Tous les articles par Caroline C

Le Carême, un moment idéal pour vous essayer au véganisme

Pour plus de 40 millions de chrétiens et chrétiennes en France, le Carême, qui commence mercredi des Cendres et dure environ 40 jours, est une pratique d’abnégation visant à honorer les sacrifices faits par Jésus.

Traditionnellement, le Carême est une période d’introspection que beaucoup observent en s’abstenant d’aliments tels que les œufs, la viande et le poisson. Plus récemment, cette pratique a évolué pour inclure des vices tels que les réseaux sociaux et l’alcool, mais avec plus de trois millions d’animaux terrestres tués chaque année en France et l’aggravation de la catastrophe climatique, c’est le moment parfait pour célébrer le Carême en laissant les animaux (poisson compris) hors de votre assiette !

Il s’agit de l’occasion idéale d’adopter un mode de vie qui protège les animaux de la maltraitance et diminue votre empreinte carbone et risques de cancer et d’autres maladies !

poisson animaux sensibles

Les animaux sont avec nous, et non à notre disposition

Que vous soyez chrétien(ne) ou non, la compassion est essentielle à une vie pleine de joie sur une planète en paix. Même si vous n’êtes pas pratiquant ou pratiquante, le Carême est un excellent moment pour réfléchir à la manière dont vous pouvez faire preuve de compassion et faire passer les autres en premier.

Si vous croyez en Dieu, vous savez qu’Il a créé toutes les espèces et a chargé les humains de gérer les autres animaux. Les animaux ne sont pas sur Terre pour nous divertir, nous servir de viande ou être empoisonnés dans des laboratoires, écorchés, tondus ou plumés. Ils existent en tant qu’individus qui aiment et sont aimés, fondent une famille et profitent de ce que le monde a à leur offrir.

Tout comme nous aimons profiter du soleil et comme les chiens avec qui nous partageons notre vie aiment jouer dans la mer, les dindes aiment se faire des câlins et les vaches apprécient la musique.

Le Carême a peut-être commencé comme une période de renoncement, mais il peut devenir le moment où nous cessons de priver les animaux de leur liberté.

« Toute cruauté sur une quelconque créature est contraire à la dignité humaine. »
~ Sa Sainteté le pape François, Laudatosi’

Les poissons sont des individus eux-aussi

On mange traditionnellement des poissons le vendredi pendant le Carême, mais cette pratique évolue même parmi les chefs d’Église alors que de plus en plus d’individus réalisent que les poissons sont intelligents, uniques et complexes.

Les poissons sont des individus fascinants aux relations sociales complexes. Ils ont prouvé leur capacité à passer le « test du miroir » qui témoigne d’une conscience de soi, et reconnaissent les autres individus de leur banc. Certains poissons utilisent des outils, et d’autres réalisent des œuvres d’art complexes pour séduire leur bien-aimée.

Ils souffrent peut-être en silence, mais ils souffrent. Les poissons sont malheureusement les animaux les plus exploités sur Terre : attrapés au visage avec des crochets ou étouffés dans des filets, des milliards d’entre eux sont arrachés à leur océan natal et agonisent lorsqu’ils subissent ce que les experts appellent « des accidents de décompression sous stéroïdes » avant d’être matraqués, décapités et éviscérés.

Mener une vie végane est loin d’être un sacrifice

La compréhension la plus rudimentaire du Carême est qu’il s’agit de « renoncer » à quelque chose, mais lorsque nous choisissons de ne pas manger d’animaux, nous cessons simplement de prendre ce qui ne nous a jamais appartenu !

Grâce à l’éventail de produits sans animaux disponibles, « abandonner » la viande et d’autres produits d’origine animale n’est pas une contrainte mais un plaisir. Vous pouvez toujours savourer du chocolat crémeux, du « poisson », des nuggets de « poulet », ou même du « caviar » salé, tout cela en protégeant les animaux et en contribuant à soulager la planète !

« Choisir de ne pas manger de poisson (et d’autres animaux) est le moyen le plus simple de protéger et de prendre soin de l’ensemble de la création de Dieu, une tâche à laquelle est appelée chaque chrétien et chaque chrétienne. »

~ Père Terry Martin, prêtre catholique végan et auteur 

Prêts à opter pour le véganisme, pour le Carême et après ?

