Tous les articles par Caroline C

Fourrureshop.fr d’ECOPEL aide les ours et les autres animaux

Êtes-vous à la recherche de fausse fourrure luxueuse et respectueuse des animaux ? Ne cherchez plus, rendez-vous sur fourrureshop.fr. Découvrez la plus grande sélection de fausse fourrure chic au mètre et soutenez le travail salvateur de PETA.

Achetez de la fausse fourrure noire et soutenez PETA

Bonne nouvelle ! fourrureshop.fr donnera 1 € par vente de fausse fourrure noire à PETA et PETA France, et ce jusqu’à la fin de l’année.

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La première fausse fourrure d’ours au monde

PETA Royaume-Uni a collaboré avec ECOPEL pour créer la première fausse fourrure d’ours au monde. Pourquoi ? Car la Garde du Roi au Royaume-Uni porte toujours des chapeaux de cérémonie faits à partir de la fourrure d’ours noirs. La fausse fourrure sur mesure a non seulement exactement la même longueur que la vraie fourrure d’ours, mais elle est également 100 % imperméable. Il n’y a pas vraiment de différence entre les deux, ce tissu révolutionnaire offre donc l’occasion au Royaume-Uni de faire la transition vers la fausse fourrure de luxe avec compassion. 

Les ours ont besoin de vous

La fausse fourrure d’ECOPEL vous impressionne ? Dites au premier ministre britannique ce que vous en pensez en lui envoyant un message dès maintenant pour demander que la peau d’ours soit remplacée par cette fausse fourrure compatissante envers les animaux :

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Goop vend des pulls issus de la torture des lapins… Aidez-nous à arrêter cela !

La torture médiévale a trouvé sa digne héritière : l’industrie de l’angora. Imaginez si quelqu’un essayait de vous restreindre si étroitement que vous ne pouviez plus bouger, puis rasait violemment chaque centimètre de votre corps, jusqu’à ce que vous vous mettiez à saigner. Pour les lapins dans l’industrie de l’angora, ce cauchemar est une réalité – et les enquêtes de PETA le prouvent.

Sur les images bouleversantes obtenues par PETA Asie, on voit des lapins en sang paralysés par la peur dans huit élevages industriels pour l’angora en Chine, d’où provient la majorité de la production mondiale. Les employés restreignent étroitement les lapins, les suspendent au plafond par les pattes avant, et les tondent sans ménagement, un processus lors duquel ils sont paralysés par la peur.

Regardez les images par vous-même, puis exhortez Goop à protéger les lapins en arrêtant d’utiliser de l’angora !

Des lapins en sang dans des cages insalubres

Ces images montrent des lapins (des animaux naturellement propres) forcés de vivre dans des cages exiguës empilées les unes sur les autres dans des hangars crasseux, le terrain de propagation idéal pour des maladies mortelles. Les cages ne les protègent nullement du froid, et leur literie est jonchée d’excréments. De nombreux lapins passent leur vie entière sur des grillages fins qui entaillent leurs pattes sensibles. Il a été rapporté que certains animaux gisaient sans bouger sur le sol de leur cage, et ils étaient nombreux à lutter pour respirer, probablement en raison d’infections respiratoires.


Les lapins sont proches de leur famille et vivent dans des terriers souterrains dans la nature. Ils bondissent joyeusement, communiquent par le langage corporel et forment des liens solides. Mais dans ces élevages, ils présentent des signes de grande détresse psychologique : ils font des aller-retours dans leur cage, se mordent et tirent sur leurs propres poils, probablement en réaction au fait d’être piégés dans ces conditions.


Les animaux avaient des plaies ouvertes partout sur le corps, probablement des suites de leur tonte violente ou car ils se rongent la peau de stress.


Une tonte sanglante et violente pour l’angora

Les employés tirent les lapins hors de leurs cages par les oreilles et les jettent dans des seaux pour les transporter vers la zone de tonte. Ils les suspendent ensuite au plafond par les pattes avant et étirent leur corps pendant qu’ils le rasent.

La plupart des lapins détestent qu’on les attrape ou les manipule, au point que cela les fait paniquer. Les observateurs n’ont donc pas été surpris de voir des lapins paralysés par la peur tandis que les employés les tondaient. Un grand stress peut être mortel pour les lapins ; leur cœur sensible cède parfois lorsqu’ils ressentent une terreur intense.


Les employés coupent la peau de nombreux lapins en les tondant violemment, mais aucun animal ne reçoit de soins vétérinaires adapté pour ses plaies sanglantes. Dans l’industrie de l’angora, les lapins sont tondus tous les quelques mois jusqu’à mourir des suites de blessures ou d’une maladie, ou ils sont abattus lorsque la qualité de leur poil décline. Mais les employés continuent parfois d’utiliser leur corps même après la mort de l’animal.  Les enquêteurs ont vu une lapine morte, dont un employé tondait quand même le corps sans vie.

