Tous les articles par Caroline C

À voir : ce dessin animé vous fera voir le saucisson d’un nouvel œil

La prochaine fois que quelqu’un vous dit « non mais moi je ne pourrais pas arrêter le saucisson… », montrez-lui cette vidéo. Un père rayonnant et ses petites filles sont sur le point d’attaquer leurs assiettes débordantes de viande lorsque les enfants demandent à leur père quel est son travail. Il se lance dans une chanson entraînante sur son emploi d’éleveur de cochon, mais elle devient vite sinistre. Tout n’est que danse et couleurs chatoyantes jusqu’à ce que la vidéo révèle l’atroce réalité : ce qu’implique réellement la transformation de doux cochons en saucisses, bacon et jambon.

Nous n’en dirons pas plus, regardez ça par vous-même :

PETA a publié cette vidéo en animation rubber hose (qui rappelle des dessins animés populaires tels que Popeye) en collaboration avec Grey, une agence de publicité londonienne très populaire. Et c’est Melopheelo, le co-fondateur du groupe de rap les Sages Poètes de la Rue, qui interprète cette chanson entraînante et satirique pour sa version française.


Les cochons aiment la musique

Les cochons sont des individus sensibles et intelligents qui aiment la musique et jouer, tout comme les humains. Les truies chantent même pour leurs petits.

Tout comme nous, ils veulent vivre et non être transformés en bacon.


Les fermes de cochons « heureux » ? Un mythe

La majorité des vingt millions de cochons tués pour leur chair chaque année sont entassés dans des enclos en béton sans aménagement et privés d’air frais et de soleil.

Les éleveurs font régulièrement subir des mutilations douloureuses aux animaux, par exemple en leur coupant la queue et en leur limant les dents, généralement sans antidouleurs.

Dans les abattoirs, les animaux sont hissés par les pattes arrière et égorgés, souvent sans étourdissement efficace préalable.




Manger des saucisses provoquerait des problèmes de santé

Des études montrent que même une consommation modérée de viande industrielle augmente les risques de cancer de l’intestin. À l’inverse, une alimentation végane réduit les risques de maladies cardiaques, de certains types de cancer, de diabète et d’attaque cérébrale.

La production de viande a un coût pour la planète

Le programme pour l’environnement de l’ONU a qualifié la production de viande de « problème le plus urgent » au monde en raison des énormes quantités de gaz à effet de serre produites par l’industrie et contribuant à la catastrophe climatique.

Les régimes végans, en revanche, génèrent 75 % d’émissions de gaz à effet de serre en moins que les régimes contenant plus de 100 grammes de viande par jour.


Aidez vos proches à ouvrir les yeux sur la souffrance des cochons

Vous pouvez aider les cochons rien qu’en partageant cette vidéo.

Vous aimez les cochons et les dessins animés ? Cette vidéo est pour vous !

Optez pour le véganisme pour les cochons

La meilleure façon d’épargner aux cochons souffrance et mort douloureuse est d’adopter une alimentation végane. Procurez-vous notre « Guide du végan en herbe » gratuit pour en savoir plus :

L’article À voir : ce dessin animé vous fera voir le saucisson d’un nouvel œil est apparu en premier sur PETA France.

La légende du rock Joan Jett demande au public de respecter TOUTES les femmes

À l’heure où les discussions sur les droits des femmes, l’égalité salariale, l’accès à l’avortement et bien d’autres sujets occupent une place centrale dans l’actualité, la légende de la musique Joan Jett lance un appel à dépasser les frontières des espèces et à faire preuve de solidarité envers toutes les femelles, qu’elles soient humaines ou animales. Dans une vidéo percutante réalisée par PETA, qu’elle narre, la star du rock – végane de longue date – se transforme en images de femmes humaines et d’autres espèces, soulignant ainsi l’unité fondamentale qui les lie. « Au fond, nous sommes toutes sœurs. STOP au spécisme », déclare-t-elle avec conviction.

Cette nouvelle campagne invite chacun à remettre en question les pratiques de l’industrie animale, qui exploite les systèmes reproductifs des vaches, des poules et d’autres animaux. À travers son engagement, Joan Jett incite son public à reconnaître l’importance de l’égalité non seulement entre les êtres humains, mais également envers tous les êtres-vivants.

« Nous sommes des filles, des sœurs et des mères, » déclare la chanteuse dans la vidéo. « Et si l’une d’entre nous était forcée de se reproduire, si son lait maternel ou ses œufs lui étaient dérobés pour être vendus, ou si ses enfants lui étaient volés pour subir des expérimentations, nous nous sentirions toutes violées et en colère, cela nous briserait le cœur. »

L’horrible exploitation des femelles dans l’industrie de la viande, du lait et des œufs.

Les femelles d’autres espèces ressentent la douleur et la peur avec autant d’intensité que les femmes humaines. Elles sont pourtant communément exploitées.