Vous ne reviendrez jamais en arrière une fois que vous aurez réalisé à quel point appliquer vos valeurs de compassion et d’équité grâce au véganisme est aisé, et à quel point cela rend votre vie paisible. Relevez notre défi de 30 jours pour accéder à des recettes délicieuses et recevoir des astuces pour arrêter de consommer le corps d’animaux morts, et vous contenter du corps du Christ !

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« STOP à la fourrure, sortez de l’âge de pierre » : des activistes de PETA ont manifesté devant la Cité de la mode et du design à Paris

La Fashion Week de Londres a déjà banni la fourrure – alors pourquoi son équivalent parisien tarde-t-il à suivre cette évolution ? Devant la Cité de la mode et du design, qui accueille l’Institut français de la mode et le défilé de lancement de la Paris Fashion Week, une poignée de militantes et militants déguisés en hommes et femmes des cavernes ont manifesté pour réclamer l’interdiction de la fourrure. Vêtus de « peaux animales » et munis de gourdins, ils brandissaient des pancartes proclamant : « Paris Fashion Week : STOP à la fourrure ! » et « PFW : sortez de l’âge de pierre ».

Cette action, organisée juste avant le défilé des étudiants de l’Institut Français de la Mode, visait à sensibiliser la nouvelle génération de créateurs et créatrices. En tant que futurs acteurs de l’industrie, il est essentiel qu’ils prennent conscience que la fourrure appartient au passé. Cette action appuie la demande des entités PETA aux semaines de la mode de Paris et de Milan de cesser d’autoriser la présentation d’articles en fourrure lors des défilés.

Henry Vera


La Fédération de la Haute Couture et de la Mode de Paris n’a pas encore pris en compte l’évolution de la société en adoptant une position en faveur d’un avenir sans cruauté. Il est urgent que la Fashion Week de Paris s’inspire de celle de Londres et interdise l’utilisation de peaux obtenues au prix de terribles souffrances pour des animaux tels que les renards, les lapins, les chinchillas, les coyotes, les ratons laveurs, ainsi que les chats et les chiens.

L’industrie de la fourrure est si cruelle qu’elle est interdite en France

Des enquêtes sur l’industrie de la fourrure ont mis en lumière des conditions de détention particulièrement cruelles. Les animaux y sont confinés dans de petites cages grillagées, insalubres et dépourvues du moindre aménagement. Nombre d’entre eux souffrent de blessures graves, laissées sans soins, tandis que le stress extrême de la captivité les pousse parfois à s’automutiler. Après une vie de souffrance, ils sont généralement abattus par gazage, empoisonnement, électrocution ou noyade.

Aidez-nous à bannir la fourrure de la semaine de la mode parisienne

Des centaines de créateurs, parmi lesquels Chanel, Armani, Prada, Jean Paul Gaultier, Versace et Gucci, ont renoncé à la fourrure. En tant qu’événement phare de l’industrie, la Fashion Week de Paris doit, elle aussi, évoluer et suivre cette transformation.

Les Fashion Weeks de Paris et Milan continuent d’autoriser la fourrure et les peaux d’animaux sauvages issus de pratiques cruelles sur leurs podiums. Exigeons ensemble des organisateurs qu’ils adoptent sans attendre une politique interdisant formellement et immédiatement la fourrure et les peaux d’animaux sauvages :

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Bonne nouvelle ! La société européenne de pneumologie met fin à l’utilisation d’animaux vivants

Le groupe s’est engagé à arrêter d’utiliser des animaux vivants lors de ses programmes de formation médicale, épargnant à d’innombrables cochons de souffrir lors de procédures invasives. Cette société internationale est la plus grande organisation de pneumologie scientifique et clinique d’Europe et rassemble plus de 35 000 cliniciens et cliniciennes, scientifiques et professionnels de la santé de plus de 160 pays. Cette décision est un bond en avant monumental pour une science plus efficace et pertinente pour l’homme.

PETA États-Unis a contacté l’organisation pour la première fois en 2019, la poussant à laisser cochons et moutons loin des tables d’opérations et à opter pour des modèles et simulateurs à la fois plus efficaces et pertinents pour les humains. Elle a commencé par décliner, mais PETA États-Unis ne s’est pas laissée abattre !

L’association s’est immédiatement mise au travail, organisant des réunions, préparant des exposés scientifiques sur les solutions modernes et sans animaux, et soulignant à plusieurs reprises les innombrables problèmes liés à l’utilisation d’animaux vivants pour les formations médicales en bronchoscopie et en thoracoscopie.