Aidez les lapins dès maintenant

En Chine, il n’y a ni réglementation régissant le traitement des lapins dans l’industrie de l’angora, ni sanctions prévues en cas de cruauté. Par le passé, PETA Asie a déjà dénoncé des élevages pour l’angora dans le pays, révélant que de nombreux employés arrachent les poils de la peau sensible des lapins tandis que ces derniers hurlent de douleur.

Peu importe d’où il vient ou comment il est obtenu, l’angora est toujours le produit de la souffrance et de la mort d’un lapin. N’achetez jamais d’angora. Optez plutôt pour des fibres douces et sans composants d’origine animale, comme celles à base de bambou, de Lyocell (ou Tencel), de chanvre, de soja, de coton biologique, d’acrylique, de viscose et bien d’autres.

Plus de 425 autres marques ont déjà tourné le dos à cette matière cruelle qu’est l’angora, mais Goop continue de vendre des pulls en poils de lapins torturés. Aidez les lapins qui souffrent en ce moment-même comme ceux que vous avez vu dans cette vidéo et exhortez Goop à abandonner l’angora dès maintenant !

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La laine végétale à l’honneur en novembre : une mode plus douce pour les moutons

C’est le mois de la laine végétale : un mois entier pour mettre à l’honneur des fibres végétales aussi belles que durables. Du chanvre et du bambou, qui limitent les émissions de carbone, aux fibres florales qui donnent une nouvelle vie aux déchets de jardin, ces textiles prouvent une chose simple : la laine végétale, c’est comme de la laine… mais en mieux  !

Qu’est-ce que la laine végétale ?

Si nous voulons tisser un avenir plus respectueux des animaux et de l’environnement, préserver nos forêts et nos océans et réduire les émissions, la laine végétale est notre meilleure alliée.

Ces fibres naturelles permettent de fabriquer des vêtements de haute qualité qui durent de nombreuses années. Elles sont douces, respirantes et biodégradables, sans nuire aux animaux. À l’inverse, la laine de mouton peut mettre jusqu’à cinq ans à se décomposer dans une décharge, libérant du méthane et d’autres gaz à effet de serre lors de sa dégradation.

Découvrez les laines végétales disponibles à grande échelle et qui révolutionnent déjà la mode :

  • le coton biologique: l’un des tissus les plus courants, doux, respirant et polyvalent ;
  • le lin: fabriqué à partir de la plante de lin, le lin est léger, respirant et idéal par temps chaud, il s’assouplit aussi avec le temps, ce qui fait du lin de seconde main une excellente trouvaille ;
  • le chanvre: un textile durable et écologique, naturellement résistant à l’usure et souvent mélangé au coton pour plus de douceur ;
  • le bambou : le tissu de bambou est doux, absorbant et souvent utilisé pour les vêtements de sport ou d’intérieur.

Des créateurs innovants produisent sans cesse de nouvelles laines végétales. Du soja aux algues marines, ces fibres émergentes voient au-delà des moutons, un monde où la laine se trouve aussi bien dans les profondeurs de l’océan que sur la cime des arbres. Rose, lavande, et même le délicat lotus sont aujourd’hui utilisés pour fabriquer des fibres capables de remplacer la laine animale, tout en offrant à notre peau une mode plus douce et plus respectueuse.

Trois raisons d’essayer la laine végétale ce mois-ci

1. Pour les moutons

Les moutons remuent la queue lorsqu’ils sont heureux, tout comme les chiens, mais la plupart d’entre eux sont privés de cette joie simple dans l’industrie lainière. Les éleveurs mutilent régulièrement les agneaux en leur coupant la queue et en leur tranchant les testicules. L’industrie de la laine élève délibérément les moutons de manière à ce qu’ils produisent de plus en plus de laine, bien plus que s’ils avaient évolué naturellement. Les entités PETA ont documenté des cas où des travailleurs sous contrat donnaient des coups de pied, frappaient et piétinaient des moutons dans des hangars de tonte.


Les révélations des entités PETA au sujet de plus de 150 exploitations réparties sur quatre continents montrent clairement les raisons éthiques pour lesquelles les consommatrices et les consommateurs soucieux du bien-être animal devraient éviter la laine de mouton. En effet, porter de la laine végétale contribue à épargner à ces animaux doux et intelligents la peur et la maltraitance.

2. Pour les agriculteurs et les créateurs à l’origine des fibres végétales

Le mois de la laine végétale rend hommage aux agriculteurs, aux fabricants de textiles innovants et aux designers pionniers qui cultivent, filent et travaillent des matières telles que le coton biologique, le chanvre, le bambou, le soja et d’autres fibres végétales pour créer des tricots, des costumes et plus encore, tissant ainsi un avenir plus doux pour la planète et ses animaux.

