fourrure ! » et « PFW : sortez de l’âge de pierre ».

Cette action, organisée juste avant le défilé des étudiants de l’Institut Français de la Mode, visait à sensibiliser la nouvelle génération de créateurs et créatrices. En tant que futurs acteurs de l’industrie, il est essentiel qu’ils prennent conscience que la fourrure appartient au passé. Cette action appuie la demande des entités PETA aux semaines de la mode de Paris et de Milan de cesser d’autoriser la présentation d’articles en fourrure lors des défilés.

Henry Vera


La Fédération de la Haute Couture et de la Mode de Paris n’a pas encore pris en compte l’évolution de la société en adoptant une position en faveur d’un avenir sans cruauté. Il est urgent que la Fashion Week de Paris s’inspire de celle de Londres et interdise l’utilisation de peaux obtenues au prix de terribles souffrances pour des animaux tels que les renards, les lapins, les chinchillas, les coyotes, les ratons laveurs, ainsi que les chats et les chiens.

L’industrie de la fourrure est si cruelle qu’elle est interdite en France

Des enquêtes sur l’industrie de la fourrure ont mis en lumière des conditions de détention particulièrement cruelles. Les animaux y sont confinés dans de petites cages grillagées, insalubres et dépourvues du moindre aménagement. Nombre d’entre eux souffrent de blessures graves, laissées sans soins, tandis que le stress extrême de la captivité les pousse parfois à s’automutiler. Après une vie de souffrance, ils sont généralement abattus par gazage, empoisonnement, électrocution ou noyade.

Aidez-nous à bannir la fourrure de la semaine de la mode parisienne

Des centaines de créateurs, parmi lesquels Chanel, Armani, Prada, Jean Paul Gaultier, Versace et Gucci, ont renoncé à la fourrure. En tant qu’événement phare de l’industrie, la Fashion Week de Paris doit, elle aussi, évoluer et suivre cette transformation.

Les Fashion Weeks de Paris et Milan continuent d’autoriser la fourrure et les peaux d’animaux sauvages issus de pratiques cruelles sur leurs podiums. Exigeons ensemble des organisateurs qu’ils adoptent sans attendre une politique interdisant formellement et immédiatement la fourrure et les peaux d’animaux sauvages :

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