Dans l’industrie de la viande, les truies passent l’intégralité de leur vie adulte confinées dans des cages en métal bondées, et une enquête de PETA États-Unis dans un élevage de cochons a révélé que les porcelets meurent lentement hors de portée de leurs mères désemparées.

Dans l’industrie laitière, les vaches sont régulièrement inséminées de force (violées) – les employés enfoncent un bras dans le rectum de la vache et une tige métallique pour introduire le sperme dans son vagin – et leurs nouveau-nés leur sont arrachés dans la journée qui suit la naissance.

Dans l’industrie des œufs, les poules sont généralement confinées dans moins de 0,1 mètre carré, une partie de leur bec est coupé et elles sont envoyées à l’abattoir lorsque leur corps lâche.

« Posez-vous la question, » conclu Joan Jett. « Est-ce que je souhaiterais ça à ma mère, à ma sœur ou à moi-même ? »

Rejoignez Joan Jett et aidez-nous à mettre fin à cette cruauté

Joan Jett rejoint la liste de plus en plus longue de célébrités (y compris Stomy Bugsy et RZA de Wu-Tang Clan) qui se sont alliées aux entités PETA pour créer des vidéos dans lesquelles leurs visages se transforment en différents animaux pour promouvoir la compassion avec chaque être vivant.

Chaque animal est un individu. Vous pouvez défendre tous les animaux sensibles utilisés et tués pour leur chair, leurs œufs et leur lait en devenant simplement végan. Commandez dès aujourd’hui un kit de démarrage végan gratuit :

L’article La légende du rock Joan Jett demande au public de respecter TOUTES les femmes est apparu en premier sur PETA France.

Votre café est-il le produit d’une grande cruauté ? Le kopi luwak dénoncé

Encore une enquête de PETA Asie sur la cruelle industrie du kopi luwak qui dénonce la souffrance des civettes. Malgré le tollé international suscité par les enquêtes menées pendant une décennie, rien n’a changé. Le kopi luwak (également appelé café de civette ou café de crottes de chat) est produit à partir de grains excrétés par des civettes. Il est vendu à l’international, malgré les conditions atroces dans lesquelles ces animaux sont détenus.




La dernière enquête de PETA Asie chez des producteurs à Java, en Indonésie, a découvert des civettes malades, blessées et mourantes qui souffraient dans de petites cages crasseuses au sol jonché de leurs excréments. Certains animaux mal nourris présentaient des plaies ouvertes non traitées et des infestations parasitaires et étaient trop malades pour se déplacer. Un enquêteur de PETA Asie a filmé une civette gravement malade qui était trop faible pour se lever et restait immobile dans sa cage sordide. L’enquêteur a prévenu producteur (qui a dit vouloir la « jeter ») puis a précipité l’animal dans une clinique vétérinaire, mais il n’a pas pu être sauvé.

Des binturongs détenus illégalement et exploités pour du café

La dernière enquête de PETA Asie a également révélé que l’un des producteurs de kopi luwak donnait des cerises de café à des binturongs (un animal classé « vulnérable » sur la liste rouge mondiale des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature) détenus illégalement en cage et que les grains excrétés étaient étiquetés frauduleusement puis vendus sous le nom de « café de civette ».


Une décennie passée à dénoncer la cruauté pour du kopi luwak – et la maltraitance continue

De nombreuses enquêtes de PETA Asie ont montré à maintes reprises les ravages causés par le confinement permanent sur les civettes palmistes hermaphrodites sensibles. Dans les élevages, on les voit généralement faire les cent pas et tourner en rond dans leurs minuscules cages sans aménagements, souvent grillagées. Ce sont les signes d’une détresse psychologique extrême causée par l’angoisse et par la frustration dues à l’emprisonnement.

L’animal stressé et terrifié fait les cent pas et tourne en rond, cherchant désespérément à s’échapper de la cellule de prison insalubre dans laquelle il est forcé de manger des quantités anormales de baies de café pour que ses excréments puissent être vendus sous le nom de kopi luwak ou « café de crottes de chat ». Après avoir été arrachée à sa nature natale et contrainte d’endurer un contact permanent avec les humains qu’elle craint naturellement, cette civette a été poussée à la folie. Il s’agit de l’un des nombreux animaux en souffrance que les enquêteurs ont filmés au cours de leurs multiples enquêtes chez les producteurs de kopi luwak en Indonésie, premier producteur mondial de café de civette.

Le café « sauvage » est un mensonge éhonté

Depuis la publication des multiples enquêtes menées par PETA Asie sur cette industrie, de nombreuses entreprises ont pris la décision de retirer le kopi luwak de leurs rayons et de couper les liens avec cette industrie cruelle. D’autres, y compris des distributeurs au Japon, l’un des marchés principaux pour le kopi luwak, ainsi que des détaillants à Taïwan et au Royaume-Uni, choisissent de continuer à tirer profit de la misère des animaux pour un produit fantaisiste, bien que nous les ayons informés de la cruauté omniprésente dans cette industrie.