3. Pour la planète

Lorsqu’ils élèvent des animaux pour leur laine, leur fourrure, leur peau ou leur chair, les agriculteurs doivent prévoir des terres non seulement pour les cultures destinées à les nourrir, mais aussi pour les animaux eux-mêmes, ce qui entraîne la déforestation. En revanche, cultiver des plantes directement utilisées par l’humain, comme pour la fabrication de fils ou pour l’alimentation, réduit l’utilisation des terres. En Australie, à l’origine d’un quart de la production mondiale, la laine nécessite 367 fois plus de terres que le coton australien.

© Jo-Anne McArthur / We Animals Media

Articles en laine végétale en France

Agnès b.

Gilet sans manches 100 % chanvre

Agnès b.

MISSEGLE

Pull ample manches longues 100 % chanvre

MISSEGLE

Chloé

Pull à col rond en maille crochetée100 % coton

Chloé

Maison Lurex Paris

Pull bambou dos nu

68 % bambou, 20 % polyester recyclé, 12 % Lurex® polyester métallisé

Maison Lurex Paris

Maison Margiela

Cardigan en maille de chanvre

Maison Margiela

Sézane

Chemise Charlie

95 % coton, 5 % fibres d’ananas

Sézane

Comment les entités PETA font la promotion du mois de la laine végétale

Partout dans le monde, PETA célèbre le mois de la laine végétale avec créativité et humour, diffusant un message : compassion et style vont de pair.

Robert Plant Wool ?! PETA Royaume-Uni a exhorté le leader de Led Zeppelin à changer son nom

À l’approche du mois de la laine végétale, PETA Royaume-Uni a envoyé une lettre à l’ancien leader de Led Zeppelin et militant écologiste Robert Plant, lui demandant de changer temporairement son nom pour Robert Plant Wool. Comme le souligne PETA Royaume-Uni dans sa lettre, ce changement de nom temporaire permettrait de célébrer les alternatives végétales et confortables et d’encourager le public à boycotter les industries cruelles et destructrices pour l’environnement que sont celles de la laine et du cachemire.

PETA UK a déclaré à AC/DC que la laine végétale ne pollue pas la planète

Alors qu’AC/DC entame la partie australienne de sa tournée Power Up, PETA Royaume-Uni a envoyé à Angus Young une veste et une casquette toutes neuves, entièrement fabriquées en laine végétale et durable.

Confectionnés à partir de coton et de lin plutôt que de laine animale, ces articles contribuent bien moins à la déforestation et aux émissions de gaz à effet de serre que leurs homologues d’origine animale, et épargnent aux animaux les mauvais traitements que les entités PETA documentent régulièrement dans les hangars de tonte à travers le monde.

Portez de la laine végétale

La seule laine durable est celle qui provient des plantes. Douce, chaude et polyvalente, la laine végane nous permet d’allier élégance et bienveillance à chaque fois que nous nous habillons. Alors, qu’attendez-vous ?

Devenir végan et choisir des vêtements sans matières animales est le meilleur moyen d’aider les animaux.

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Après la corrida, la chasse ! Jeremstar signe un gâteau végan avec PETA pour sa fête d’Halloween

Pour sa légendaire soirée d’Halloween, l’influenceur Jeremstar a une nouvelle fois uni ses forces avec PETA pour faire passer un message fort contre la chasse. Au cœur de la fête trônait un somptueux gâteau 100% végan à faire frissonner les chasseurs, en forme de biche, aussi délicieux que symbolique.

Présenté sur une assiette frappée du logo de PETA, le dessert portait un message clair : « La chasse n’est pas un loisir, c’est un meurtre ». Un thème cher à l’influenceur, qui souhaite utiliser sa plateforme pour dénoncer toute l’horreur de cette pratique dépassée qui tâche les forêts de France de sang innocent.


« Chaque année, ma soirée d’Halloween célèbre la créativité et le fun ; cette fois, elle rappelle aussi que le divertissement ne doit jamais être un cauchemar pour les animaux », explique Jeremstar. « La chasse est un vrai domaine d’épouvante et les chasseurs sont les véritables monstres d’Halloween. Après avoir récemment rencontré un jeune sanglier orphelin, j’ai voulu dénoncer cette pratique d’un autre temps. »

PETA salue l’engagement de Jeremstar, qui fera hurler les chasseurs plus qu’un film d’épouvante. L’association est ravie qu’il fasse de cette tradition haute en couleurs une tribune pour la cause animale. Des millions d’animaux sont traqués, épuisés et massacrés chaque année pour la chasse ; il est temps d’enterrer définitivement cette pratique macabre.

Fort de plus de 2,5 millions d’abonnés sur Instagram, Jeremstar multiplie les actions aux côtés de PETA, de la lutte contre la corrida à la dénonciation de l’utilisation de peaux d’animaux sauvages dans la mode. Cette fois, son gâteau ensorcelant prouve qu’on peut faire frissonner les invités sans faire couler le sang.

