Le chanteur DAVE ami des chiens de la Réunion

la belle histoire de chance , fille des rues devenue fille de stars après avoir réchappé au plus cruel des destins
Il ne fait pas bon être un chien errant sur l’île ou chance est née .....
A certains endroits de la cote, les pécheurs capturent chats et chiens et les transforment en appâts vivants pour la pêche au requin .
comme des centaines de ses congénères .Chance en a été la victime .
Miraculeusement ,elle parvient a se sauver.puis rencontre ,grâce a de"bonnes fées " ?ceux qui vont devenir les humains de sa vie . le chanteur DAVE et son compagnon , le parolier et auteur PATRICK LOISEAU.depuis dix ans ,leur trio est inséparable.après toute les épreuves traversées ,CHANCE aurait-elle ,finalement, de la chance? 
(tiré de la couverture du livre : ma chienne de vie )

 

voici le lien qui parle du livre écrit par Dave et son compagnon sur leur petite chienne Chance sauvée de la pèche aux requins  a la Réunion

http://dave.portrait.de.vous.over-blog.com/2015/11/dave-et-patrick-loiseau-ecrivent-un-livre.html

Chats et chiens hameçonnés à la Réunion

Voici une information sur un acte horrible, et qui rappelle une chose essentielle:

il faut toujours être organisé au moins un minimum afin de pouvoir venir en aide à un animal en détresse.

Même s’il n’y a pas de chat là où on vit, avoir une boîte de transport chez soi peut s’avérer un choix tout à fait logique, si l’on doit sortir récupérer une amie inconnue dans le besoin, en catastrophe!

On notera également la question des « chiens sonnettes » dont il est parlé à la fin de l’article.

Sur l’île de la Réunion, on a donc retrouvé tout récemment, fin mai, des chats « hameçonnés ». Contrairement aux apparences, il ne s’agit a priori pas, pour cette fois, de chats servant d’appâts pour la pêche (voir tout en bas).

L’association SOS animaux s’occupe de deux chats trouvés; voici l’information:

« Il s’avère qu’il y a au moins cinq chats qui ont été aperçus avec un hameçon dans la gueule » a déclaré Jean-Pierre Laffitte sur Antenne Réunion Radio ce matin. « On est sûrs d’une chose : c’est que les deux chats que nous avons récupéré (le week end dernier) n’ont pas été préparés pour aller à la pêche. Tout simplement à cause de la taille des hameçons (petits) ».

Toutefois : « L’hypothèse de l’accident, un chat avalant un hameçon en voulant dévorer le poisson qui y est accroché, n’est pas crédible pour l’un au moins des deux chats » explique Jean-Pierre Laffitte . Avant de poursuivre : « l’hameçon a nécessité, pour transpercer l’os du palais, une force de traction disproportionnée par rapport à celle que peut fournir un chat, même sous l’effet d’une douleur extrême et inattendue ».

Voici également un article publié à la Réunion et retraçant (de manière incomplète) l’activité de SOS animaux (le lien:sosanimaux.re).

Quand Jean-Pierre Laffitte a entendu, la semaine dernière, sur les ondes d’une radio que des chats hameçonnés avaient été aperçus au port de Sainte-Marie, il est parti les secourir sans tarder.

« Sur les six chats qui ont été torturés, nous avons réussi à en attraper deux. Quatre restent à sauver ». Le président de SOS Animauxet les bénévoles de l’association ont conduit les chats transpercés par les hameçons chez un vétérinaire où ils ont été soignés.

A priori, ces animaux n’auraient pas servi d’appât à des pêcheurs mais auraient tout simplement été victimes d’actes de cruauté gratuite. Les deux rescapés de Sainte-Marie ont été placés au sein d’une famille d’accueil. Ils subissent un traitement antibiotique et sont a priori hors de danger.

Parallèlement, l’association a porté plainte pour cruauté auprès de la gendarmerie.

« On a parfois l’impression de vider la mer à la petite cuillère. Tant d’animaux sont victimes de maltraitance voire de cruauté chaque année dans l’île ! », déplore Anne-Laure, bénévole à SOS animaux qui refuse d’abandonner pour autant.

« Même si c’est une goutte d’eau, on parvient tout de même à secourir entre 300 et 500 animaux par an. Des animaux que l’on soigne, que l’on héberge au sein de nos familles d’accueil avant de leur trouver des adoptants », détaille Jean-Pierre Laffitte.