Clients et détaillants sont dupés par des producteurs qui étiquettent délibérément les grains provenant de civettes captives comme étant d’origine « sauvage ». Depuis plus d’une décennie, les enquêteurs de PETA Asie sont confrontés à tous les stratagèmes utilisés par l’industrie du kopi luwak pour tromper le public. Un employé a même déclaré à un enquêteur que « nous l’étiquetons comme « sauvage » même si les animaux sont désormais en cages, car ils ont été attrapés dans la nature. » D’autres producteurs ont ouvertement admis que récolter suffisamment d’excréments de civettes sauvages serait presque impossible. Pour dissimuler cette situation, certains producteurs prélèvent une petite partie des grains de civettes en liberté, les mélangent à des grains provenant d’animaux en cage et étiquettent le produit comme étant d’origine « sauvage ». D’autres ont éhontément déclaré aux enquêteurs qu’ils étiquetaient le café d’animaux en cage comme étant d’origine « sauvage ». L’industrie obtient sciemment de fausses certifications ou du café mal étiqueté provenant d’animaux captifs, qui peut ensuite être exporté dans le monde entier et vendu comme étant d’origine « sauvage ».




La prochaine pandémie se prépare

Les animaux stressés et enfermés en cage dans leurs propres excréments ont un système immunitaire affaibli, ce qui fait de ces structures un vivier pour les zoonoses. Le SRAS, dont le taux de létalité chez l’humain est estimé à environ 15 %, a été transmis aux humains par les civettes. Les scientifiques ont également identifié les civettes comme « hôtes intermédiaires » potentiels pour le COVID-19 : elles ont pu permettre au virus de muter et de passer de la chauve-souris à l’humain.

Les civettes suffisamment « chanceuses » pour survivre jusqu’à ne plus être utilisées à l’industrie du kopi luwak sont parfois vendues sur des marchés d’animaux vivants, comme celui d’où le nouveau coronavirus serait originaire. Cela les met en contact direct avec les humains et crée l’opportunité parfaite pour que le SRAS ou un autre virus mute et passe d’un hôte à l’autre.

Il est temps d’en finir

Le kopi luwak est une honte, et non un mets délicat. Peu importe le pays dans lequel vous vous trouvez et ce que l’on vous garantit, n’en achetez ou n’en buvez jamais.

Demandez à ces entreprises d’arrêter de financer la cruauté envers les civettes en mettant fin à la vente de kopi luwak dès aujourd’hui.

L’article Votre café est-il le produit d’une grande cruauté ? Le kopi luwak dénoncé est apparu en premier sur PETA France.

Michelin s’engage à ne plus faire la promotion des delphinariums dans ses guides

C’est une excellente nouvelle pour entamer l’année : Michelin, célèbre éditeur de guides de voyages, a pris la décision louable d’exclure les delphinariums et autres spectacles impliquant des animaux marins en captivité de ses publications. Cet engagement auprès de PETA lui vaut de recevoir un « Prix de l’entreprise respectueuse des animaux » de l’association. La nouvelle politique des guides Michelin est clairement dans l’air du temps, coïncidant en effet avec la fermeture définitive cette semaine du parc marin polémique le Marineland d’Antibes.

« Après nos récents échanges, une analyse rigoureuse et une consultation avec des experts en éthique animale, nous avons pris la décision d’exclure de nos recommandations les delphinariums et autres spectacles impliquant des animaux marins en captivité. Nous estimons que ces pratiques ne reflètent plus les valeurs de respect et de responsabilité qui guident nos publications. » confirme la directrice de Michelin, auprès de PETA.

Une prise de conscience salvatrice

La présence de lieux exploitant des animaux marins en captivité dans les guides Michelin a choqué le grand public qui est de plus en plus conscient de la souffrance des animaux dans ces parcs. C’est ainsi que le delphinarium d’Harderwijk notamment ne fait plus partie de la sélection 2025 du guide Pays-Bas.

Contrairement aux voyageurs, les animaux exploités pour le divertissement n’ont jamais l’occasion de se détendre, ni de partager des moments privilégiés avec leurs proches. PETA célèbre l’engagement du groupe et appelle tous les autres guides de voyage à suivre l’exemple de Michelin et à explorer les manières de promouvoir un tourisme responsable et respectueux en ne soutenant plus les activités ni lieux qui exploitent les animaux, tels que les parcs marins.

Une vie entière de souffrance

Dans leur milieu naturel, les orques et les dauphins nouent des relations proches avec leurs familles et parcourent de vastes distances dans l’océan chaque jour. En revanche, dans les delphinariums tels que SeaWorld, Loro Parque ou encore Planète sauvage, ces animaux vivent confinés dans de minuscules bassins où ils souffrent de détresse psychologique et de maladies liées à leurs conditions de détention. Ils ne peuvent pas se livrer aux comportements naturels et importants pour eux et meurent bien en deçà de leur espérance de vie dans l’océan.