La chasse : un loisir sanglant que la France doit abolir

Chaque année, la chasse au tir cause la mort d’environ 22 à 38 millions d’animaux en France, sans compter les accidents humains : 97 incidents, dont 6 mortels, ont été recensés en 2023-2024. La chasse à courre, particulièrement cruelle, est rejetée par 79% de la population, lassée de voir des meutes de chiens poursuivre des animaux jusqu’à l’épuisement avant de les déchiqueter vivants, un passe-temps morbide qu’il est grand temps d’enterrer.

Les animaux ne demandent pas grand-chose, si ce n’est de pouvoir vivre en paix. Mais à leur lutte pour survivre s’ajoutent les chasseurs, qui prennent plaisir à les traquer ou les piéger et à les tuer, même lorsqu’ils ont élu domicile loin des villes et ne gênent personne. La chasse est cruelle et inutile.


Chaque animal compte : faites le premier pas vers une vie plus éthique

PETA rappelle que chaque animal est un individu, et fidèle à sa devise, que « les animaux ne nous appartiennent pas et nous n’avons pas à les utiliser pour nos divertissements ».

Envie de passer à une alimentation plus éthique et délicieuse ? Téléchargez gratuitement le Guide du végan en herbe de PETA ! Ce guide regorge d’astuces simples, d’infos essentielles et de recettes bluffantes pour vous aider à faire la transition vers un mode de vie sans cruauté :


Informations sur le gâteau en forme de biche, et 100% végan :

Pesant 20 kilos et mesurant plus d’un mètre de long, le gâteau en forme de biche était composé d’un biscuit et d’une ganache au chocolat et fourré d’un confit de framboise, le tout recouvert d’une pâte à sucre.

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Des chevaux morts s’entassent dans un « cimetière » près du Grand Musée égyptien

PETA Asie avait déjà rendu compte de la mort de centaines de chevaux utilisés pour des promenades en Égypte, mais le nombre de corps n’a jamais été aussi élevé. Avec l’ouverture du Grand Musée égyptien le 1er novembre, un nombre sans précédent de chevaux morts est jeté juste à côté du complexe pyramidal de Gizeh.

Avant l’ouverture officielle du nouveau Grand Musée égyptien, PETA Asie a envoyé une lettre au président Abdel Fattah El-Sisi pour l’alerter sur de nouvelles images accablantes montrant des chevaux morts – utilisés pour promener des touristes à travers les sites historiques d’Égypte – entassés dans un cimetière secret, à proximité des murs du nouveau musée.

Des animaux morts ont été aperçus entourés de déchets.

Blessés, émaciés et laissés pour morts

Regardez la nouvelle vidéo : on y voit des chevaux et des dromadaires forcés de transporter des touristes près des pyramides, mourir en nombre record, beaucoup étant extrêmement amaigris et souffrant de blessures non traitées.

Ces nouvelles images ont été tournées six ans après que PETA Asie a pour la première fois révélé les conditions de vie des chevaux et des dromadaires en Égypte. Chaque jour, ces animaux sont forcés de transporter des touristes sous une chaleur écrasante, sans ombre ni suffisamment d’eau. Ils sont frappés du poing, du pied, au fouet, et battus pour les faire obéir, vivant en permanence dans la faim, l’épuisement et la souffrance.

Les chevaux sont contraints de tirer des calèches sous une chaleur torride.

Les animaux émaciés en sont réduits à fouiller les déchets dans une tentative désespérée de trouver de la nourriture. Ils sont privés de soins vétérinaires et peuvent passer toute leur vie dans une agonie constante à cause de leurs blessures. Lorsqu’ils sont trop vieux, malades ou blessés pour être rentables, ils sont laissés pour morts et certains dromadaires sont envoyés à l’abattoir.

Une réalité tenue secrète derrière les sites touristiques

Au lieu de mettre fin à cette maltraitance honteuse, la police et les autorités gouvernementales coopèrent ouvertement avec les dresseurs pour intimider les visiteurs inquiets sur les sites touristiques. Dans un cas, la police et un représentant du ministère du Tourisme et des Antiquités ont détenu un visiteur du parc qui prenait des photos près des pyramides et ont exigé qu’il efface toutes les photos et vidéos des dromadaires et des chevaux, prétendant que les prendre en photo était illégal. Ils ont ensuite confisqué et effacé la carte SD du visiteur. Les chevaux étaient violemment fouettés autour d’eux, mais les autorités s’en moquaient.