BESOIN DE DONS ET DE BÉNÉVOLES

Ils sont une vingtaine de bénévoles résidant dans toute l’île à œuvrer actuellement au sein de SOS animaux.

Ce qui est loin d’être suffisant pour faire face à l’océan des besoins.

« Nous avons besoin de familles d’accueil pour recevoir les animaux blessés, maltraités voire violentés et aussi de dons en numéraires, en croquettes, en petit matériel… car nous ne percevons aucune subvention et nous agissons uniquement grâce à l’aide de nos donateurs », insiste le président de l’association que l’on peut joindre 7 jours sur 7 pour dénoncer tout acte de maltraitance.

En près de 30 ans d’existence (l’association a été créée en 1984 par Sarah de Lavergne), SOS animaux a des milliers de belles histoires à son actif, comme tous ces chiens et ces chats sauvés d’une mort certaine par des bénévoles qui donnent tout par amour des bêtes.

« Comment supporter qu’un animal soit torturé, ou même « simplement » battu, pas nourri ou attaché trop court, actes de maltraitance les plus communs dans l’île ? Comme ces chiens qu’on appelle les chiens sonnettes car ils ne servent qu’à prévenir lorsqu’on s’approche de leur maison et qu’on en oublie même parfois de leur donner à manger. C’est inacceptable et pourtant un chien qui vit avec moins d’un mètre de chaîne de liberté, on en a tous un dans son voisinage », s’emporte Anne-Laure.

Parmi les projets de SOS animaux dans les années à venir, hormis le fait de secourir toujours plus de bêtes dans la détresse, il y a cette volonté de faire de la pédagogie et cela surtout auprès des enfants.

« Les enfants influencent beaucoup les parents. C’est pourquoi nous souhaiterions instaurer un partenariat avec l’académie afin d’intervenir dans les écoles », conclut Jean-Pierre Laffitte.

Voici enfin un commentaire laissé l’année dernière par une internaute sur un site réunionnais, et retraçant une sinistre réalité sur l’île de la Réunion. Il y a quelques années, cette question avait été relativement médiatisé en métropole, mais bien évidemment c’est le rapport de forces qui décide, et il n’est pas en faveur de la libération animale…

L’utilisation des animaux vivants pour la pêche aux requins : on n’en parle plus, elle existe toujours !

Il y a quelques années, la fondation 30 millions d’amis révélait le scandale des chiens errants de La Réunion utilisés comme appâts vivants pour la pêche aux requins. Leur pétition avait recueilli 800 000 signatures pour que cesse le martyr de ces chiens. Le 6 septembre 2005, le préfet de La Réunion avait publié un arrêté qui interdisait « la détention de tout carnivore domestique, vivant ou mort, à bord des embarcations immatriculées à La Réunion ».

Sur son site, la fondation 30 millions d’amis annonce la « Fin du martyr des chiens appâts à La Réunion ».

Mais non, ce n’est pas terminé ! Je suis membre de plusieurs associations de protection animale à La Réunion et, rien que pour cette semaine, il y a eu quatre cas signalés de chats ayant servi d’appât ! Il n’a pas été possible de les sauver. Ils étaient entortillés dans du fil de pêche et portaient plusieurs hameçons plantés dans le corps. Pire encore (si l’on peut dire), il ne s’agit pas toujours de chats errants, certains avaient des propriétaires.

Les dénonciations de cette pêche de brutes et d’arriérés font l’objet d’une censure de la part des politiques et de l’Office du tourisme de La Réunion. Pourquoi ce silence assourdissant ? Parce que ce n’est pas une bonne publicité touristique pour La Réunion, récemment inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco !

Il n’est pas admissible de taire et laisser impunie cette pratique ignoble même si c’est le fait de seulement quelques barbares. La Réunion est un département français. Il n’y a pas d’exception à faire, la loi est applicable partout en France et elle est la même pour tout le monde. Je suis indignée de constater que ce n’est pas le cas !

M. Michel Lalande, préfet de La Réunion depuis le 20 janvier 2010, merci de faire appliquer la loi et de réprimer sévèrement ces pêcheurs qui salissent l’image de l’île et la réputation des Réunionnais !

Les 10 commandements d’une Famille d’accueil

Les 10 commandements de la  famille d’accueil

Afficher l'image d'origine

Commandements n°1 : « Ton sang-froid tu garderas »

L’animal que vous accueillez ne sait pas que son calvaire est finit, qu’une nouvelle vie commence, il ne comprend pas les démonstrations d’affection et il risque d’être encore plus perdu voir perturbé par vos émotions…

Commandement n°2 : « De la patience tu auras… »

L’animal a, en général,  tout à apprendre, de l’intérieur d’une maison et ses règles, à la propreté… tout est nouveau, ne demandez pas à un nouveau né d’avoir le bac, n’attendez pas à ce que l’animal soit propre, sociable, joyeux dès son arrivée.