Dans les parcs marins, les animaux sont non seulement enfermés dans des bassins sans aucun aménagement, nourris avec des aliments de mauvaise qualité et contraints de subir des entraînements sans fin, mais ils sont aussi souvent forcés de partager leur bassin avec des congénères avec lesquels ils sont incompatibles, ce qui entraîne attaques, blessures et même décès.

Partout dans le monde, le public demande la fin de la captivité des animaux marins, et la France ne fait pas exception. Selon un sondage de 2018, 70 % de la population française est opposée à la captivité des cétacés pour le divertissement des humains.

Vous pouvez agir maintenant

Michelin rejoint une longue liste d’entreprises dont le Club Med, TripAdvisor, Booking.com et Virgin Holidays, qui ont cessé de promouvoir les parcs marins. L’association envoie un certificat encadré à Michelin ainsi que des chocolats végans pour saluer cette décision éthique.

Si vous voyez une agence de voyage faire la promotion de billets pour Planète Sauvage, SeaWorld, Loro Parque ou d’autres parcs marins, écrivez-leur pour leur demander de prendre exemple sur Vente Privée, STA Travel, Virgin America et bien d’autres et d’arrêter de faire de la publicité à ces entreprises cruelles.

Merci de ne visiter aucun parc aquatique, aquarium ou toute autre attraction touristique qui exploite les animaux à des fins commerciales. Au lieu de ça, vous pouvez vous renseigner sur ces mammifères marins majestueux et fascinants en regardant des documentaires sur leur manière de vivre dans leur habitat naturel.

Aidez-nous à faire monter la pression pour les parcs marins qui maltraitent les animaux en demandant à TUI d’arrêter de vendre des billets pour ces établissements cruels.

L’article Michelin s’engage à ne plus faire la promotion des delphinariums dans ses guides est apparu en premier sur PETA France.

Première enquête mondiale sur la laine en Nouvelle-Zélande : des employés qui frappent, donnent des coups de pied et tuent des moutons

De 2023 à la fin de 2024, PETA Asie est entré dans 11 élevages et hangars de tonte en Nouvelle-Zélande qui produisent de la laine certifiée ZQ, une fausse certification développée et appartenant à The New Zealand Merino Company. La société s’autoproclame « la première marque de laine éthique au monde » et affirme que « les moutons produisant la laine sont traités de manière humaine » – mais comme le révèle cette enquête, la laine « éthique » ou « humaine » n’existe pas.

Regardez les images, puis agissez pour les moutons en demandant à Allbirds, Fjällräven, Helly Hansen, icebreaker, Smartwool et Loro Piana (appartenant à LVMH) de cesser de se cacher derrière des normes ZQ dénuées de sens et de mettre fin à leur utilisation de la laine.

Voici ce que les enquêteurs ont découvert :

  • Des tondeurs qui donnaient des coups de pied, frappaient et jetaient des moutons sur des rampes. Un tondeur qui frappait la tête d’un mouton à trois reprises contre une planche en bois solide.
  • Des employés en train de fouetter, de plaquer et de frapper des moutons avec différents objets, y compris la pointe métallique d’un bâton de ski.
  • Plusieurs moutons laissés avec des plaies béantes grossièrement recousues, tout cela sans antidouleur. Un employé vu en train de rire d’un mouton alors que du sang coulait sur le visage de l’animal, blessé à l’œil.
  • Des moutons poussés dans des enclos particulièrement bondés et tellement entassés qu’une brebis a été retrouvée asphyxiée. Sa laine a quand même été tondue pour être mise en vente.
  • Un éleveur qui a égorgé une brebis encore consciente. Quelques jours avant, celle-ci peinait à rester debout. Son corps a été jeté dans une fosse à ordures. Les enquêteurs trouvaient fréquemment des moutons morts dans les élevages.
  • Des éleveurs qui utilisaient des chiens qui attaquaient parfois les moutons afin de les contrôler et les terroriser. Et même ces chiens n’ont pas échappés à la maltraitance. Un éleveur les a frappés à la tête tandis qu’un autre a piqué un chien plusieurs fois avec un bâton.


Des employés donnant des coups de pied, frappant et jetant des moutons

Les enquêteurs ont rendu compte d’employés en train de donner des coups de pied et de poing et de frapper des moutons avec différents objets, y compris la pointe métallique d’un bâton de ski. Certains employés semblaient être volontairement agressifs et riaient pendant qu’ils attrapaient les moutons et les jetaient sur le dos ou bien disaient : « Va te faire f**, c** », avant de jeter violemment leurs corps le long d’une rampe.


Des gorges tranchées et des fosses

En l’espace de deux jours, une brebis s’est effondrée plusieurs fois et un employé l’a égorgée avant de jeter son corps dans une fosse pleine de corps démembrés. Un éleveur a déclaré qu’il laisse les corps se décomposer dans le champ ou les jette dans une fosse à ordures mais qu’il pourrait être « signalé » car il avait « des animaux morts sur les lieux ». Les enquêteurs ont vu de nombreux moutons morts dans les élevages, y compris certains jetés dans des fosses à ordures.