Ce travail a porté ses fruits et la société européenne de pneumologie vient de confirmer qu’elle « [s’]engage à trouver des alternatives aux animaux vivants pour [sa] formation professionnelle et vise une transition d’ici à fin 2025 ».

De plus, elle a confirmé que certaines des formations actuellement proposées utilisent des « modèles de voies respiratoires » 100 % exempts d’animaux, tandis que les futurs cours « n’incluront pas de pratique sur des animaux vivants ou sous sédatifs ».

« Nous pouvons confirmer que toute nouvelle formation que nous développons ne comprendra pas de pratique sur des animaux vivants ou sous sédatifs. Nos formations en cours ont confirmé arrêter d’utiliser des animaux d’ici fin 2025. Toutes les formations sauf une sont déjà passés à d’autres modèles/simulateurs. Nous nous engageons à trouver des alternatives aux animaux vivants pour nos formations et nous visons une transition d’ici fin 2025 ». – Société européenne de pneumologie

La société de pneumologie organise des cours à travers l’Europe. En Italie, des porcelets vivants étaient utilisés pour le cours de bronchoscopie pédiatrique, au cours duquel un tube était probablement inséré dans les voies respiratoires des animaux et des échantillons de tissus étaient prélevés de leurs poumons. Lors d’un cours de thoracoscopie en France, les étudiantes et étudiants découpaient probablement la cavité thoracique de cochons et de moutons pour y insérer des outils chirurgicaux. Pour une formation de bronchoscopie rigide, les participants s’entraînaient sans doute à pratiquer intubation, pose de stent et extraction de corps étrangers sur des animaux.

Les animaux dans les laboratoires ont besoin de votre aide

Les animaux ne peuvent pas remplacer les humains. Il est temps de nous éloigner des cruelles expériences sur les animaux et d’adopter des technologies plus efficaces et dépourvues d’animaux.

Aidez-nous à atteindre cet objectif en soutenant le Research Modernisation Deal (Accord de modernisation de la recherche) et en exhortant le gouvernement à s’engager à arrêter progressivement toutes les expériences sur les animaux :

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Le 25 février, la journée mondiale de la stérilisation sauve des vies

Avec la Saint-Valentin, février est considéré comme le mois de la romance. Mais lorsqu’il s’agit des animaux qui partagent notre vie, la passion débridée n’est pas une bonne idée. Voilà pourquoi le dernier mardi de février (le 25 cette année) est la journée mondiale de la stérilisation.

L’objectif ? Nous rappeler l’importance du fait de désexer les chiens, les chats, les lapins et les autres animaux avec lesquels nous vivons. Cela leur permet de mener une vie plus longue et plus heureuse et nous évite de contribuer à la crise de surpopulation animale qui ne cesse de s’aggraver.

La stérilisation ou castration fait partie intégrante de la garde responsable des animaux et, grâce à des initiatives communautaires qui en réduisent le coût, il n’y a plus d’excuse pour retarder ce geste qui sauve des vies.

Faites-les stériliser car les refuges sont pleins

La France a été nommée « championne d’Europe de l’abandon des animaux », avec des refuges qui débordent d’animaux non désirés. Entre 100 000 et 200 000 animaux de compagnie sont abandonnés chaque année en France, et les refuges se déclarent « à saturation », citant l’absence de stérilisation comme un facteur important.

En raison de la crise du coût de la vie, les bébés animaux se retrouvent souvent à la rue. Ils risquent ensuite de finir à la fourrière où ils sont euthanasiés ou d’être parfois récupérés par des individus qui les maltraiteront.

Faites-les stériliser car les rues sont dangereuses

Lorsque les fourrières ne peuvent pas faire face à l’afflux d’animaux, un plus grand nombre d’entre eux se retrouvent dans les rues, et leur nombre augmente de façon exponentielle. Une seule chienne non stérilisée et ses petits peuvent être à l’origine de 67 000 naissances en seulement six ans. Une chatte et sa portée peuvent produire 370 000 chatons en sept ans, un nombre stupéfiant !

Les animaux stérilisés sont moins susceptibles d’errer, ce qui signifie qu’ils sont moins susceptibles d’être renversés par une voiture, empoisonnés, attaqués par d’autres animaux, ou même victimes d’humains cruels.