Commandement n°3 : « Vouloir être un maillon tu seras »

Exit les égos, les « moi je », être famille d’accueil est faire partie d’une grande chaine, mais être un maillon de celle-ci… c’est une grande aventure mais vous n’écrivez qu’une phrase, vous n’êtes qu’une étape, une belle une formidable étape pour une meilleure vie de l’animal.

Commandement n°4 : « l’odeur tu accepteras »

Etre famille d’accueil cela peut être réceptionner des animaux ayant vécus en chenil, ou pas toujours très propres qu’il faudra laver, pour son confort et le votre.

Commandement n°5  : « Des nouvelles tu donneras »

Les photos, reportages, films sont importants pour le coup de cœur de la future famille, plus un animal est diffusé et plus il a de chances d’être adopté.

Commandement n°6  : « t’investir tu feras »

L’animal aura besoin d’amour, de patience et de temps, il faudra tout lui apprendre et cela prend du temps, lui apprendre la laisse, les voitures, la ville, la campagne, le confronter et l’habituer à ce que sera son futur environnement…

Commandement n°7 : « Sa santé tu préserveras »

L’animal que vous accueillez est une responsabilité, toute maladie ou suspicion doit être signalée et vue par un professionnel compétent.

Commandement n°8 : « Ne pas abandonner tu devras »

L’animal peut se montrer peut réceptif à votre amour, ou vous décevoir par une attitude distante ou au contraire demander trop de présence… A vous de ne pas baisser les bras, de le rassurer ou l’amener à prendre de la distance. Ne pas lâcher l’animal sur lequel on s’est engagé au bout de quelques heures…

Commandement n°9 : « Donner ton avis tu devras »

L’avis de la famille d’accueil sur une future adoption est primordiale, vous vivez avec l’animal, vous le côtoyez, vous l’avez élevé, nul autre que vous est la mieux placée pour lui trouver la famille idéale…

Commandement n°10 : « Recommencer tu pourras »

Etre famille d’accueil est émotionnellement éprouvant, du début à la fin, mais vouloir le meilleur pour eux, contribuer à leur bonheur est une expérience incomparable, des pleurs, aux rires, l’important est de les savoir heureux et pouvoir se dire qu’on a été un petit maillon sans lequel la chaine n’aurait pas été complète.

Devenir Famille d’Accueil

Devenir famille d’accueil pour animaux est une merveilleuse façon d’aider les animaux et les associations.

 Quel est vraiment le rôle et comment faire pour accueillir un animal ?

les familles d’accueil existent aussi pour les animaux et permettent de soulager les associations qui n’ont pas de refuge et d’accueillir des animaux abandonnés.

En quoi consiste une famille d’accueil pour animaux ?

une famille d’accueil accueille et reçoit un animal en attendant qu’il trouve une famille d’adoption.

La famille d’accueil aura comme rôle et le devoir de prendre soin de l’animal en lui offrant un toit et un peu d’amour pour une durée indéterminée qui peut aller de quelques jours à plusieurs mois voir années.

Être famille d’accueil est en quelque sorte être bénévole pour une association de protection animale

Devenir famille d’accueil comporte de nombreux avantages pour vous, l’association et l’animal.

Vous n’avez pas d’engagement pour la vie,

Cela vous permet de vous familiariser avec l’idée d’adopter un animal, les frais vétérinaires sont à la charge de l’association,

Etre famille d’accueil libère des places dans les refuges et sauve des vies, permet de socialiser l’animal avant sa future adoption, offre un meilleur foyer à l’animal au lieu d’une simple place derrière les barreaux. Elle permet à un chiot de se sociabiliser, à un chien d’être mis en sécurité et soigné, à un chien maltraité de reprendre ou prendre confiance en l’homme.

L’adoption est tout a fait possible si vous avez le coup de cœur.

Avant de vous proposer en famille d’accueil que ce soit pour la vie ou pour une courte période, vous devez vous assurer de lui offrir un espace adapté dans lequel l’animal pourra se sentir chez lui et à son aise.

Il vous faudra également garantir une présence quotidienne auprès de l’animal ou bien une disponibilité suffisante pour vous occuper correctement de votre nouvel invité.