Un employé a dit froidement que, au lieu de fournir des soins aux moutons malades ou en difficulté, « c’était plus facile » quand ils mouraient « loin des yeux, loin du cœur. »




La violente tonte des moutons

La tonte est une épreuve douloureuse et effrayante pour les moutons sensibles et attentifs. Les tondeurs sont souvent rémunérés au volume et non à l’heure, donc la rapidité avec laquelle la tonte est effectuée laisse la plupart des moutons meurtris et ensanglantés. Pourtant, l’enquêteur n’a vu personne administrer des antidouleurs, même aux moutons avec des plaies béantes.






Des moutons entassés et tellement à l’étroit qu’ils en suffoquent

Durant la mise en enclos, les employés entassent les moutons et ceux-ci sont tellement à l’étroit qu’un employé a admis que les moutons risquaient d’être étouffés. Un enquêteur a trouvé une brebis qui est morte après avoir été étouffée par ses compagnons dans l’enclos. Les employés ont quand même tondu son corps sans vie pour en prendre sa laine et l’ont mise avec celle des autres.




Les moutons ont besoin de leur laine, pas nous

Les moutons sont des animaux doux, curieux, émotionnellement complexes et très intelligents. Ils peuvent faire la distinction entre différentes expressions chez les humains et détecter les changements sur les visages des moutons anxieux. Ces animaux avenants peuvent reconnaître le visage d’au moins 50 autres moutons et peuvent se souvenir de 50 images différentes pendant deux ans.


Un autre endroit, une même souffrance

Les entités PETA ont désormais rendu publiques 15 enquêtes accablantes de plus de 150 structures de l’industrie de la laine sur quatre continents et ont révélé la souffrance endémique dans chacune d’elles. Les entreprises savent qu’en apposant des étiquettes comme « humaine », « éthique » ou « responsable » sur les produits qu’elles vendent, elles tromperont les consommateurs en leur faisant croire qu’ils achètent des produits fabriqués avec compassion alors que ce n’est pas le cas.

Portez-vous encore de la laine ? Si c’est le cas, arrêtez. Nous pouvons aider à mettre fin à leur souffrance en refusant d’acheter des produits en laine et en choisissant uniquement des matières sans origine animale, telles que l’acrylique, le bambou, le coton, le chanvre, le modal, le polyester, la rayonne, le TENCEL et la viscose.

Demandez aux marques d’abandonner la laine

Les révélations de PETA, de l’Australie à l’Angleterre, en passant par l’Argentine et les États-Unis, et maintenant la Nouvelle-Zélande, ont prouvé que la violence contre les moutons dans l’industrie de la laine est omniprésente, et nous devons tenir les entreprises responsables de soutenir une telle cruauté. Des marques comme Allbirds, Fjällräven, Helly Hansen, icebreaker, Smartwool, et Loro Piana (appartenant à LVMH) utilisent la certification ZQ pour commercialiser la laine – demandez-leurs d’arrêter de vendre de la laine dès maintenant !

L’article Première enquête mondiale sur la laine en Nouvelle-Zélande : des employés qui frappent, donnent des coups de pied et tuent des moutons est apparu en premier sur PETA France.

Nous vous invitons à voyager à travers le monde avec Ingrid Newkirk, fondatrice de PETA et avec le Fonds international pour la compassion !

Prenez du popcorn et votre appareil de streaming favoris et rejoignez Ingrid Newkirk, la fondatrice de PETA, pour un voyage palpitant autour du monde. Vous verrez comment le Fonds international pour la compassion de PETA change la vie des animaux. Ne manquez pas la visite du nouveau sanctuaire pour animaux construit en Ukraine par les sauveteurs soutenus par ce Fonds. Vous ferez un arrêt dans un nouveau sanctuaire construit grâce à votre soutien en Inde et découvrirez également les dernières actualités de la campagne de PETA Inde visant à libérer les éléphants d’une vie de servitude. Nous avons de nombreuses autres étapes prévues pour vous. Inscrivez-vous à la première discussion au coin du feu sur le Fonds international pour la compassion de l’année.

Date : 14 janvier
Heure : 19 h
Lieu : en streaming sur votre appareil favori !

Vous rencontrerez Iholochka, qui a éloigné du danger une équipe de secours de première ligne soutenue par le Fonds en Ukraine. Mais aussi Buchi, qui est passée d’une rivière tumultueuse au canapé de ses parents adoptifs aux Philippines. Il y a aussi Anand, que nous avons sauvé de l’abattage dans un marché de viande et qui vit maintenant la belle vie dans un sanctuaire d’Animal Rahat. Vous découvrirez leur histoire et celle de nombreux autres animaux.




Si vous ne soutenez pas encore le Fonds international pour la compassion, vous aurez l’occasion de rejoindre notre cercle de donatrices et donateurs mensuels au cours de la discussion au coin du feu, et ce pour le montant de votre choix. Vous pourrez également faire un don ponctuel.