Une grande étude en 2019 a révélé que le nombre d’oiseaux tués par des chats dans les jardins français et belges a augmenté de plus de 50 % au cours des 15 dernières années, garder nos amis félins à l’intérieur n’est donc pas seulement bon pour eux : c’est mieux pour tout le monde.

Faites-les stériliser car c’est mieux pour leur santé

Les animaux stérilisés mènent une vie plus longue et plus heureuse. Leur frustration et le stress et l’inconfort que les femelles endurent pendant les périodes de chaleur sont non seulement plus bas mais stériliser un animal élimine également le risque de cancer de l’utérus et des testicules et réduit considérablement le risque de cancer mammaire et de la prostate.

Les animaux désexués sont non seulement moins susceptibles de se battre, ils ont aussi moins envie de vagabonder, ce qui réduit leurs risques de contracter des maladies mortelles et contagieuses comme le SIDA du chat et la leucémie féline.

Faites les stériliser car cela limite la frustration

Les animaux gouvernés par leurs hormones sont facilement frustrés, il est plus difficile de leur apprendre où faire leurs besoins, ils marquent moins leur territoire et sont susceptibles de s’éloigner de leur foyer, mettant ainsi leur vie et celle d’autres animaux en danger.

Lapins désexés sont plus calmes, moins susceptibles de se battre et de se frotter et plus enclins à utiliser leur litière. De plus, tous les animaux de compagnie peuvent devenir plus affectueux après avoir été stérilisés.

Peu importe à quel point votre animal est mignon (et nous savons qu’il l’est), il n’est pas nécessaire d’en avoir une copie conforme. En cette journée mondiale de la stérilisation, faites ce qui est juste et prenez rendez-vous pour les membres à poil de votre famille. Si vous êtes en difficulté financière, les dispensaires de la Société Protectrice des Animaux (SPA) proposent stérilisations et traitements vétérinaires à prix réduits.

Pendant ce temps, apprenez à prendre soin de votre animal de compagnie en lisant notre article sur le sujet et rejoignez notre réseau militant pour œuvrer avec nous à en finir avec le spécisme !

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Trois ans de guerre en Ukraine : les équipes soutenues par PETA continuent à sauver des animaux

Le 24 février 2025 marque les trois ans de la guerre en Ukraine – trois ans passés dans la peur et face au danger pour ces animaux dont le foyer est devenu une zone de combat. Une équipe d’individus bienveillants et courageux d’Animal Rescue Kharkiv est sur le terrain pour offrir une nouvelle chance aux animaux déplacés, terrifiés et blessés en Allemagne grâce au soutien de PETA.

L’équipe aide les animaux à échapper à la zone de combat

Depuis le début de la guerre, l’équipe soutenue par PETA a sauvé 22 000 animaux, et ce n’est pas fini. Chaque animal secouru est mis en quarantaine des mois durant tandis que les secours œuvrent à rassembler les documents administratifs, soigner les plaies des animaux et aider des êtres traumatisés à refaire confiance aux humains. Certains des animaux secourus sont transportés vers l’Allemagne pour rencontrer leur nouvelle famille.

James, un petit chien, a été trouvé terrifié à Pokrovsk. La petite ville est un centre important pour l’Ukraine en raison de son charbon et de ses correspondances pour le transport, et ces éléments clés en font également une cible pour les forces russes.

La ville est constamment prise d’assaut, il est donc dangereux pour les volontaires d’y pénétrer. Par chance, l’équipe d’ARK a réussi à évacuer James.

Grâce à l’équipe de sauvetage soutenue par PETA, James et plusieurs autres animaux auront bientôt une nouvelle famille, pour une seconde chance loin de la guerre.

Soutenez le Fonds international pour la compassion de PETA

Depuis le début de la guerre en Ukraine, les équipes soutenues par PETA ont sauvé plus de 22 000 animaux et livré plus de 1,7 millions de kilos de nourriture et de provisions pour nourrir 2 500 animaux en Ukraine chaque mois. Le Fonds international pour la compassion de PETA est financé exclusivement par des personnes bienveillantes comme vous. Votre don aidera les entités PETA et leurs partenaires à amorcer des changements positifs et durables dans des endroits du monde où les animaux ont désespérément besoin de nous et n’ont peut-être pas d’autre espoir.