Une demande urgente adressée au président égyptien

Le nouveau Grand Musée égyptien se situe à un peu plus d’un kilomètre des pyramides et du Grand Sphinx de Gizeh. Il est destiné à devenir le plus grand musée au monde consacré à une seule civilisation, avec plus de 5 000 pièces exposées. Son ouverture représente un moment majeur pour le pays. L’Égypte a aujourd’hui la possibilité d’en faire également un tournant pour les animaux, en mettant fin aux attractions touristiques cruelles qui les exploitent.

Le président égyptien doit profiter de ce moment historique pour honorer le passé du pays, mais aussi sa capacité à évoluer et à faire preuve de compassion. PETA Asie l’a appelé à consacrer une partie des bénéfices du musée à la création d’un sanctuaire permettant de reloger et de mettre à la retraite tous les chevaux et dromadaires de la région des pyramides. Cela offrirait à ces êtres sensibles et intelligents – qui ont travaillé et souffert en ce lieu – la possibilité de vivre enfin libres et en paix.

Les agences de voyage abandonnent les cruelles balades à dos de dromadaires

En prenant enfin les mesures nécessaires pour protéger les chevaux et les dromadaires, le gouvernement égyptien s’alignerait sur l’évolution actuelle du secteur du voyage. Après avoir été sensibilisés par les entités de PETA, plus de 50 voyagistes et agences touristiques – dont Airbnb, Marriott, British Airways Holidays, Scott Dunn et Travel Republic – ont confirmé qu’ils ne proposeraient plus de balades à dos de dromadaires aux pyramides.

Dites au président égyptien d’agir maintenant !

Les dromadaires et les chevaux ont besoin de VOTRE aide

Joignez-vous à nous pour demander aux autorités égyptiennes de se mettre au diapason de l’opinion publique et de mettre fin à cette cruauté en interdisant les promenades touristiques à cheval et à dos de dromadaire aux pyramides et dans d’autres sites touristiques.

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Victoire : Vogue dit adieu à la fourrure animale

On dirait bien que la fourrure n’est plus en vogue. Dans une grande victoire pour la mode éthique, Condé Nast – le géant des médias derrière Vogue, Vanity Fair, GQ, Allure et Glamour – a adopté une nouvelle politique interdisant la fourrure animale : le groupe ne présentera plus de fourrure animale dans ses contenus éditoriaux et publicitaires à l’internationale.

Grâce au travail de PETA et des défenseurs des animaux du monde entier, la fourrure n’est plus à la mode depuis longtemps – mais cette dernière déclaration marque un coup de grâce pour cette industrie cruelle, montrant une fois de plus que la fourrure est morte.

L’histoire de PETA avec Vogue

PETA États-Unis a lancé le mouvement contre l’industrie de la fourrure, qui exploite les animaux de manière atrocement cruelle, dans les années 90. Ce mouvement a conduit la plupart des grands créateurs à se détourner de cette matière et à la fermeture d’élevages d’animaux pour la fourrure à l’échelle mondiale.

Les campagnes emblématiques de PETA contre la cruelle industrie de la fourrure ont connu un immense succès – notamment la célèbre campagne « I’d Rather Go Naked Than Wear Fur », mettant en vedette des stars et des supermodèles comme Pamela Anderson, Christy Turlington, Gillian Anderson et P!nk – au point que d’innombrables marques ont fini par abandonner totalement la fourrure.

Bien que PETA ait recentré ses efforts sur la dénonciation de la cruauté systémique dans les filières du cuir, de la laine et des plumes, l’organisation n’a jamais relâché sa lutte pour bannir la fourrure des magazines de mode – en particulier des pages de Vogue.

Ebert Roberts

La fourrure est morte – il est temps que le cuir suive le même chemin.

Personne ne veut être tué pour sa peau. Les vaches tissent des amitiés qui durent toute leur vie et pleurent la perte de leurs proches. Les moutons sont des animaux très sociaux qui nouent entre eux des liens forts. Les alligators sont des mères dévouées qui veillent attentivement sur leurs œufs. Comme tous les animaux, ils ne veulent ni souffrir ni être tués pour devenir des manteaux, des sacs ou des chaussures – ils veulent simplement vivre.

Christian Faesecke / We Animals

Les « cuirs » végans sont chics, durables et, surtout, ils ne nuisent pas aux animaux. Les créateurs innovants d’aujourd’hui créent de magnifiques modèles à partir de feuilles d’ananas, de champignons, de pommes, de liège et d’autres matières végétales, ainsi que des cuirs véganes durables et de haute qualité, fabriqués à partir de fibres synthétiques et recyclées. Les vêtements et accessoires végans offrent une alternative plus éthique et avant-gardiste à tout ce qui est arraché du dos d’un animal.

Agissez : il est temps de bannir toutes les peaux animales

Des icônes de la mode comme Stella McCartney ont déjà prouvé que le véritable style n’a pas besoin de peaux d’animaux. Il est désormais temps pour les éditeurs de magazines de mode, les créateurs et les détaillants d’aller encore plus loin et d’étendre ces politiques aux autres peaux animales (tel que le cuir), celles-ci ne sont rien d’autre que de la fourrure sans poils, également volée à des animaux qui souffrent et meurent dans des conditions atrocement cruelles.