Une famille d’accueil a les mêmes responsabilités que des adoptants sauf que l’engagement est de plus courte durée.

Vous souhaitez être famille d’accueil, remplissez le formulaire ci dessus:

Le comportement du chat

Le comportement du chat

Photo d'un chat en noir et blanc

Les chats sont connus pour être des animaux solitaires.

Ils ne chassent pas en groupe ou ne partagent pas les butins d’une chasse.

Les chats qui ont des territoires adjacents se mettront ensemble pour une plaisante séance de toilette nocturne, mais en gros, ce ne sont pas les créatures les plus sociables avec les autres de leur espèce.

Cette croyance générale ne semble pas toujours se justifier.

Pour exemple, mes chats de grange sont une unique famille descendante d’une femelle solitaire qui s’était introduite dans notre maison et a décidé de rester.

Elle, ses enfants et petits-enfants contrôlent la population locale de rongeurs.

Leur comportement ne cadre pas toujours avec celui de chasseur solitaire de la croyance populaire.

La femelle d’origine, Patch, aime d’habitude emmener ses chatons dans des voyages quotidiens autour de la maison.

Il est intéressant d’observer le comportement des chats et surtout de leur mère avec leur progéniture.

Une nuit, je l’ai regardé s’arrêter et s’asseoir près du bord d’un chemin étroit et très peu fréquenté passant près de notre ferme. Deux de ses chatons se sont arrêtés près d’elle.

Comme elle tournait sa tête d’un côté puis de l’autre, scrutant attentivement le passage, les chatons imitaient ses actions.

Le seul qui ne l’a pas fait était le petit tigré orange qui était distrait par un papillon, mais Patch, récupéra ce petit chaton inattentif et ramena toute la famille à la maison.

Les promenades sont toujours pour les chatons une leçon de vie.

J’ai récemment observé Patch, sa fille et trois de leurs chatons faisant une promenade autour des limites de notre ferme. Patch et sa fille montrait le chemin. Les deux plus jeunes chatons étaient au milieu. Le chaton le plus âgé, qui n’avait pas encore un an, fermait la marche. Lorsque l’un des chatons les plus jeunes s’arrêtait trop longtemps, il essayait de le faire avancer. S’il n’y arrivait pas, alors l’une des chattes revenait sur ses pas et faisait avancer le petit gars. Je me demandais ce que signifiait cette petite sortie. Est-il possible que Patch montrait aux plus jeunes membres de la famille les limites de leur territoire ?

Photo d'un autre chat

L’un des comportements les plus intéressants que j’ai pu observer a rapport avec les membres de la famille qui étaient blessés.

L’un des enfants de Patch est un matou adulte blanc et noir bien bâti. Un beau chat amical, mais qui, par malheur, a le don de s’attirer des ennuis.

Un jour, il est venu s’affaisser lourdement dans le jardin, gémissant de toute la force de ses poumons.

Sa mère et ses soeurs se sont approchées de lui aussi vite qu’elles le pouvaient.

Alors qu’il continuait de pleurer, Patch s’est mise à laver son visage et ses oreilles pendant que ses soeurs se couchaient sur lui.

Ils sont restés ainsi un certain temps pendant que j’appelais le vétérinaire et cette attitude protectrice, ces premiers soins affectueux, j’en suis persuadé, l’ont certainement aidé à ce sentir mieux et se remettre en forme plus rapidement, d’ailleurs le vétérinaire n’a pas eu grande chose à faire pour le remettre rapidement sur pieds.

Un autre des enfants de Patch, un matou brun et blanc d’un peu moins d’un an, se retrouva dans un combat avec le plus âgé de ses frères.

Au cours du combat, il se blessa à la patte et cela commença à gonfler.

Je le retrouvai boitant sur trois pattes le matin suivant.

Une bonne leçon…

Je l’amenai sous notre porche où je pouvais l’avoir à l’oeil et où il pouvait guérir sans aggraver sa blessure. Pendant qu’il récupérait, des membres divers de sa famille se sont perchés sur les rebords des fenêtres du porche pour lui tenir compagnie.

Ce sont juste quelques exemples de ce que j’ai vu avec mes chats. Peut-être qu’ils sortent de l’ordinaire. Je n’ai certainement jamais vu des chats agir ainsi auparavant.

Ou alors, peut-être les chats ne sont pas des animaux aussi socialement isolés que tout le monde veut bien le croire.

ASSOCIATION DE PROTECTION ANIMALE BASEE EN ALSACE