👚Je suis une femelle née en septembre 2020( estimation )
👚je serais de taille petite plus a moyenne a l’âge adulte 12-15kg ( estimation)
👚J’ai été lâchement abandonnée chez un vétérinaire ami de Alice ( Roumanie) après avoir été percutée par une voiture de cet accident je garde des séquelles je suis incontinente avec mes selles
👚Je suis une gentille petite louloute très reconnaissante et amicale , je m’entends avec tous mes congéneres
👚Je me trouve au refuge de Alice thé dog rose à la nurserie
👚Je suis identifiée vaccinée et stérilisée
👚Frais d’adoptions : don libre
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♦Je suis de race X berger et serai de taille moyenne (environ 20 kg)
->je serai prêt sanitairement pour la mi-décembre
♦Mon histoire: J’ai été trouvé avec mon frère et ma soeur, ainsi que ma maman. Nous avons été mis tous en sécurité dans une gentille famille d’accueil.
♦Mon caractère: je suis doux, affectueux et joueur
Reportage réalisé par Réunion 1ère sur l’errance animale à la Réunion. On découvre le destin tragique d’un très grand nombre d’animaux, ceux capturés par les fourrières sont euthanasiés pour la plupart, environ 15000 par an, les plus chanceux seront récupérés par les refuges.
50 000 animaux errants à La Réunion selon l’association des maires. Un chiffre relativement stable depuis une quinzaine d’années.
Ce mercredi matin à l’étang-Salé, services de l’État, associations, entreprises privées et quelques élus ont répondu à l’appel lancé par l’AMDR sur la problématique de l’errance animale dans le département.
Les différents intervenants ont débattu des solutions existantes et « insuffisantes » de stérilisation et d’euthanasie des chiens errants. 5 millions d’euros seraient ainsi dépensés par an pour euthanasiés des animaux et ramasser les cadavres qui jonchent les routes de l’île.
Des chiens dit « communautaires » pour la plupart. Pour un représentant d’une association, ces animaux évoluant dans un quartier n’appartenant à personne en particulier mais tout de même nourris par les habitants, soulèvent non seulement la question de la responsabilité de chacun mais également les rapports entre hommes et animaux.
Sale image pour la destination
Karolina Pavadé, animatrice mandatée par l’AMDR a dressé un premier bilan à l’issue des débats. « Le manque de coordination entre les différents acteurs est le point essentiel. Nous proposerons donc la création d’un comité de pilotage avec les différents acteurs ».
Action en milieu scolaire, intervention de médiateurs sociaux dans les quartiers, formation professionnelle auprès des équipes sur le terrain, autant de propositions qui devront également être soumises aux collectivités.
« L’enjeu est de faire comprendre aux élus qu’ils doivent prendre à bras-le-corps ce problème, leur montrer qu’il a un impact sur l’image de La Réunion et donc sur le tourisme ».
Les problèmes sanitaires potentiels, les cas sans cesse relatés de maltraitance envers les animaux ou encore les attaques de troupeaux font également partie de cette problématique de l’errance animale à La Réunion, traitée quasi exclusivement par des euthanasies de masse par nos intercommunalités (Cirest, Cinor, Tco, Civis, Casud).