L’article Nous vous invitons à voyager à travers le monde avec Ingrid Newkirk, fondatrice de PETA et avec le Fonds international pour la compassion ! est apparu en premier sur PETA France.

Plouër-sur-Rance : quatre jeunes héros récompensés par PETA pour un acte de bravoure

Le « Prix des Héros pour les animaux » est décerné à quatre jeunes de Plouër-sur-Rance pour avoir courageusement libéré 60 vaches d’un hangar en flammes, sauvant les animaux pris au piège. Ces jeunes héros, tous originaires de Dinan et âgés de 17 et 18 ans, ont fait preuve d’une bravoure sans pareille en libérant ces animaux qui hurlaient de terreur, tenant à leur vie comme nous tenons à la nôtre. L’association leur a envoyé un certificat encadré et des chocolats végans – qui ne contiennent pas de lait de vache, produit de l’exploitation et de la souffrance de ces animaux – pour féliciter leur compassion.

« Nous espérons que cet acte admirable de la part de ces quatre jeunes hommes vaillants et bienveillants inspirera tout le monde à voir chaque animal comme l’individu qui tient à sa vie qu’il est, et à venir en aide aux animaux qui en auraient besoin, » déclare Mimi Bekhechi, vice-présidente de PETA pour l’Europe. « Afin que ce sauvetage ne soit pas en vain, PETA appelle à ce que les vaches de l’exploitation soient envoyées dans un sanctuaire afin qu’elles évitent l’abattoir, où tout animal né dans le secteur agroalimentaire est tragiquement voué à finir. »

Traitées comme des machines à produire du lait

Les vaches élevées pour la production de lait subissent une vie marquée par des souffrances répétées et systématiques. Dès leur jeune âge, elles sont inséminées artificiellement, encore et encore, dans un processus cruel. À chaque naissance, leurs veaux leur sont arrachés presque immédiatement, brisant le lien naturel entre la mère et son petit. Cette séparation provoque chez les deux une immense détresse et un profond sentiment de perte.

Le lait qui aurait dû nourrir les veaux est détourné pour la consommation humaine, utilisé pour produire du lait, du fromage, et divers autres produits laitiers. Les veaux mâles, jugés inutiles à l’industrie, sont souvent abattus avant l’âge de huit mois. Quant aux femelles, elles sont condamnées à subir le même cycle de souffrance que leur mère : insémination forcée, séparation de leurs petits, et exploitation intensive.

La traite mécanique, omniprésente dans les élevages, provoque fréquemment des infections douloureuses du pis, appelées « mastites ». Ces infections ajoutent à la souffrance que ces animaux endurent déjà. Une fois que leur production de lait diminue et qu’elles ne sont plus jugées rentables, les vaches sont envoyées à l’abattoir, où leur viande est souvent transformée en produits de qualité inférieure.

Sauvez des animaux vous aussi !

PETA propose gratuitement son « Guide du végan en herbe » pour celles et ceux souhaitant héroïquement sauver des animaux à chaque repas sans avoir à pénétrer dans des hangars en flammes.

Choisissez les alternatives véganes aux produits laitiers

La plupart des grands supermarchés ont maintenant leurs propres gammes de laits végétaux, à base de soja, de riz, d’avoine, de coco, de quinoa, de châtaigne, d’amandes, de noisettes ou même de chanvre – natures ou aromatisés au chocolat, à la vanille, au caramel, etc. Rien de plus simple pour cuisiner végan de nos jours avec le nombre d’alternatives au beurre, à la crème cuisine, aux sauces pour les pâtes et autres ingrédients traditionnellement à base de lait animal :

L’article Plouër-sur-Rance : quatre jeunes héros récompensés par PETA pour un acte de bravoure est apparu en premier sur PETA France.

Une activiste habillée de fourrure « ensanglantée » brandit un « cadavre de renard » devant le Printemps

Paris – « Printemps : STOP à la fourrure »
Ce matin, le Boulevard Haussmann a été le théâtre d’une action marquante menée par PETA pour sensibiliser le public à la cruauté de l’industrie de la fourrure. Devant l’entrée du grand magasin Printemps, une militante a attiré tous les regards. Portant un imposant manteau de fourrure taché de « sang », elle tenait dans ses mains une « dépouille ensanglantée » de renard, symbolisant les animaux sacrifiés pour leur peau.

À ses côtés, deux autres militantes brandissaient des pancartes aux messages percutants tels que « MORT à vendre », dénonçant la vente d’articles en fourrure encore autorisée par le groupe. Par cette protestation, PETA lance sa campagne publique appelant le groupe à cesser d’autoriser la vente d’articles en fourrure.

Malgré de nombreuses demandes de PETA, Printemps s’obstine à faire figurer dans ses rayons des marques qui utilisent de la fourrure dans leurs collections malgré le fait que l’association a partagé à maintes reprises les atrocités que subissent des renards, lapins, chinchillas, coyotes, raton-laveurs et même des chats et des chiens pour que leur fourrure finisse en accessoires de mode.