Votre soutien généreux nous aide à rendre le monde plus beau pour tous les êtres sensibles. Faites un don d’un montant qui correspond à vos moyens dès aujourd’hui.

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Victoire : AirBnB arrête de promouvoir des balades touristiques incluant des animaux

Après avoir été contacté par PETA États-Unis, AirBnB, géant de la location saisonnière, a accepté d’arrêter de promouvoir et de vendre des tickets pour des balades exploitant des animaux près de la pyramide de Khéops.

La vie des animaux près des pyramides

Les révélations de PETA ont montré que les dromadaires et les chevaux utilisés pour des promenades touristiques sur des sites populaires en Égypte sont battus, frappés aux testicules et privés de repos, tandis que les animaux morts sont jetés comme des ordures. Malgré ses promesses, le gouvernement égyptien n’a presque rien fait pour mettre fin à la maltraitance des animaux sur des sites touristiques populaires.

Les dromadaires considérés comme trop vieux, trop blessés ou trop malades pour être utiles sont souvent conduits à l’abattoir, où ils sont égorgés alors qu’ils sont encore conscients. Un dromadaire donnait toujours des coup de pattes jusqu’à quatre minutes après avoir été égorgé par un employé.

Voyez l’individu

Les chevaux vivent en troupeau, être contraints de vivre seuls peut être une source de stress pour eux, et ils peuvent être en deuil. Les dromadaires se saluent en se soufflant de l’air sur le visage. Ces deux espèces ressentent la douleur, la joie, la solitude et le bonheur tout comme les humains – ce ne sont pas des « taxis » ou des accessoires pour les photos de touristes, et ils méritent une vie dénuée de souffrance.

Les tour-opérateurs

D’innombrables tour-opérateurs refusent les balades à dos de dromadaire et encouragent les touristes à profiter des pyramides majestueuses sans soutenir la cruauté envers les animaux.

AirBnB rejoint des dizaines d’entreprises qui ne promeuvent et ne vendent pas de balades impliquant des animaux près des pyramides.

Ce que vous pouvez faire

Les touristes qui paient pour être tirés par des chevaux ou promenés à dos de dromadaire permettent à ces commerces de rester en activité. Si vous prévoyez un voyage en Égypte, laissez les animaux en dehors de cela.

Cela fait des années que le ministère du Tourisme et des Antiquités promet d’opérer des changements pour les animaux qui souffrent près des pyramides. Pourtant les chevaux et les dromadaires souffrent toujours. Demandez aux autorités égyptiennes d’interdire l’utilisation des chevaux et des dromadaires pour le divertissement du public près des pyramides et sur d’autres sites touristiques.

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Lyon – Une dégustation choc à base de « lait… de chienne » pour la Saint-Valentin

À l’occasion de la fête des amoureux, les promeneurs du centre-ville de Lyon ont été invités à goûter en exclusivité de nouveaux chocolats pour le moins surprenants : des ballotins de truffes confectionnées à partir de « lait… de chienne ».

Dans la vidéo du prank de PETA capturant les réactions des passants, on observe leur choc, leur dégoût et leur indignation lorsqu’ils apprennent qu’ils viennent de consommer des friandises à base de secrétions mammaires canines. Mais la surprise ne s’arrête pas là : il s’agissait en réalité d’un canular orchestré par PETA, et les chocolats étaient évidemment végans.

Michael Augustin

Derrière cette mise en scène et sa startup fictive baptisée La Bonne Truffe, l’association soulève une question dérangeante : « Lait de vache, de brebis ou de chienne… quelle différence ? » . Une manière percutante de dénoncer l’hypocrisie spéciste qui régit la consommation des produits d’origine animale.

Michael Augustin

Lait de vache, de brebis ou de chienne… quelle différence ?

Chaque année, 30 millions de vaches sont tuées dans les abattoirs.

Dans l’industrie laitière, les vaches sont inséminées de force et à répétition et se font retirer leur veau peu après la naissance. Cette séparation est déchirante, tant pour la mère que pour son petit. Lorsqu’elles ne produisent plus suffisamment de lait, elles sont envoyées à l’abattoir, souvent dès l’âge de 4 ou 5 ans, alors qu’elles pourraient vivre jusqu’à 20 ans dans des conditions naturelles.