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Action de PETA devant l’ambassade d’Égypte pour dénoncer les promenades impliquant des animaux

Aujourd’hui, à Paris, des militantes de PETA déguisées en chevaux, ont été fouettées devant l’ambassade d’Égypte, dans le cadre de la campagne de l’association appelant le gouvernement égyptien à mettre fin à l’utilisation d’animaux pour transporter les touristes vers les pyramides de Gizeh.

En Égypte, les touristes bienveillants sont dupés et encouragés à soutenir une industrie où les animaux sont battus, traînés dans les rues et forcés à travailler jusqu’à l’épuisement. PETA appelle le gouvernement égyptien à mettre fin à cette exploitation et demande aux visiteurs et visiteuses de ne jamais faire de promenades impliquant ces animaux maltraités.

Derrière les balades touristiques en Égypte, la cruauté infligée aux chevaux

De nombreuses enquêtes menées par PETA révèlent que des chevaux sont contraints de transporter des touristes sous un soleil de plomb, sans accès suffisant à la nourriture, au repos, à l’ombre ou aux soins vétérinaires appropriés. Les dresseurs fouettent violemment les animaux épuisés pour les forcer à se lever ou à continuer à avancer. Des chevaux blessés et mal nourris ont été aperçus en train de manger des ordures pour survivre, et des cadavres ont été retrouvés abandonnés dans des décharges à l’extérieur des pyramides. PETA Asie a partagé plusieurs vidéos comme celles-ci avec le ministère égyptien du Tourisme et des Antiquités, dont une montrant une jument à Gizeh s’effondrant alors qu’elle tire une calèche et battue jusqu’à ce qu’elle parvienne à se relever.

Passez à l’action pour les chevaux et les dromadaires maltraités en Égypte

Les touristes qui paient pour faire des promenades en calèche permettent à ces commerces de rester en activité. Si vous prévoyez de visiter l’Égypte, ne participez pas à l’une de ces promenades.

Veuillez presser le ministre égyptien du Tourisme et des Antiquités de mettre fin à ces agissements en interdisant les promenades impliquant des animaux :

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Journée d’action nationale : des activistes de PETA protestent devant des magasins Printemps partout en France pour dire « STOP à la fourrure »

Journée d’action contre la cruauté : des activistes de PETA se sont rassemblés aujourd’hui devant plusieurs magasins Printemps partout en France pour exiger que l’enseigne interdise enfin la vente de fourrure.

Brandissant des pancartes proclamant « Les animaux souffrent et meurent pour la fourrure » et « Printemps : STOP à la fourrure ! », les militants et militantes ont également montré des visuels d’animaux exploités pour cette matière sanglante. Ces mobilisations s’inscrivaient dans une action nationale, avec des manifestations organisées devant les boutiques Printemps de Paris, Lyon, Lille, Marseille, Tours, Rennes, Caen et du Havre.

LYON

PARIS

LILLE

CAEN

LE HAVRE

MARSEILLE

TOURS

RENNES

Malgré les multiples sollicitations de PETA, le Printemps s’obstine à proposer dans ses rayons des marques ayant recours à la fourrure volée et arrachée à des animaux torturés. Alors que de nombreuses entreprises de mode dédaignent déjà cette matière cruelle, le Printemps demeure à la traîne. Quand est-ce que le groupe tournera enfin le dos à la fourrure animale ?

Cages, mutilations, mises à mort : la réalité sanglante de la fourrure

Des enquêtes sur l’industrie de la fourrure ont révélé que des renards, des lapins, des visons, des chinchillas, des ratons laveurs et d’autres animaux étaient confinés à l’étroit dans des cages grillagées, insalubres et sans aucun aménagement. Beaucoup souffrent de graves blessures non traitées, et le stress de la captivité pousse parfois les animaux à l’automutilation. À la fin de leur vie de calvaire, ils sont généralement tués par gazage, empoisonnement, électrocution ou noyade. Cette industrie est si cruelle qu’elle est interdite en France, et le dernier élevage de vison français a fermé ses portes en 2021.

Derrière chaque article en fourrure se cache un animal qui a souffert.


Dites NON à la fourrure : demandez au Printemps de rejoindre les enseignes responsables

Des centaines d’autres entreprises ont déjà arrêté la fourrure, y compris des grands magasins partout dans le monde comme Selfridges, Holt Renfrew, Harvey Nichols, Max Mara, Saks Fifth Avenue, David Jones, Neiman Marcus et bien d’autres. En tant qu’entreprise qui valorise son attitude pionnière, il est grand temps que le Printemps se mette à la page et PETA demande à toute personne choquée par la décision du groupe de continuer à vendre de la fourrure de l’interpeller via cette pétition.