@Pause Vegan

@Pause Vegan

L’industrie de la fourrure, une cruauté systémique

L’industrie cruelle de la fourrure, cause chaque année la mort de millions d’animaux dans des conditions atroces, exploitant leur peau à des fins commerciales.

Des enquêtes approfondies menées dans l’industrie de la fourrure ont mis en lumière des pratiques d’une cruauté alarmante envers les animaux. Les conditions de vie des animaux captifs dans ces élevages sont abominables. Ils sont confinés dans des cages étroites, grillagées et insalubres, sans le moindre aménagement pour répondre à leurs besoins physiques ou psychologiques.

Ces conditions entraînent des souffrances insoutenables. Beaucoup d’animaux souffrent de blessures graves, souvent non traitées, ce qui les condamne à une douleur constante. Le stress intense dû à la captivité et au manque de stimulation pousse fréquemment les animaux à adopter des comportements d’automutilation, témoignant d’une profonde détresse psychologique.

À l’issue de cette vie de calvaire, les méthodes d’abattage employées sont particulièrement brutales. Les animaux sont généralement tués par gazage, empoisonnement, électrocution ou noyade, des procédés qui ajoutent une dernière dose de souffrance à leur existence déjà marquée par la douleur et la négligence.

Face à une telle cruauté, de nombreux pays ont pris des mesures pour interdire ou restreindre l’industrie de la fourrure. En France, cette industrie est désormais interdite, marquant une avancée significative pour le bien-être animal. Cette décision reflète une prise de conscience croissante au sein de la société, qui rejette les pratiques cruelles et privilégie des alternatives éthiques et durables.

Il est grand temps que le Printemps se mette à la page

Des centaines d’autres entreprises ont déjà abandonné la fourrure, telles que Selfridges, Holt Renfrew, Harvey Nichols, Max Mara, Saks Fifth Avenue, David Jones, Neiman Marcus et bien d’autres. En tant qu’entreprise qui se revendique pionnière et innovante, il est grand temps que le Printemps évolue en adéquation avec les attentes éthiques actuelles. PETA appelle toutes les personnes choquées par la décision du groupe de continuer à commercialiser de la fourrure à faire entendre leur voix en signant la pétition en ligne :

L’article Une activiste habillée de fourrure « ensanglantée » brandit un « cadavre de renard » devant le Printemps est apparu en premier sur PETA France.

Commerce de la viande de grenouille au Vietnam : les horreurs invisibles

Une toute nouvelle enquête vidéo diffusée aujourd’hui par PETA révèle des scènes dignes d’un film d’horreur dans des abattoirs de grenouilles au Vietnam. Et ce n’est pas la première fois : une enquête de PETA Asie sur l’industrie des cuisses de grenouilles en Indonésie a récemment choqué les consommatrices et les consommateurs et poussé de nombreux supermarchés français à cesser leurs importations.

Les enquêteurs de PETA Asie se sont rendus dans des installations au Vietnam où sont abattues des grenouilles élevées pour que leurs cuisses soient vendues à l’exportation – ils y ont vu des grenouilles écorchées, démembrées et décapitées pendant qu’elles étaient encore conscientes. Le Vietnam est un fournisseur important de cuisses de grenouilles pour l’Asie, l’Europe et l’Amérique du Nord, et celles-ci finissent servies dans des restaurants ou à la vente dans les rayons surgelés des supermarchés, dont Leclerc, qui est aujourd’hui ciblé par l’association.

Pour leur part, les spécialistes de l’alimentation surgelée Picard et Thiriet se sont engagés auprès de PETA à ne plus vendre de cuisses de grenouilles, qu’elle que soit leur origine. L’enseigne Intermarché s’est quant à elle engagée à ne plus se fournir ni en Indonésie, ni au Vietnam.

Une vision d’horreur : écorchées et démembrées vivantes

Les enquêteurs de PETA Asie ont visité cinq exploitations de viande de grenouille au Vietnam, dont des abattoirs où ils ont vu des employés jeter des caisses remplies de grenouilles au sol, puis en empiler d’autres par-dessus, écrasant celles qui se trouvaient dans les caisses du dessous. Les images bouleversantes de l’enquête montrent des grenouilles dans des bains de glace pilée censés les insensibiliser mais clairement inefficaces. D’après un vétérinaire, un bain de glace ne suffit pas « à plonger les grenouilles dans un état de torpeur [ou] à les tuer ou à arrêter complètement la capacité de leurs nerfs à transmettre des signaux de douleur. »

PETA Asie

Les grenouilles sont pour la plupart encore conscientes lorsque les employés les transpercent avec des ciseaux et leur découpent le dos et la peau, avant de leur arracher la peau du corps. Même sans peau, de nombreuses grenouilles bougent encore, émettent des sons et bondissent même, tentant désespérément de s’échapper. Certains ouvriers frappaient les grenouilles sur la tête avec des ciseaux, mais cette action est inefficace s’agissant de les étourdir.