Les vaches sont des êtres sensibles et intelligents. Elles nouent des liens forts avec leurs congénères, sont capables de résoudre des problèmes et font preuve d’une grande sociabilité. Tout comme les chiens avec qui nous partageons nos foyers, elles peuvent se montrer joueuses et affectueuses.

Dites non au spécisme, oui à la bienveillance !

Ce canulard de l’association montre à quel point il est répugnant de consommer le lait d’un autre mammifère, quelle que soit son espèce. Les humains sont la seule espèce sur la planète à boire le lait d’un autre animal, et ce même à l’âge adulte. Pourquoi est-ce que boire du lait de vache serait moins répugnant que consommer du lait de chienne ?

Nous appelons les gens à étendre leur compassion à tous les animaux en cette Saint-Valentin – vaches, chiens, poulets, chats, cochons, ils méritent tous d’être respectés, et de vivre sans être exploités.

Opter pour les laits végétaux est aujourd’hui plus simple que jamais

Les boissons véganes fabriquées à partir de soja, de noisettes, de céréales et d’autres plantes sont délicieuses, et contrairement au lait de vache, elles ne contiennent pas de cholestérol contribuant à boucher vos artères. En outre, elles sont de plus en plus commercialisées par les supermarchés partout en France. Découvrez notre sélection de laits végétaux et d’autres « laitages » végans :

Vous souhaitez en faire encore plus ?

Partagez cette vidéo avec vos amis, votre famille et vos abonnés sur les réseaux sociaux.

Parlez autour de vous des souffrances infligées aux vaches par l’industrie des produits laitiers. Et si vous cherchez d’autres moyens de venir en aide aux animaux, demandez sans plus attendre notre « Guide du végan en herbe », qui contient de nombreuses recettes et astuces qui vous permettront de révolutionner votre mode de vie :

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Balades en chiens de traîneaux : cinq choses à savoir

Si vous prévoyez vos vacances d’hiver, évitez les excursions et les activités avec des chiens de traîneaux. Cette pratique cruelle soumet les chiens à des conditions difficiles dans lesquelles ils risquent de se blesser et sont poussés au-delà de leurs limites physiques. Des milliers de chiens utilisés pour des « balades » en traîneau dans les Alpes, en Scandinavie, en Alaska, au Canada et ailleurs endurent une vie misérable.

Voici cinq raisons de ne jamais participer à une balade en chiens de traîneaux :

Les chiens subissent blessures, stress et privation

Les chiens se blessent régulièrement lorsqu’ils tirent des traîneaux de touristes sur des terrains irréguliers. Les canidés utilisés étant souvent jeunes et en pleine croissance, cela présente de graves risques pour leurs ligaments, leurs tendons et leurs articulations. Être étroitement attachés au traîneau et bénéficier d’un espace limité pour bouger peut provoquer de la frustration chez les chiens qui ne peuvent pas se distancer des autres. Cela peut entraîner bagarres et morsures, et donc d’autres blessures (parfois graves).

Ces images montrent des chiens enchaînés et exploités dans des élevages de chiens de traîneau en France et en Norvège. Ils dorment dans des cabanes en bois souvent mal isolées, et sont privés de tout semblant de vie normale. Lorsque les températures sont inférieures à zéro, leurs abreuvoirs sont souvent gelés.

Les balades en chiens de traîneaux soutiennent la cruelle industrie des courses

L’industrie des courses de chiens de traîneaux soumet les chiens à des courses exténuantes sur des centaines de kilomètres. Lorsqu’ils ne sont pas forcés de courir, les chiens sont souvent utilisés pour promener les touristes.

La course la plus cruelle au monde est l’Iditarod, en Alaska, où les chiens sont poussés à bout pour parcourir près de 1 600 kilomètres en moins de deux semaines. Jusqu’à la moitié des chiens au départ de l’Iditarod ne passeront jamais la ligne d’arrivée pour cause de blessure, de maladie ou d’épuisement, et jusqu’à 80 % de ceux qui la terminent souffrent de lésions pulmonaires permanentes. Leurs pattes sont meurtries, coupées ou à vif à cause de la friction à cause du terrain glacé et piégeux, et de nombreux chiens déchirent des muscles, subissent des fractures dues au stress, développent une pneumonie, souffrent de diarrhée ou sont atteints de virus ou d’ulcères hémorragiques. L’Iditarod a tué plus de 150 chiens depuis sa création en 1973.