Aidez-nous à faire pression sur l’entreprise en partageant cette page avec vos amis et votre famille et en les encourageant à signer en solidarité avec notre journée d’action :

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Saint-Étienne : une mère « orque » et son bébé confinés dans un « bassin » pour dénoncer l’agence de voyage TUI

Ce matin, une militante de PETA et sa fille, déguisées en « orques », ont été « confinées » dans un minuscule bassin devant l’agence de voyage TUI de Saint-Étienne. Leur action visait à dénoncer la vente de billets pour des parcs marins par le voyagiste, notamment le Loro Parque à Tenerife, où plusieurs orques sont mortes prématurément. Le bébé, âgé de près de six mois, incarnait symboliquement le jeune orque né fin mars dans ce delphinarium cruel, et donc d’un âge similaire.

Dans le bassin de verre où la maman et sa petite fille étaient enfermées, un boulet accroché à une chaîne symbolisait le sort des animaux marins prisonniers des delphinariums. La mère brandissait une pancarte au message fort : « TUI : je ne veux pas être séparée de mon bébé ». Autour du bassin, les passantes et passants pouvaient également lire : « Des mamans et leurs bébés emprisonnés à vie. TUI : STOP aux parcs marins ! »

Le Loro Parque cherche à tirer profit d’un bébé orque né dans un bassin semblable à une prison. Privé de tout ce qui est naturel et essentiel à son bien-être, l’animal est condamné à passer ses journées à exécuter des numéros humiliants pour divertir les touristes. Comme d’autres avant lui, il sera un jour arraché à sa mère – une séparation aussi cruelle et déchirante que celle d’une mère humaine et de son enfant – pour être troqué à un autre delphinarium. PETA appelle TUI à mettre un terme à la vente de billets pour ces parcs marins et à cesser de soutenir ces structures déplorables et cruelles.

De l’océan infini aux bassins étroits : la tragédie des orques en captivité

Dans leur habitat naturel, les orques vivent au sein de sociétés matrilinéaires complexes, où les liens familiaux sont solides et durables. Elles coopèrent pour trouver de la nourriture , communiquent grâce à des vocalisations sophistiquées et parcourent jusqu’à 240 kilomètres par jour dans l’océan. En captivité, dans les prisons aquatiques comme Loro Parque, leur réalité est tout autre : ces cétacés intelligents sont confinés à vie dans des bassins en béton étroits, dénués de toute stimulation naturelle. Incapables d’exprimer leurs comportements les plus fondamentaux, ils tournent en rond sans but, et doivent souvent cohabiter avec d’autres individus frustrés et stressés, ce qui mène fréquemment à des conflits, des blessures, et un profond stress psychologique.

TUI : il est temps d’arrêter de soutenir les parcs marins

Club Med, Michelin, Airbnb, Booking.com, easyjet holidays, Jet2holidays, Expedia, Tripadvisor et de nombreuses autres entreprises de voyage ont d’ores et déjà cessé de promouvoir et de vendre des billets pour les parcs marins. Les entités PETA mènent campagne contre TUI pour appeler l’agence de voyage à faire de même.

En France, la réglementation visant à terme à mettre fin à la détention de cétacés en captivité entrera en vigueur fin 2026, et le Marineland d’Antibes a déjà fermé ses portes, bien que le sort de ses dauphins et de ses deux orques survivantes reste très incertain.

Il est temps pour TUI de mettre fin à son partenariat avec SeaWorld ! Dites à l’agence de voyage TUI de cesser de soutenir la maltraitance d’orques et d’autres dauphins : 

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Les modifications apportées au programme Beauty Without Bunnies de PETA États-Unis

Si vous achetez des cosmétiques, des produits pour le bain, du maquillage ou des produits d’hygiènes, vous avez déjà aperçu le logo Beauty Without Bunnies. Né d’une campagne avant-gardiste lancée par PETA États-Unis dans les années 80, Beauty Without Bunnies est un programme cruelty-free répertoriant les entreprises et si elles testent leurs produits sur les animaux ou non. Son objectif est simple : permettre aux consommateurs et consommatrices d’avoir facilement accès à cette information. La liste d’entreprises certifiées a grandi exponentiellement au fil des années, passant de moins d’une dizaine à une base de données en ligne répertoriant plus de 6 300 sociétés à travers le monde.

Au cours des décennies qui ont suivi sa création, des entreprises britanniques, australiennes ou encore européennes ont rejoint le programme. Cependant, les entreprises qui vendent leurs produits dans certains pays ne pourront désormais plus être répertoriées comme cruelty-free en raison des exigences en matière de tests dans l’UE.