PETA Asie

Elles sont ensuite démembrées et décapitées – certaines à plusieurs reprises lorsque les ouvriers n’arrivent pas à leur détacher la tête du corps au premier essai. De nombreuses incisions sont pratiquées derrière l’oreille au lieu de devant, ce qui peut faire souffrir les animaux pendant une heure avant qu’ils succombent. Les enquêteurs de PETA Asie ont décrit avoir observé des grenouilles décapitées dont le corps continuait à bouger pendant jusqu’à 15 minutes.

PETA Asie

Agissez dès maintenant contre la cruauté

En tant que consommatrices et consommateurs, vous pouvez contribuer à mettre fin à ces souffrances. Ce cauchemar continuera tant qu’il y aura une demande pour les cuisses de grenouilles. Mais vous avez le pouvoir de changer les choses. En adoptant une alimentation végane, vous pouvez contribuer à mettre fin aux souffrances inutiles endurées par d’innombrables grenouilles et prendre position contre la cruauté.

Vous joindrez-vous à nous pour créer un monde meilleur pour tous les animaux ?

PETA encourage toute personne choquée par ces images à interpeller Leclerc à arrêter de vendre des cuisses de grenouilles :

L’article Commerce de la viande de grenouille au Vietnam : les horreurs invisibles est apparu en premier sur PETA France.

Tibo Inshape, Juju Fitcats et PETA appellent à ne jamais offrir d’animaux pour Noël

Tibo InShape et Juju Fitcats, accompagnés de leur adorable chat Pichu, s’engagent aux côtés de PETA pour une campagne percutante à l’approche des fêtes. Avec pour slogan « Les animaux sont pour la vie, pas juste pour Noël », les influenceurs fitness, suivis par plus de 17 millions de personnes sur Instagram, sensibilisent leurs fans aux dangers d’offrir des animaux comme cadeaux de Noël.

Ils rappellent qu’un animal n’est pas un objet, mais un être vivant nécessitant temps, amour et ressources. Chaque début d’année, les refuges sont débordés par des abandons d’animaux donnés en cadeau à des personnes non préparées à en assumer la responsabilité. Cette campagne vise à prévenir ces abandons en incitant à une adoption réfléchie et responsable.

Un message fort et nécessaire pour rappeler que les engagements envers les animaux doivent être pris à long terme, et non sur un coup de tête festif.

Accueillir un animal est un engagement à long terme

Prendre soin d’un animal implique un engagement à long terme, avec une durée moyenne de 13 à 15 ans pour un chien ou un chat. Cela nécessite des moyens financiers pour couvrir les frais de nourriture, les soins vétérinaires, et éventuellement les frais de garde de l’animal. De plus, il faut consacrer beaucoup de temps pour le promener, l’éduquer et lui offrir tout l’amour et l’attention dont il a besoin.

Prendre cette décision à la légère, ou pire, pour quelqu’un d’autre, peut avoir des conséquences tragiques pour l’animal. Cet être sensible risque de souffrir du traumatisme d’être abandonné par sa nouvelle famille. Il pourrait ensuite languir pendant des semaines, des mois, voire des années dans la cage d’un refuge, attendant désespérément un foyer qui voudra vraiment de lui.

En outre, face aux vagues d’abandons qui déferlent chaque année sur les refuges, les ressources et l’espace pour prendre soin de tous les animaux sont souvent insuffisants. Dans ces circonstances, l’animal risque l’euthanasie, une fin tragique qui aurait pu être évitée avec une réflexion plus approfondie avant l’adoption.

Offrez plutôt un « bon d’adoption »

PETA conseille aux personnes certaines que les proches en question sont prêts à accueillir un nouveau membre de la famille et ont les ressources nécessaires pour s’en occuper, de leur offrir un « bon d’adoption », couvrant les frais d’adoption. Les destinataires pourront ensuite se rendre dans un refuge près de chez eux, après la période relativement bousculée des fêtes, pour y rencontrer leur compagnon idéal.

Tibo Inshape et Juju Fitcats rejoignent ainsi une longue liste de personnalités qui se sont associées aux entités de PETA pour promouvoir l’adoption responsable, dont Pamela Anderson, Marilou Berry, Frank Lebœuf, Greg Guillotin et Tom Hardy.

Passez à l’action pour eux

Tibo Inshape, Juju Fitcats et PETA soulignent à quel point il est important de mettre fin à la « production » et à la vente de chats et de chiens par des éleveurs, les sites en ligne comme Leboncoin, les jardineries et animaleries qui traitent des êtres sensibles comme s’ils étaient des marchandises dont on peut tirer profit. À chaque fois qu’un chiot est acheté, un chien de refuge parfaitement adoptable perd sa chance de rejoindre une famille.

Joignez-vous à nous pour demander à leboncoin.fr de prendre la décision vitale de mettre un terme à la vente d’animaux sur le site, afin d’affirmer clairement son engagement pour le bien-être animal :

L’article Tibo Inshape, Juju Fitcats et PETA appellent à ne jamais offrir d’animaux pour Noël est apparu en premier sur PETA France.