Les chiens sont laissés dehors dans des conditions rudes

Lorsqu’ils ne font pas office de machines à sous, les chiens dans cette industrie mènent souvent une existence morne. Ils peuvent passer des mois au bout d’une courte chaîne, privés d’exercice et de la compagnie d’humains ou d’autres chiens. Sans la possibilité de jouer ou de socialiser, ils développent parfois des comportements stéréotypés et névrotiques, que ce soit le fait d’aboyer en permanence, de hurler ou de tourner en rond. Aboyer constamment n’est pas normal pour un chien : c’est un symptôme de frustration et de désespoir.

Une enquête menée par PETA États-Unis dans des chenils gérés par d’anciens champions de l’Iditarod révèle des souffrances endémiques et des conditions de vie atroces : les chiens sont enchaînés à l’extérieur et ont des caisses en bois ou des barils en plastique délabrés pour tout abri. D’autres enquêtes sur des exploitations de chiens de traîneaux ont révélé que des canidés blessés se voyaient refuser des soins vétérinaires et que certains étaient morts de complications dues à l’ingestion de pierres. Des centaines de chiens jugés inaptes à la course ont été matraqués ou tués par balle.

Au Tromsø Wilderness Centre, en Norvège, les chiens sont enchaînés en plein air et n’ont qu’une petite cabane en bois pour s’abriter. Tout comme les chenils en Alaska, le centre ressemble à un camp de prisonniers en plein air.

Les chiens méritent mieux

Les chiens qui tirent les traîneaux ne sont pas différents de ceux avec lesquels nous partageons notre foyer. Ils ont besoin d’exercice, de jeux, d’enrichissement et de compagnie et veulent dormir dans un lit chaud et moelleux à la fin de la journée. Les chiens ne nous appartiennent pas et nous n’avons pas à les exploiter à des fins lucratives. Si vous avez déjà passé du temps avec un chien vous savez qu’il s’agit d’animaux sensibles dotés de leur propre personnalité. Ce sont des compagnons sociaux et affectueux, anxieux lorsqu’ils sont isolés et insuffisamment socialisés. Ils n’endurent jamais volontairement des épreuves et ne se dépassent pas jusqu’à se blesser, voire jusqu’à la mort. Si vous aimez les chiens, tenez-vous à l’écart des cruelles courses et balades en chiens de traîneaux.

Vous pouvez pratiquer des activités respectueuses des animaux dans la neige

Souvent, les touristes ne se rendent pas compte des dommages que leurs choix financiers peuvent causer. Mais une fois le prix payé, il est trop tard. Si vous vous rendez dans un de ces lieux hivernaux féériques, ignorez donc toutes les activités impliquant des animaux qui y sont promues.

Au lieu de faire du chien de traîneau, explorez les paysages locaux en faisant de la randonnée, de la motoneige, du ski ou du kayak. N’allez observer des baleines ou des animaux sauvages que si vous choisissez une structure avec une bonne réputation qui observera les animaux à distance et évitera au maximum de les perturber. Évitez toute entreprise proposant des interactions avec les animaux.

Les animaux ont besoin de vous

Les animaux méritent mieux que faire office de taxis ou d’accessoires touristiques. Ne réservez jamais une excursion en chiens de traîneaux ou toute autre activité où les animaux sont exploités à des fins touristiques et partagez cet article avec vos amis. Prenez également un moment pour agir en faveur des animaux maltraités pour le tourisme :

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Le gouvernement refuse d’envoyer Wikie et Keijo dans un sanctuaire

Le Ministère de la transition écologique rejette la proposition d’accueillir les deux orques survivantes du Marineland dans un sanctuaire en Nouvelle-Écosse.

Il est déplorable que le gouvernement néglige ses responsabilités envers Wikie et Keijo, les deux dernières orques survivantes du Marineland d’Antibes, en refusant leur transfert vers un sanctuaire adapté à leurs besoins. Ces orques risquent d’être envoyées au Loro Parque de Tenerife, un delphinarium où quatre orques sont mortes depuis 2021, dont Keto, décédée en novembre dernier après près de trente ans en captivité à se morfondre.