Les réglementations concernant les produits chimiques et les cosmétiques se contredisent

Le problème est dû à la divergence d’objectif entre la réglementation européenne sur les produits cosmétiques et le règlement concernant l’enregistrement, l’évaluation et l’autorisation des substances chimiques, ainsi que les restrictions applicables à ces substances (REACH), le programme de tests de produits chimiques industriels à grande échelle de l’UE.

Les producteurs d’ingrédients de cosmétiques sont soumis à de nombreuses exigences règlementaires, dont REACH. Si la réglementation sur les produits cosmétiques vise à assurer la sûreté des produits et ingrédients en comptant sur des méthodes de tests pertinentes pour l’humain et n’impliquant pas d’animaux, REACH mandate une liste prescrite de données, qui requièrent souvent des tests sur des animaux.

Ce décalage a mené au test d’ingrédients cosmétiques sur des animaux dans le but de se conformer à REACH, compromettant le statut « non testé sur les animaux » de ces produits et créant une faille que PETA s’efforce de combler.

Ce que cela implique pour les fabricants de cosmétiques

Le nombres d’ingrédients concernés par les mesures relatives aux essais dans le cadre de REACH est en augmentation, imposant que des milliers d’animaux soient contraints d’ingérer certaines substances pendant des semaines, voire des mois. Les entreprises risquent donc d’être impliquées dans des tests sur les animaux, et ce même si elles ne le souhaitent pas, en raison des exigences légales imposées aux fournisseurs d’ingrédients de cosmétiques.

Il devient de plus en plus difficile pour les entreprises soucieuses du bien-être animal de trouver des alternatives ou de nouvelles formules pour leurs produits cosmétiques afin d’éliminer tout ingrédient devant être testé sur des animaux dans le cadre de REACH.

Ce que cela implique pour la liste de marques non testées sur les animaux

Historiquement, pour être répertoriée comme « ne testant pas sur les animaux » par PETA États-Unis, une entreprise ou marque devait soumettre une déclaration d’assurance juridiquement contraignante confirmant qu’elle et les fournisseurs de ses ingrédients ne mènent, commandent, financent ou ne permettent aucun test sur les animaux, que ce soit pour les ingrédients, la formule ou le produit finit, et ce où que ce soit dans le monde, maintenant ou à l’avenir.

Les entreprises candidates au programme doivent également justifier du processus de test de leurs produits, des endroits où ils sont commercialisés, et du type de produits proposés et d’ingrédients utilisés. PETA États-Unis exige également de toutes les entreprises qu’elles aient des accords avec leurs fournisseurs stipulant qu’aucun test sur les animaux n’est effectué à aucun stade sur les ingrédients ou les matières premières qu’ils leur procurent.

Ce processus strict assure la protection des animaux contre les horreurs de l’expérimentation, et PETA refuse tout compromis quant à ces valeurs. Pour qu’une entreprise soit répertoriée comme « ne testant pas sur les animaux », elle ne doit en aucune manière participer à des tests douloureux et cruels sur les animaux, quelle qu’en soit la raison. Cela inclut le fait de se soumettre aux tests archaïques mandatés par REACH.

Les exigences de la liste évoluent

Au vu du caractère changeant et déconcertant de ces exigences règlementaires pour les ingrédients de produits cosmétiques et d’hygiène dans l’UE, le programme Beauty Without Bunnies de PETA États-Unis va être revu dans sa totalité.

Seules les entreprises dont les produits sont commercialisés aux États-Unis, au Canada, en Inde ou en Allemagne seront désormais répertoriées sur crueltyfree.PETA.org. Les entités PETA dans ces pays acceptent les demandes de certification cruelty-free et tiennent leur propre liste. PETA peut communiquer avec ces entreprises et s’assurer que leur engagement à supprimer les tests sur les animaux de leur chaîne d’approvisionnement reste intact.

PETA États-Unis suspend la candidature au programme Beauty Without Bunnies de toute entreprise dont les produits sont commercialisés dans le reste du monde, et ce jusqu’à ce que la lacune réglementaire du REACH concernant les cosmétiques soit comblée.

À mesure que PETA États-Unis modifie les critères d’éligibilité pour les nouvelles candidatures, les entreprises déjà présentes sur la liste Beauty Without Bunnies ne seront pas affectées et conserveront leur statut tant qu’elles respecteront les conditions du programme.

Ce que vous pouvez faire

En ce moment-même, des millions de souris, de poissons, de rats, de lapins et d’autres animaux souffrent dans des laboratoires partout en Europe et sont contraints d’ingérer et d’inhaler des produits chimiques.

Ils ont besoin de vous : aidez PETA à combler la lacune qui menace actuellement cette interdiction cruciale de tester les cosmétiques sur les animaux.

L’avenir des produits cosmétiques cruelty-free est en jeu. Signez notre pétition dès maintenant afin d’exhorter les responsables à profiter des révisions de la loi à venir pour protéger et renforcer l’interdiction de tester les cosmétiques sur les animaux.

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