Alors que le sanctuaire prévoyait de prendre soin de Wikie et Keijo, le Loro Parque leur fera faire des tours et les soumettra à la reproduction, une pratique pourtant interdite en France. Notre gouvernement a la responsabilité de faire en sorte que Wikie et Keijo trouvent place dans un sanctuaire, comme le prévoyaient les annonces de Barbara Pompili en 2020, afin qu’elles puissent enfin bénéficier d’un semblant de la qualité de vie qu’elles méritent après toute une vie d’exploitation.

La France doit offrir à Wikie et Keijo un sanctuaire

Depuis la sortie du documentaire Blackfish, le public est plus conscient que jamais de la souffrance des orques et des dauphins dans les parcs marins. Cette prise de conscience a conduit de nombreuses personnes à boycotter ces établissements, entraînant une baisse significative de leurs revenus à travers le monde.

À l’état sauvage, les orques développent des liens sociaux forts, coopèrent pour trouver de la nourriture et parcourent jusqu’à 140 km par jour dans l’océan. En captivité, elles sont confinées dans des bassins exigus, souvent en compagnie de congénères incompatibles. Ce mode de vie artificiel entraîne de graves souffrances physiques et psychologiques, réduisant drastiquement leur espérance de vie : alors que les mâles peuvent vivre entre 60 et 70 ans et les femelles entre 80 et 90 ans dans la nature, leur durée de vie en captivité est bien plus courte.

Bien que les dommages infligés aux animaux par les parcs marins ne puissent être effacés, il est encore possible d’améliorer leurs conditions de vie. Le transfert des orques et dauphins captifs vers des sanctuaires côtiers permettrait de leur offrir un environnement plus proche de leur habitat naturel et de leur rendre une part de la liberté qui leur a été injustement retirée.

Jusqu’à ce que tous les orques et les dauphins nagent librement, PETA continuera à faire campagne contre les delphinariums et toute autre structure qui enferme des animaux sauvages pour le divertissement.

Aidez-nous à faire monter la pression pour les parcs marins qui maltraitent les animaux en demandant à TUI d’arrêter de vendre des billets pour ces établissements cruels :

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Nouvelles images : des pythons écorchés pour des accessoires en peau de serpent

Ces pratiques sont courantes dans l’industrie de la peau de python. De nouvelles images de PETA Asie montrent la souffrance des serpents lorsque les employés les découpent pour leur peau.

Les pythons sont des êtres complexes qui aiment se prélasser au soleil pour profiter de la chaleur, mais les serpents condamnés à mourir pour des sacs à main et des accessoires de marques comme Louis Vuitton et Gucci sont confinés dans de minuscules boîtes insalubres avant qu’on les frappe avec un marteau, qu’on leur transperce la tête avec un clou et qu’on les écorche.

Comme le montre la vidéo, certains se débattent, impuissants, tandis que leur peau est arrachée, et de nombreux pythons sont même écorchés vifs.

L’année du serpent

L’année du serpent commence le 29 janvier. Faisons également de 2025 une année positive pour les serpents.

Pendant la période précédant le Nouvel An chinois (la plus active en termes de shopping), des sympathisantes et des sympathisants de PETA Asie se rassemblent devant les boutiques phares de Gucci, arborant une pancarte : « Gucci : tuer des serpents porte malheur ». Cette action s’inscrit dans le cadre de la campagne de PETA qui exhorte Gucci à cesser de vendre des accessoires fabriqués à partir de la peau de pythons tourmentés et invite les consommatrices et consommateurs à ne pas acheter de peau de reptiles pendant la période du Nouvel An chinois et après.


Les enquêtes de PETA Asie ont révélé que les employés de deux élevage de pythons qui fournissent des peaux à une tannerie appartenant à Kering (propriétaire de Gucci et d’Yves Saint Laurent) immobilisent les animaux qui se débattent en les tenant par le cou avant de les frapper à la tête avec un marteau et de les empaler sur des crochets alors qu’ils bougent encore.

Les serpents sont des animaux remarquables, souvent timides et généralement passifs. Ils sentent avec leur langue et peuvent même déterminer de quelle direction provient une odeur. Ils sont intelligents et sensibles. Et nous savons que les serpents ressentent la douleur de la même manière que les humains. Ne soutenez pas leur souffrance. N’achetez et ne portez jamais d’accessoires fabriqués à partir de la peau d’un animal.

Ensemble, demandons à Gucci d’arrêter de vendre la peau des pythons et demandons aux acheteuses et aux acheteurs de célébrer l’année du serpent en laissant les reptiles en paix.

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